Your browser doesn't support javascript.
loading
Mostrar: 20 | 50 | 100
Resultados 1 - 5 de 5
Filtrar
Mais filtros










Base de dados
Intervalo de ano de publicação
1.
Rev Sci Tech ; 38(1): 315-325, 2019 May.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-31564725

RESUMO

Zoonotic diseases constitute a significant threat to the health of humans, livestock and wildlife, as well as to livestock production, and can also have a negative impact on our shared environment and on livelihoods. Uganda is a hotspot for emerging and re-emerging zoonotic disease threats, with the main drivers of this phenomenon being identified as agricultural intensification, proximity to wildlife reservoirs and climate change. The threat of zoonotic disease outbreaks affects not only human healthcare systems but also livestock production, food security, human capital development, wildlife health, environmental health and privatesector growth. Firstly, to prevent, control and mitigate the threat from zoonotic diseases, in March 2017, Uganda prioritised zoonotic diseases using a One Health approach that focuses the limited resources available on those diseases that have the greatest impact at the national level. The prioritised zoonotic diseases in question are anthrax, zoonotic influenza viruses, viral haemorrhagic fevers, brucellosis, trypanosomiosis (African sleeping sickness), plague and rabies. Secondly, in January 2018, Uganda published a National One Health Strategic Plan, which was developed after these zoonotic diseases had been prioritised. In addition, the Ugandan Government and its partners are currently collaboratively addressing several of these previously neglected, endemic zoonotic diseases, such as anthrax, brucellosis and rabies. As a result of these One Health efforts, capacity has increased for early detection of, reporting on and response to zoonotic diseases at all levels. To consolidate the achievements of the One Health approach, the Ugandan Government and its partners should continue to support capacity building for the prevention and control of zoonotic diseases.


Les maladies zoonotiques représentent une menace importante pour la santé publique, pour la santé du bétail et de la faune sauvage et pour la productivité du secteur de l'élevage ; en outre, elles ont un impact négatif sur notre environnement commun et sur les moyens de subsistance des populations. L'Ouganda est particulièrement exposé au risque d'émergence et de réémergence des menaces zoonotiques, les principaux facteurs de ce phénomène étant l'intensification agricole, la proximité des espèces sauvages faisant office de réservoirs et le changement climatique. Les menaces de foyers de maladie zoonotique n'affectent pas seulement les systèmes de santé publique mais aussi la production animale, la sécurité alimentaire, le développement du capital humain, la santé de la faune sauvage, la santé environnementale et la croissance du secteur privé. Afin de maîtriser et d'atténuer les menaces liées aux zoonoses, l'Ouganda a d'abord entrepris en mars 2017 de prioriser ces maladies au moyen d'une méthode Une seule santé destinée à recentrer les ressources disponibles, qui sont limitées, sur les zoonoses présentant le plus fort impact au niveau national. Les maladies ainsi définies comme prioritaires sont la fièvre charbonneuse, les virus influenza zoonotiques, les fièvres hémorragiques virales, la brucellose, la trypanosomose humaine africaine (maladie du sommeil), la peste et la rage. Dans un deuxième temps, l'Ouganda a publié en janvier 2018 son Plan stratégique national Une seule santé, en tenant compte des maladies zoonotiques définies comme prioritaires. En outre, le gouvernement ougandais et ses partenaires ont mis en place un cadre de collaboration en vue de traiter un certain nombre de maladies zoonotiques endémiques précédemment négligées telles que la fièvre charbonneuse, la brucellose et la rage. Grâce à ces efforts Une seule santé, l'Ouganda à pu renforcer ses capacités en matière de détection précoce des maladies zoonotiques, de notification et de réponse, et ce à tous les niveaux. Afin de consolider les résultats obtenus par l'approche Une seule santé, le gouvernement ougandais et ses partenaires devraient continuer à soutenir les efforts de renforcement des capacités destinées à la prévention et au contrôle des zoonoses.


