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1.
Ann Burns Fire Disasters ; 34(3): 213-217, 2021 Sep 30.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-34744535

RESUMO

This retrospective study investigated burn features and predicted factors for death of pediatric burn patients in Vietnam. The results showed that pediatric burn accounted for 48.1% of total admitted burn patients. Preschool children and boys were predominant, burns were mostly caused by scald (76.2%) and the majority of patients lived in a rural area (64.1%). In addition, 94.5% had burn size less than 30% total body surface area and deep burn injury was seen in 45.5% patients. Moreover, a significantly higher incidence of deep burn injury was recorded in preschool age, patients living in a rural area, and non-scald burn. Overall LA50 was 81.5% and a significantly higher mortality rate was seen in non-scald burns, older children, extensive burn and inhalation injury. Multivariate logistic analysis indicated that only burn extent and inhalation injury were independent risk factors for death. An increased 1% of burn extent resulted in a .7 probability unit of death (OR=1.08) and this was 2.16 in the case of inhalation injury (OR=8.67). This health issue should be highlighted in order to develop appropriate policies and intervention measures in developing countries.


Cette étude rétrospective s'est penchée sur les caractéristiques et les facteurs de risque de mortalité des brûlures de l'enfant au Vietnam. Ces brûlres représentent 48,1% des hospitalisations dans notre centre. Les garçons d'âge préscolaire sont la sous- population prédominante. Les ébouillantements sont majoritaires (76,2%), de même que l'origine ruale (64,1%). L'immense majorité (94,5%) des brûlures touche moins de 30% SCT et l'atteinte n'est profonde que dans 45,5% des cas. Les brûlures sont plus profondes chez les patients ruraux préscolaires non ébouillantés. La SL (Surface Létale) 50 était de 81,5% ; les facteurs de risque de mortalité étant l'âge et la surface plus élevés, l'inhalation de fumées et la brûlure non due à un liquide. En analyse multivariée, seules la surface et l'inhalation de fumée ressortaient. Ainsi, l'augmentation de 1% de SB la probabilté de décès de 0,7 (OR 1,08) quand l'inhalation de fumée l'augmente de 2,16 (OR 8,67). Ce problème de santé publique doit être mis en avant afin de développer une législation et des mesures de protection adaptées dans les pays en développement.

2.
Ann Burns Fire Disasters ; 33(2): 112-115, 2020 Jun 30.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-32913431

RESUMO

The aim of this study was to investigate the influence of inhalation injury on resting energy expenditure (REE) and some plasma metabolic hormones in adult burn patients. A prospective study was conducted on 16 adult burn patients admitted to the burn intensive care unit, National Burn Hospital, Vietnam. Eight patients with inhalation injury were matched with 8 non-inhalation injury patients by burn extent and age. REE measurements were obtained within 48h of admission and every week after burn. Plasma levels of epinephrine and cortisol were determined on admission and on the 7th day after burns. The results showed that, apart from REE at admission, all values of REE were significantly higher than basal metabolic rate (BMR) at all time points (p < .005). Over time, REE of both groups significantly increased and reached peak values on the 7th day after burn (1964 ± 300Kcal/m2 and 1991.8 ± 467.8Kcal/m2; REE/BMR: 1.5 vs. 1.6 respectively). These values then steadily reduced, but no remarkable differences of REE and REE/BMR were seen between the two groups at any time point (p > .05). In addition, plasma concentrations of epinephrine and cortisol were not significantly different in each group and between the two groups of patients with and without inhalation injury. In conclusion, inhalation injury may not affect metabolic response state in adult burn patients as measured by REE and metabolic hormones.


