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1.
Can J Hosp Pharm ; 69(1): 14-22, 2016.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-26985084

RESUMO

BACKGROUND: Clinicians often face challenges in deciding how to treat osteoporosis in patients with chronic kidney disease. As background to offering guidance to health care providers, it is important to understand their practices and beliefs. OBJECTIVES: To describe the practices and beliefs of pharmacists regarding use of bisphosphonates for patients with osteoporosis and chronic kidney disease. METHODS: A cross-sectional survey of pharmacists working in hospitals and related health care settings was conducted. A 34-item online questionnaire was developed consisting of 4 sections: demographic characteristics, practices, beliefs, and comfort level with making decisions about osteoporosis treatment. An e-mail invitation was sent to members of the Canadian Society of Hospital Pharmacists (n = 2499) in November 2012. RESULTS: A total of 367 pharmacists completed the survey. Most of the respondents were women (258 [70%]), had more than 10 years in practice (213 [58%]), and were providing care to 1 or more osteoporosis patients per week (212 [58%]). Over one-third (150 [41%]) stated that they would use a bisphosphonate for patients with creatinine clearance (CrCl) of 15-30 mL/min, but more than half (207 [56%]) stated that they would avoid a bisphosphonate (and recommend another medication) for patients with CrCl below 15 mL/min. Forty-eight percent (176/363) agreed that oral bisphosphonates could be used for patients with renal failure (defined as CrCl < 30 mL/min), so long as dosage adjustments are made. More than half (206/363 [57%]) believed that the adverse effects of oral bisphosphonates increase for patients with renal failure. Respondents expressed a low level of comfort in assessing and initiating osteoporosis treatment for patients with renal failure. CONCLUSIONS: Pharmacists had varying beliefs about managing osteoporosis in patients with chronic kidney disease. This study highlights the need for practice tools and targeted education addressing the use of bisphosphonates for these patients.


CONTEXTE: Les cliniciens sont souvent confrontés à des défis lorsqu'ils doivent choisir un traitement contre l'ostéoporose chez les patients atteints d'insuffisance rénale chronique. Afin d'être en mesure de guider les fournisseurs de soins de santé, il importe de comprendre leurs pratiques et leurs croyances. OBJECTIF: Offrir un portrait des pratiques et croyances des pharmaciens en ce qui a trait à l'emploi des bisphosphonates chez les insuffisants rénaux chroniques atteints d'ostéoporose. MÉTHODES: Une enquête transversale a été réalisée auprès de pharmaciens exerçant en établissements de santé. Un questionnaire en ligne a été élaboré. Il contenait 34 éléments répartis en 4 sections, soit : les caractéristiques démographiques; les pratiques; les croyances; et le degré d'aisance en ce qui a trait au choix d'un traitement contre l'ostéoporose. Un courriel d'invitation a été envoyé aux membres de la Société canadienne des pharmaciens d'hôpitaux (n = 2499) en novembre 2012. RÉSULTATS: Au total, 367 pharmaciens ont participé au sondage. La plupart des répondants étaient des femmes (258 [70 %]), possédaient plus de 10 années de pratique (213 [58 %]) et fournissaient hebdomadairement des soins à au moins un patient ostéoporotique (212 [58 %]). Plus d'un tiers (150 [41 %]) ont indiqué qu'ils emploieraient un bisphosphonate chez les patients affichant une clairance de la créatinine (ClCr) entre 15 et 30 mL/min, mais plus de la moitié (207 [56 %]) ont affirmé qu'ils n'en utiliseraient pas (et qu'ils recommandaient un autre médicament) chez les patients présentant une ClCr en deçà de 15 mL/min. Quarante-huit pour cent (176/363) ont affirmé que les bisphosphonates oraux pouvaient être employés pour les patients présentant une insuffisance rénale (définie comme une ClCr < 30 mL/min), pourvu que l'on procède à des ajustements posologiques. Plus de la moitié (206/363 [57 %]) croyaient que les effets indésirables des bisphosphonates oraux sont plus importants chez les patients souffrant d'insuffisance rénale. Les répondants ont indiqué être peu à l'aise lorsque vient le temps d'évaluer et d'amorcer un traitement contre l'ostéoporose chez les insuffisants rénaux. CONCLUSIONS: Les pharmaciens adhéraient à diverses croyances en ce qui touche la prise en charge de l'ostéoporose chez les insuffisants rénaux. La présente étude met en évidence le besoin d'outils pour la pratique ainsi que d'enseignement ciblé portant sur l'emploi des bisphosphonates chez les patients atteints d'insuffisance rénale.