Las enfermedades zoonóticas constituyen una importante amenaza no solo para la salud de personas, animales domésticos y fauna silvestre, sino también para la producción pecuaria, sin olvidar que pueden repercutir negativamente en el entorno natural que todos compartimos y en nuestros medios de sustento. Por lo que respecta al peligro que representan las enfermedades zoonóticas emergentes y reemergentes, cabe decir que Uganda es un «avispero¼, en el que convergen varios de los principales factores que alimentan el fenómeno: la intensificación de la agricultura, la cercanía de animales salvajes que ejercen de reservorio y el cambio climático. La amenaza de brotes de enfermedades zoonóticas afecta no solo a los sistemas de atención sanitaria sino también a la producción pecuaria, la seguridad alimentaria, el desarrollo del capital humano, la sanidad de los animales silvestres, la salud ambiental y el crecimiento del sector privado. En primer lugar, con el fin de prevenir, controlar y reducir la amenaza derivada de enfermedades zoonóticas, en marzo de 2017 Uganda definió un orden de prioridades entre esta clase de enfermedades, aplicando para ello la lógica de Una sola salud para concentrar los escasos recursos en aquellas enfermedades que tienen la mayor repercusión a escala nacional. Las enfermedades zoonóticas consideradas así prioritarias son: el carbunco bacteridiano, los virus gripales zoonóticos, las fiebres hemorrágicas víricas, la brucelosis, la tripanosomosis (enfermedad del sueño africana), la peste y la rabia. En segundo lugar, en enero de 2018 Uganda hizo público un Plan Estratégico Nacional de Una sola salud, que se elaboró tras haber definido como prioritarias las mencionadas enfermedades zoonóticas. Además, el Gobierno ugandés y sus asociados colaboran ahora en la lucha contra varias de estas enfermedades zoonóticas endémicas, hasta ahora desatendidas, como el carbunco, la brucelosis o la rabia. Gracias a estas actividades en clave de Una sola salud, el país se ha dotado de mayor capacidad para detectar rápidamente enfermedades zoonóticas, notificarlas y afrontarlas a todos los niveles. Ahora, para afianzar los resultados obtenidos, es preciso que el Gobierno del país y sus asociados sigan respaldando la labor de creación de capacidad para la prevención y el control de enfermedades zoonóticas.


Assuntos
Fortalecimento Institucional , Saúde Única , Zoonoses , Animais , Animais Selvagens , Humanos , Saúde Única/normas , Uganda , Zoonoses/prevenção & controle
2.
Rev Sci Tech ; 38(1): 225-237, 2019 May.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-31564728

RESUMO

In 2016-2017, the H5N8 strain of highly pathogenic avian influenza (HPAI) spread worldwide and Uganda reported the first occurrence of the disease in its poultry and wild birds. Genetic analysis revealed that the virus clusters with 2.3.4.4 group B strains from birds in central and southern Asia, and thus forms part of the 2.3.4.4 group B clade. Since Uganda is in the path of two major migratory bird flyways, it is likely that infected migratory wild birds played a crucial role in the introduction of H5N8 HPAI viruses into Uganda. The outbreaks happened in the districts of Wakiso, Masaka and Kalangala and affected domestic and wild birds. A One Health Multisectoral Coordination Committee, consisting of a National Task Force, Technical Working Groups and District Disaster Management Committees, was immediately activated to coordinate the preparedness and response efforts to control the disease. In all the affected districts, surveillance was intensified on both domestic and wild birds; biosecurity measures were increased; and movement controls, culling, cleaning, disinfection and safe disposal of carcasses were implemented. Awareness of the disease was raised through education materials, leaflets and brochures distributed to farmers. Finally, Uganda successfully controlled the H5N8 outbreak, using its national preparedness and response mechanisms and through collaboration with international partners. The emergence and spread of this virus strain in Uganda and other parts of Africa poses a significant threat to the poultry industry and food security.


En 2016­2017, le sous-type H5N8 du virus de l'influenza aviaire hautement pathogène (IAHP) s'est propagé dans le monde entier. En Ouganda, les premiers cas ont été notifiés chez les volailles et dans l'avifaune. Une analyse génétique a montré que le virus causal était relié aux souches 2.3.4.4 de groupe B trouvées chez des oiseaux d'Asie centrale et du Sud et qu'il appartenait donc au clade 2.3.4.4 des virus du groupe B. L'Ouganda se trouvant sur le tracé de deux voies majeures de migration d'oiseaux, les espèces sauvages d'oiseaux migrateurs ont probablement joué un rôle déterminant dans l'introduction des virus H5N8 de l'IAHP en Ouganda. Les foyers se sont déclarés dans les districts de Wakiso, Masaka et Kalangala, affectant des espèces aviaires domestiques et sauvages. Un Comité de coordination multisectoriel Une seule santé a aussitôt été créé, composé d'un groupe de travail national, de plusieurs groupes techniques d'experts et de comités locaux de gestion des urgences, afin d'assurer la coordination des activités de préparation et de réponse pour lutter contre la maladie. La surveillance des oiseaux domestiques et de l'avifaune a été intensifiée dans tous les districts affectés ; les mesures de biosécurité ont été renforcées ; les mouvements d'animaux ont été soumis à un contrôle ; enfin, des mesures d'abattage, de nettoyage/désinfection et d'élimination sécurisée des cadavres ont été introduites. Une campagne de sensibilisation à la maladie a été organisée avec la distribution aux éleveurs de matériels pédagogiques, dépliants et brochures d'information. L'Ouganda a finalement réussi à contrôler ce foyer dû au virus H5N8 en appliquant les mécanismes nationaux de préparation et de réponse, avec la collaboration de ses partenaires internationaux. L'émergence et la propagation de cette souche virale en Ouganda et dans d'autres régions d'Afrique font peser une lourde menace sur le secteur des productions avicoles ainsi que sur la sécurité alimentaire.


