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Plast Surg (Oakv) ; 22(4): 254-8, 2014.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-25535464

RESUMO

BACKGROUND: Spiral metacarpal fractures can result in shortening of the metacarpal shaft, which may lead to extension lag at the metacarpophalangeal joint and reduced grip strength. These fractures have been surgically treated to restore metacarpal length; however, there are complications associated with surgery, postoperative management and wound healing, which further threaten power recovery in the hand. OBJECTIVE: To determine the effect of conservative management of un-operated, nonscissoring spiral metacarpal fractures. METHODS: Sixty-one consecutive patients presenting with nonscissoring spiral metacarpal fractures were treated nonoperatively and studied prospectively to determine the natural history of their power outcome. Thumb fractures and those requiring surgical intervention for scissoring were excluded. RESULTS: Follow-up data of a minimum of five months (mean follow-up 87 weeks) were available for 13 patients. Mean grip strength at final follow-up was 36.18 kg on the uninjured side and 36.58 kg on the injured side. The strength-difference values did not differ significantly from zero (P=0.72). CONCLUSION: The loss of metacarpal length associated with these fractures may not cause a power deficit sufficiently large to significantly affect grip strength and functional recovery in the hand. A prospective randomized controlled trial of operated versus unoperated, nonscissoring metacarpal fractures is warranted.


HISTORIQUE: Les fractures spiroïdes des métacarpiens peuvent provoquer un raccourcissement diaphysaire, qui peut s'associer à un déficit d'extension de l'articulation métacarpophalangienne et à une diminution de la force de préhension. Ces fractures peuvent être opérées pour rétablir la longueur du métacarpien, mais des complications sont liées à la chirurgie, à la prise en charge postopératoire et à la guérison, ce qui menace le rétablissement de la force de la main. OBJECTIF: Déterminer l'effet d'une prise en charge prudente des fractures spiroïdes non déplacées et non opérées des métacarpiens. MÉTHODOLOGIE: Soixante et un patients consécutifs ayant une fracture spiroïde non déplacée du métacarpien ont été soignés sans être opérés et ont fait l'objet d'une étude prospective pour déterminer l'évolution naturelle de la force de leur main. Les fractures du pouce et celles qui devaient être replacées par voie chirurgicale étaient exclues. RÉSULTATS: Les chercheurs possédaient des données de suivi colligées sur au moins cinq mois (suivi moyen de 87 semaines) au sujet de 13 patients. La force de préhension moyenne au dernier rendez-vous de suivi était de 36,18 kg du côté non blessé et de 36,58 kg du côté blessé. Ces différences ne variaient pas de manière significative par rapport à zéro (P=0,72). CONCLUSION: La diminution de la longueur du métacarpien associée à ces fractures ne limite peut-être pas assez la force de la main pour vraiment nuire à son rétablissement fonctionnel et à sa récupération. Il faudra effectuer un essai aléatoire et contrôlé prospectif des fractures non déplacées des métacarpiens qui sont opérées par rapport à celles qui ne le sont pas.

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