2.
Can J Hosp Pharm ; 68(3): 191-201, 2015.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-26157180

RESUMO

BACKGROUND: Providing clinical pharmacy services in emergency departments (EDs) is important because adverse drug events commonly occur before, during, and after ED encounters. Survey studies in the United States have indicated a relatively low presence of clinical pharmacy services in the ED setting, but a descriptive survey specific to Canada has not yet been performed. OBJECTIVES: To describe the current status of pharmacy services in Canadian EDs and potential barriers to implementing pharmacy services in this setting. METHODS: All Canadian hospitals with an ED and at least 50 acute care beds were contacted to identify the presence of dedicated ED pharmacy services (defined as at least 0.5 full-time equivalent [FTE] position). Three different electronic surveys were then distributed by e-mail to ED pharmacy team members (if available), pharmacy managers (at hospitals without an ED pharmacy team), and ED managers (all hospitals). The surveys were completed between July and September 2013. RESULTS: Of the 243 hospitals identified, 95 (39%) had at least 0.5 FTE clinical pharmacy services in the ED (based on initial telephone screening). Of the 60 ED pharmacy teams that responded to the survey, 56 had pharmacists (27 of which also had ED pharmacy technicians) and 4 had pharmacy technicians (without pharmacists). Forty-four (79%) of the 56 ED pharmacist services had been established within the preceding 10 years. Order clarification, troubleshooting, medication reconciliation, and assessment of renal dosing were the services most commonly provided. The large majority of pharmacy managers and ED managers identified the need for ED pharmacy services where such services do not yet exist. Inadequate funding, competing priorities, and lack of training were the most commonly reported barriers to providing this service. CONCLUSIONS: Although the establishment of ward-based pharmacy services in Canadian EDs has increased over the past 10 years, lack of funding and a lack of ED training for pharmacists were reported as significant barriers to the expansion of this role in most hospitals.


CONTEXTE: Offrir des services de pharmacie clinique dans les services des urgences est important, car des événements indésirables liés aux médicaments se produisent fréquemment avant, pendant et après y avoir séjourné. Des études par sondage réalisées aux États-Unis font état d'une présence relativement faible des services de pharmacie clinique dans les services des urgences. Malheureusement, aucune enquête descriptive n'a été menée au Canada à ce jour. OBJECTIFS: Dresser le portrait actuel des services de pharmacie au sein des services des urgences du Canada et présenter les obstacles potentiels à l'établissement de services de pharmacie dans ce milieu. MÉTHODES: On a communiqué avec l'ensemble des hôpitaux canadiens disposant d'un service des urgences et d'au moins 50 lits de soins de courte durée afin de savoir s'ils profitaient de services de pharmacie consacrés au service des urgences (soit au moins 0,5 d'un poste équivalent temps plein). Trois différents sondages électroniques ont ensuite été envoyés par courriel : un aux membres du personnel de pharmacie affectés aux services des urgences (le cas échéant); un aux gestionnaires de pharmacie (des hôpitaux sans équipe de pharmacie au service des urgences); et un aux gestionnaires des services des urgences (de tous les hôpitaux). Les sondages ont été remplis entre juillet et septembre 2013. RÉSULTATS: Des 243 hôpitaux recensés, 95 (39 %) avaient au moins 0,5 d'un poste équivalent temps plein pour la prestation de services de pharmacie clinique au service des urgences (résultat établi au moyen d'une présélection téléphonique). Parmi les 60 équipes de pharmacie affectées au service des urgences ayant répondu au sondage, 56 disposaient de pharmaciens (et parmi celles-ci, 27 comptaient aussi sur des techniciens en pharmacie) et 4 étaient composées exclusivement de techniciens en pharmacie. Quarante-quatre (79 %) des 56 équipes comprenant des pharmaciens avaient été mises en place au cours des dix dernières années. La clarification des ordonnances, le dépannage, l'établissement de bilans comparatifs des médicaments et l'évaluation de l'ajustement posologique chez les insuffisants rénaux représentaient les services les plus souvent offerts. La vaste majorité des gestionnaires de pharmacie et des gestionnaires des services des urgences ont souligné la nécessité d'avoir des services de pharmacie au service des urgences dans les établissements où il n'y en avait pas encore. Le manque de financement, le nombre foisonnant de priorités et l'insuffisance de formation représentaient les éléments faisant le plus souvent obstacle à l'instauration de ce service selon les répondants. CONCLUSIONS: Bien que la mise en place de services de pharmacie clinique consacrés aux services des urgences ait augmenté au Canada durant les dix dernières années, le manque de financement et l'insuffisance de formation des pharmaciens pour le travail au service des urgences ont été présentés comme étant d'importants obstacles à l'accroissement de ce rôle dans la plupart des hôpitaux.