Le but de ce travail était d'étudier l'influence de l'inhalation de fumées sur la dépense énergétique de repos (DER) et le niveau plasmatique de certaines hormones « métabolique ¼ chez des adultes brûlés. Elle a été réalisée sur 16 patients hospitalisés dans le service de réanimation de l'hôpital brûlologique national du Viêt- Nam, 8 ayant inhalé de la fumée, 8 n'en ayant pas inhalé, appariés sur la surface brûlée. La DER était mesurée dans les 48 h de l'admission puis toutes les semaines. Les taux plasmatiques de cortisol et d'adrénaline étaient mesurés à l'admission et à J7. Mise part celle mesurée à l'admission, DER était systématiquement supérieure à celle calculée selon la formule de Harris- Benedict (p < 0,005), avec un pic à J7 (1964 +/- 300 Cal/m2 chez les patients avec inhalation de fumées, 1991,8 +/- 467,8 chez les autres soit 1,5 et 1,6 fois la DER supposée. Les valeurs mesurées diminuaient ensuite sans jamais qu'il y ait de différence entre les groupes. Pas plus que ne différaient les taux de cortisol ni d'adrénaline. L'inhalation de fumée semble donc de pas avoir d'impact sur la réponse métabolique, mesurée par calorimétrie ou évaluée sur les taux hormonaux.

3.
Ann Burns Fire Disasters ; 32(2): 158-164, 2019 Jun 30.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-31528158

RESUMO

Our aims were to evaluate resources and the preparedness of the health care facilities to respond to mass burn injuries in Vietnam. A survey was conducted in 19 provincial and central/regional hospitals using a questionnaire. The contents of the survey included infrastructure, human resources, medical equipment for burn care, and preparedness of hospitals for mass burn injuries. Results indicated that a variety of burn care facilities were set up, from separate burn departments (42.1%) to burn units (15.8%) or burn beds (42.1%) inside trauma or surgical departments. Medical staff/burn bed ratio was .7 and nurse/physician ratio was 1.7, with 52.7% of nurses having more than 5 years' experience. Infrastructure and medical equipment for burn facilities were limited, with just under half of the hospitals equipped with an air conditioner and heater. Bronchoscopy for diagnosis and management of inhalation injury was available in 6 (31.6%) hospitals. Few health facilities had a mechanical ventilator, fluid warmer, hemofiltration machine, burn theater, electro-dermatome or skin mesher. Only 26.3% hospitals had a plan for the management of mass burn injuries. A burn specialist was a member of the hospital's emergency medical team in 36.8% of the hospitals. Guidelines for burn emergency care were available in 63.2% hospitals. In the last 5 years, 21.1% of health facilities had conducted a drill for mass casualty incident management, but only 1 (5.3%) hospital had conducted a drill for MBI management. In conclusion, facilities, equipment, human resources for burn care and preparedness to manage mass burn injuries in Vietnam are still limited and need to be improved.


Nous avons étudié les capacités du système de santé vietnamien à répondre à un afflux massif de brûlés. Nous avons envoyé un questionnaire à 19 structures provinciales et régionales. Il portait sur les infrastructures, les moyens humains comme matériels, les structures de soins aux brûlés et la préparation à la prise en charge d'un afflux massif de brûlés. Nous avons repéré 3 types de structures de soins aux brûlés : CTB spécifiques (42,1%), unités (15,8%) ou lits (42,1%) pour brûlés dans des services de traumatologie ou de chirurgie. On recense 0,7 médecin par lit et 1,7 infirmière par médecin, 52,7% d'entre elles ayant au moins 5 ans d'expérience. Un peu moins de la moitiés des hôpitaux avaient des systèmes de chauffage ou de climatisation. Seuls 6 (31,6%) des hôpitaux disposaient d'un fibroscope, permettant de diagnostiquer et prendre en charge les inhalations de fumées. Peu de structures disposaient de ventilateurs, réchauffeurs de perfusion, dialyseurs, salle d'opération dédiée, dermatome électrique ou Meshgraft. Seuls 26,3% des hôpitaux avaient élaboré un plan catastrophe spécifique, 36,8% des structures ayant un brûlologue dans leur équipe d'urgences. Des référentiels de prise en charge en urgence existaient dans 62,3% des hôpitaux. 21,1% des hôpitaux avaient réalisé un exercice- catastrophe dans les 5 ans précédant l'étude mais 1 seul (5,3%) avait modélisé un afflux massif de brûlés. En conclusion, les infrastructures, le personnel et l'entraînement vis-à-vis d'un afflux massif de brûlés restent insuffisants au Viêt-Nam et doivent être améliorés.

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