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1.
Can J Hosp Pharm ; 77(2): e3543, 2024.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-38720917

RESUMO

Background: In older adults, the use of antipsychotics to treat delirium or the behavioural and psychological symptoms of dementia is potentially inappropriate and may be associated with adverse effects. Antipsychotics newly initiated in hospital may be inadvertently continued after discharge. In the Saskatchewan Health Authority (SHA) - Regina area, the frequency and duration of antipsychotic continuation for older adults after initiation during a hospital stay is unknown. Objectives: To describe potentially inappropriate antipsychotic use in older adults after discharge from hospital, specifically rates of postdischarge antipsychotic therapy after initiation in hospital and continuation up to 180 days after discharge; prescribing regimens used; risk factors associated with continuation; pharmacist involvement; and plans for antipsychotic discontinuation, tapering, and/or follow-up. Methods: This retrospective chart review included inpatients 65 years of age or older who were discharged from medicine units at SHA - Regina area hospitals between September 30, 2021, and June 28, 2022. Outpatient dispensing histories were also gathered. Results: Of the 189 patients included in the analysis, 60 (31.7%) had continuation of antipsychotic therapy at discharge. Of these, 48 (80.0%), 33 (55.0%), and 24 (40.0%) had continuation of antipsychotic therapy at 30, 90, and 180 days after discharge, respectively. Of the patients with continuing antipsychotic therapy, 53 (88.3%) were 75 years of age or older, and 9 (15.0%) had documentation of an outpatient antipsychotic follow-up plan. Conclusions: Postdischarge continuation of antipsychotics was similar to that reported in the literature. Patients continued on antipsychotics after discharge were at a greater than 50% risk of continuation at 90 days and were unlikely to have a follow-up plan. Future quality improvement efforts should include standardized prioritization of medication reviews, documentation of indications, and regular reassessment of therapy.


Contexte: Chez les personnes âgées, l'utilisation d'antipsychotiques pour traiter le délire ou les symptômes comportementaux et psychologiques de la démence est potentiellement inappropriée et associée à des effets indésirables. Le traitement antipsychotique initié à l'hôpital pourrait se poursuivre par inadvertance après le congé. Dans la région de Regina de la Saskatchewan Health Authority (SHA), la fréquence et la durée du maintien d'antipsychotiques chez les personnes âgées après l'initiation au cours d'un séjour à l'hôpital sont inconnues. Objectifs: Décrire l'utilisation potentiellement inappropriée d'antipsychotiques chez les personnes âgées après le congé de l'hôpital, en particulier les taux de traitement antipsychotique initié à l'hôpital qui continue après le congé et son maintien jusqu'à 180 jours après le congé; les schémas de prescription utilisés; les facteurs de risque associés au maintien; l'implication du pharmacien; et les plans visant à arrêter, réduire progressivement et/ou à faire le suivi de la prise d'antipsychotiques. Méthodologie: Cet examen rétrospectif des dossiers comprenait des patients hospitalisés âgés d'au moins 65 ans qui étaient sortis des unités de médecine d'hôpitaux de la région de Regina de la SHA entre le 30 septembre 2021 et le 28 juin 2022. Les historiques de délivrance en ambulatoire ont également été recueillis. Résultats: Sur les 189 patients inclus dans l'analyse, 60 (31,7 %) ont continué leur traitement antipsychotique au moment du congé. Parmi eux, 48 (80,0 %), 33 (55,0 %) et 24 (40,0 %) continuaient leur traitement antipsychotique à 30, 90 et 180 jours après leur congé, respectivement. Parmi les patients recevant un traitement antipsychotique continu, 53 (88,3 %) étaient âgés d'au moins 75 ans et 9 (15,0 %) avaient un plan de suivi antipsychotique ambulatoire. Conclusions: Le maintien des antipsychotiques après le congé était similaire à celui rapporté dans la littérature. Les patients qui continuaient à prendre des antipsychotiques après leur congé couraient un risque supérieur à 50 % de continuer à 90 jours et étaient peu susceptibles de disposer d'un plan de suivi. Les futurs efforts d'amélioration de la qualité devraient comprendre une priorisation standardisée des examens des médicaments, la documentation des indications et une réévaluation régulière du traitement.