En los años 2016 y 2017 la cepa H5N8 del virus de la influenza aviar altamente patógena (IAAP) se diseminó por el mundo entero y Uganda notificó su primera aparición en las poblaciones de aves salvajes y de corral del país. El análisis genético reveló que el virus se agrupa con cepas 2.3.4.4 del grupo B que se encuentran en aves de Asia central y meridional, de donde se sigue que forma parte del clado 2.3.4.4 del grupo B. Toda vez que por el territorio ugandés pasan dos grandes rutas migratorias, es probable que, en el curso de sus migraciones, ciertas aves salvajes infectadas hayan tenido un papel decisivo en la introducción en el país del virus H5N8 de la IAAP. Los brotes tuvieron lugar en los distritos de Wakiso, Masaka y Kalangala y afectaron a aves tanto domésticas como salvajes. Inmediatamente se activó un comité de coordinación multisectorial de Una sola salud, formado por un grupo de trabajo nacional más una serie de grupos de trabajos técnicos y de comités de distrito de «gestión de catástrofes¼, que tenía por cometido coordinar las actividades de preparación y respuesta para combatir la enfermedad. En todos los distritos afectados se intensificó la vigilancia de las aves domésticas y salvajes, se reforzaron las medidas de seguridad biológica y se instituyeron medidas de control de los movimientos, sacrificio sanitario, limpieza, desinfección y eliminación segura de los animales muertos. También se repartieron entre los productores material pedagógico, prospectos y folletos con el objetivo de dar mejor a conocer la enfermedad. A la postre Uganda, gracias a sus mecanismos nacionales de preparación y respuesta, aunados a la colaboración con contrapartes internacionales, logró controlar el brote causado por el virus H5N8. La aparición y propagación de esta cepa vírica en Uganda y otras partes de África supone una importante amenaza para el sector avícola y la seguridad alimentaria.


Assuntos
Animais Selvagens , Surtos de Doenças , Vírus da Influenza A Subtipo H5N8 , Influenza Aviária , Migração Animal , Animais , Ásia , Aves , Surtos de Doenças/prevenção & controle , Humanos , Influenza Aviária/prevenção & controle , Uganda
3.
Rev Sci Tech ; 36(1): 279-289, 2017 Apr.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-28926009

RESUMO

This paper presents a summary of findings from a research project that examined institutional arrangements for providing animal health services in Uganda and Kenya. Given the need to find solutions to the pervasive governance challenges encountered in the delivery of veterinary services in Africa, the study applied transaction economics theory to generate recommendations on how to improve the delivery of these services and minimise livestock production risks, including those that pose a risk to human health, e.g. zoonoses. The most notable recommendations are as follows: i) lower- and middle-income countries should invest in creating an enabling environment that supports the relationship between professional veterinarians and para-professionals, to ensure the timely reporting, treatment and control of animal diseases; ii) the provision of veterinary extension services should not focus solely on household 'heads', but also on other household members, such as wives and children, and on herdsmen; iii) strong government engagement is required in the provision of veterinary services for pastoral or extensive livestock production systems, because normal market forces have failed to attract professional veterinarians and trained para-professionals from the private sector to work in these sectors; iv) farmers must be empowered to hold service providers accountable, by the development and trialling of tools that would enable them to measure the quality of services that they receive and to verify the qualifications of different service providers; v) investment in veterinary education is vital, to ensure that enough qualified veterinary staff are available to offer veterinary services to farmers.


L'auteur propose une synthèse des principales conclusions d'un projet de recherche consacré aux dispositifs institutionnels élaborés en Ouganda et au Kenya pour encadrer la prestation des services de santé animale. Face à la nécessité de trouver des solutions aux graves difficultés de gouvernance qui entravent la prestation de services vétérinaires en Afrique, cette étude s'est fondée sur la théorie des transactions économiques pour formuler quelques recommandations sur les moyens d'améliorer la prestation de ces services et de minimiser les risques affectant la production animale, y compris ceux qui peuvent menacer la santé publique, à savoir les zoonoses. Les principales recommandations de l'étude sont les suivantes : i) les pays à faible revenu et à revenu intermédiaire devraient s'investir dans la création d'un environnement propice à la coopération entre les vétérinaires professionnels et les para-professionnels vétérinaires, afin d'assurer la notification rapide, le traitement et la prophylaxie des maladies animales ; ii) les prestations de services vétérinaires de proximité ne doivent pas se limiter aux seuls « chefs de famille ¼ mais s'adresser également aux autres membres des foyers (les épouses et les enfants) ainsi qu'aux gardiens des troupeaux; iii) une mobilisation forte des pouvoirs publics est nécessaire pour assurer la prestation de services vétérinaires au sein des systèmes d'élevage pastoral ou extensif, dans la mesure où les forces spontanées du marché ont échoué à attirer les vétérinaires libéraux et les para-professionnels qualifiés du secteur privé dans ces territoires ; iv) les éleveurs doivent disposer des moyens de demander des comptes aux prestataires de services, ce qui suppose de concevoir et de tester des outils leur permettant d'évaluer la qualité des services rendus et de vérifier les qualifications des différents prestataires de services ; v) l'investissement dans l'enseignement de la médecine vétérinaire est d'une importance capitale pour garantir que les effectifs des personnels vétérinaires qualifiés sont suffisants pour assurer une prestation de services adéquate aux éleveurs.


El autor resume las conclusiones de un proyecto de investigación en el que se estudiaron los dispositivos institucionales destinados a prestar servicios zoosanitarios en Uganda y Kenia. Dada la necesidad de encontrar soluciones para los omnipresentes problemas de buen gobierno que lastran la prestación de servicios veterinarios en África, en el estudio se aplicó la teoría de la economía de transacción para formular una serie de recomendaciones sobre la manera de mejorar la prestación de dichos servicios y reducir al mínimo los riesgos para la producción ganadera, en particular aquellos que entrañen una amenaza para la salud humana, como las zoonosis. Las recomendaciones más destacadas son las siguientes: i) los países de nivel bajo o medio de renta deben invertir en la creación de condiciones que favorezcan la relación entre los veterinarios profesionales y los paraprofesionales, con objeto de lograr una mayor puntualidad en la notificación, el tratamiento y el control de las enfermedades animales; ii) la prestación de servicios de divulgación veterinaria no debe ir dirigida únicamente a los «cabezas de familia¼, sino también a los demás miembros de la unidad familiar (esposa e hijos, por ejemplo) y a los encargados de cuidar de los rebaños; iii) en sistemas de producción ganadera pastoral o extensiva la prestación de servicios veterinarios exige una fuerte participación del sector público, puesto que los mecanismos de mercado no han servido para atraer a veterinarios profesionales y a paraprofesionales cualificados del sector privado para que trabajen en esos sectores; iv) es preciso habilitar a los pequeños productores para que sean exigentes con los proveedores de servicios, elaborando y aplicando experimentalmente herramientas que los capaciten para enjuiciar la calidad de los servicios que reciben y comprobar las cualificaciones de los distintos proveedores de servicios; v) es esencial invertir en la enseñanza de la veterinaria a fin de lograr que haya una dotación suficiente de veterinarios cualificados para ofrecer servicios veterinarios a los productores.


Assuntos
Doenças dos Animais/terapia , Medicina Veterinária/normas , Doenças dos Animais/prevenção & controle , Técnicos em Manejo de Animais/economia , Técnicos em Manejo de Animais/educação , Técnicos em Manejo de Animais/normas , Técnicos em Manejo de Animais/tendências , Animais , Custos e Análise de Custo , Atenção à Saúde/economia , Atenção à Saúde/normas , Fazendeiros , Humanos , Quênia , Setor Privado , Setor Público , Uganda , Medicina Veterinária/economia , Medicina Veterinária/tendências , Zoonoses/prevenção & controle
4.
Environ Monit Assess ; 38(2-3): 271-5, 1995 Jan.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-24197950

RESUMO

Agronomic crop residues produce greenhouse gas emissions. Crops that produce residues at harvest and during processing may vary from country to country. These residues, which can be in the form of peels, husks, stalks, or straw, are generally considered to be waste products. The carbon (C) and nitrogen (N) content of 19 different agronomic and grass crops common in Uganda were determined using standard laboratory methods. The C and N content of the samples were calculated from two separate equations containing a moisture correction factor. The crop residue C/N ratios were similar to UNEP/OECD/IEA/IPCC values.

5.
Science ; 153(3740): 1113-4, 1966 Sep 02.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-17737593

RESUMO

Coherent elastic waves were generated and detected at 114,000 megacycles per second in quartz at liquid-helium temperatures. Effective input power was approximately 3 milliwatts. The results suggest that the piezoelectric method may be applicable to similar experiments at much higher frequencies.

SELEÇÃO DE REFERÊNCIAS
DETALHE DA PESQUISA
...