2.
Can J Hosp Pharm ; 76(2): 126-130, 2023.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-36998749

RESUMO

Background: Clinical pharmacy key performance indicators (cpKPIs) relate to activities performed by pharmacists that have been shown to improve patient outcomes. Within Saskatchewan Health Authority (SHA) Regina, most cpKPIs are incorporated into the organization's clinical practice standards, which provide guidance in prioritizing care, especially for high-risk medications, including anticoagulants. To track pharmacists' interventions associated with clinical practice standards, a locally developed electronic data-capture system (known as AIM High) was implemented. Objectives: To quantify and describe pharmacists' anticoagulation interventions on 16 wards with dedicated ward-based clinical pharmacists and to compare intervention rates between the cardiology and internal medicine wards to further evolve the organization's practice model. Methods: Data from the electronic data-capture system were retrospectively analyzed for a 5-year period (January 2016 to December 2020). Results: A total of 94 201 interventions were recorded in the AIM High system (average 362 interventions per week or 26 interventions per pharmacist per week). Of these, 15 661 (16.6%) cited the anticoagulation standard (average 60 anticoagulation interventions per week or 4 anticoagulant interventions per pharmacist per week). For the cardiology and internal medicine wards, 4183 of 11 888 (35.2%) and 9034 of 54 843 (16.5%) interventions cited the anticoagulation standard, respectively. The top 4 types of anticoagulation interventions were dose changed (n = 4372 or 27.9%), drug started or restarted (n = 3867 or 24.7%), patient education (n = 3094 or 19.8%), and drug discontinued (n = 2944 or 18.8%). Conclusion: Dedicated ward-based clinical pharmacists were following clinical practice standards incorporating the majority of cpKPIs to complete anticoagulation interventions. The types of anticoagulation interventions evolved over time and were influenced by the patient population.


Contexte: Les indicateurs clés de performance en pharmacie clinique (ICPEPC) se rapportent à des activités exécutées par des pharmaciens qui ont fait leurs preuves dans l'amélioration des résultats pour les patients. À la Saskatchewan Health Authority (SHA) Regina, la plupart des ICPEPC sont intégrés aux normes de pratique clinique de l'organisme. Celles-ci fournissent des conseils pour hiérarchiser les soins liés aux médicaments, en particulier ceux associés aux médicaments à haut risque, notamment les anticoagulants. Un système électronique de saisie de données développé localement, le « AIM High ¼, a été mis en place afin de suivre les interventions des pharmaciens associées aux normes de pratique clinique. Objectifs: Quantifier et décrire les interventions des pharmaciens en matière d'anticoagulation dans 16 services avec des pharmaciens cliniciens dédiés et comparer les taux d'intervention entre les services de cardiologie et de médecine interne en vue de faire évoluer davantage le modèle de pratique de l'organisation. Méthodes: Les données du système électronique de saisie des données ont été analysées rétrospectivement sur une période de 5 ans (de janvier 2016 à décembre 2020). Résultats: Au total, 94 201 interventions ont été enregistrées dans le système (moyenne de 362 interventions par semaine ou 26 interventions par pharmacien par semaine). Parmi celles-ci, 15 661 (16,6 %) citent la norme d'anticoagulation (moyenne de 60 interventions d'anticoagulation par semaine ­ soit 4 interventions d'anticoagulation par pharmacien par semaine). Pour les services de cardiologie et de médecine interne, 4183 (35,2%) des 11 888 et 9034 (16,5 %) des 54 843 interventions citent respectivement la norme d'anticoagulation. Les 4 principaux types d'interventions d'anticoagulation étaient le changement de dose (n = 4372 ou 27,9 %), le traitement commencé ou redémarré (n = 3867 ou 24,7 %), l'éducation du patient (n = 3094 ou 19,8 %) et l'arrêt du médicament (n = 2944 ou 18,8 %). Conclusion: Les pharmaciens cliniques dédiés au service suivaient les normes de pratique clinique incorporant la majorité des ICPEPC pour mener à bien les interventions d'anticoagulation. Les types d'interventions d'anticoagulation ont évolué au fil du temps et ont été influencés par la population de patients.

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