3.
Can J Hosp Pharm ; 68(3): 202-9, 2015.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-26157181

RESUMO

BACKGROUND: As of 2015, Accreditation Canada's Qmentum program expects emergency departments (EDs) to initiate medication reconciliation for 2 groups of patients: (1) those with a decision to admit and (2) those without a decision to admit who meet the criteria of a risk-based, health care organization-defined selection process. Pharmacist-led best possible medication histories (BPMHs) obtained in the ED are considered more complete and accurate than BPMHs obtained by other ED providers, with pharmacy technicians obtaining BPMHs as effectively as do pharmacists. A current assessment of the role of pharmacy in BPMH processes in Canadian EDs is lacking. OBJECTIVES: To identify and describe BPMH and medication reconciliation practices in Canadian EDs, including those performed by members of the ED pharmacy team. METHODS: All Canadian hospitals with an ED and at least 50 acute care beds were contacted to identify the presence of dedicated ED pharmacy services (defined as at least a 0.5 full-time equivalent position). Different electronic surveys were then distributed to ED pharmacy team members (where available) and ED managers (all hospitals). RESULTS: Survey responses were obtained from 60 (63%) of 95 ED pharmacy teams and 128 (53%) of 243 ED managers. Only 38 (30%) of the 128 ED managers believed that their current BPMH processes were adequate to obtain a BPMH for all admissions. Fifty-nine (98%) of the ED pharmacy personnel reported obtaining BPMHs (most commonly 6-10 per day), with priority given to admitted patients. Only 14 (23%) of the 60 ED pharmacy teams reported that their EDs had adequate staffing to comply with Accreditation Canada's requirements for obtaining BPMHs. This result is supported by the 104 (81%) out of 128 ED managers who reported that additional ED staffing would be needed to comply with the requirements. Numerous ED managers identified the need to expand ED pharmacy services and improve information technology support. CONCLUSIONS: BPMH processes in Canadian EDs were variable and inadequately supported. Survey responses suggested that additional staff and significant improvements in structured processes would be required to meet Accreditation Canada standards.


CONTEXTE: À compter de 2015, le programme Qmentum d'Agrément Canada s'attend à ce que les services des urgences réalisent un bilan comparatif des médicaments pour deux groupes de patients : (1) ceux que l'on décide d'admettre et (2) ceux non admis qui présentent un risque d'événements indésirables liés aux médicaments selon des critères élaborés par l'organisme. Les meilleurs schémas thérapeutiques possibles (MSTP) obtenus au service des urgences grâce aux pharmaciens sont considérés comme étant plus complets et précis que ceux dressés par d'autres fournisseurs du service des urgences. De plus, ceux obtenus par les techniciens en pharmacie sont d'une qualité égale à ceux dressés par les pharmaciens. Enfin, il n'y a pas d'évaluation actuelle du rôle joué par le personnel de la pharmacie au sein des processus d'obtention des MSTP dans les services des urgences du Canada. OBJECTIFS: Recenser les pratiques de réalisation des MSTP et des bilans comparatifs des médicaments au sein des services des urgences canadiens, notamment celles des membres des équipes de pharmacie affectés aux services des urgences, et les décrire. MÉTHODES: On a communiqué avec l'ensemble des hôpitaux canadiens disposant d'un service des urgences et d'au moins 50 lits de soins de courte durée afin de savoir s'ils profitaient de services de pharmacie consacrés au service des urgences (ce qui était défini comme au moins 0,5 d'un poste équivalent temps plein). Différents sondages électroniques ont ensuite été envoyés : un aux membres du personnel de pharmacie affectés aux services des urgences (le cas échéant); et un aux gestionnaires des services des urgences (de tous les hôpitaux). RÉSULTATS: Au total, 60 (63 %) des 95 équipes de pharmacie affectées aux services des urgences ont répondu au sondage, et 128 (53 %) des 243 gestionnaires des services des urgences ont fait de même. Seulement 38 (30 %) gestionnaires des services des urgences croyaient que leurs processus actuels convenaient à l'obtention des MSTP pour tous les patients admis. Cinquante-neuf (98 %) équipes de pharmacie affectées aux services des urgences ont déclaré dresser des MSTP (normalement de 6 à 10 par jour), la priorité étant accordée aux patients admis. Seules 14 (23 %) des 60 équipes de pharmacie affectées aux services des urgences jugeaient que leur service des urgences était doté d'un personnel suffisant pour satisfaire aux exigences d'Agrément Canada en ce qui a trait à l'obtention des MSTP. Ce résultat était corroboré par le fait que 104 (81 %) des 128 gestionnaires des services des urgences ont souligné le besoin de personnel supplémentaire au service des urgences afin de pouvoir respecter les exigences. Un grand nombre de gestionnaires des services des urgences ont reconnu la nécessité d'accroître la prestation des services de pharmacie aux services des urgences ainsi que le besoin d'améliorer le soutien par les technologies de l'information. CONCLUSIONS: Les processus d'obtention des MSTP dans les services des urgences canadiens variaient et n'avaient pas un soutien adéquat. Les réponses aux sondages semblent indiquer que du personnel supplémentaire de même que d'importantes améliorations des processus structurés seraient nécessaires pour respecter les normes d'Agrément Canada.

4.
Ann Pharmacother ; 49(6): 656-69, 2015 Jun.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-25780250

RESUMO

BACKGROUND: Key performance indicators (KPIs) are quantifiable measures of quality. There are no published, systematically derived clinical pharmacy KPIs (cpKPIs). OBJECTIVE: A group of hospital pharmacists aimed to develop national cpKPIs to advance clinical pharmacy practice and improve patient care. METHODS: A cpKPI working group established a cpKPI definition, 8 evidence-derived cpKPI critical activity areas, 26 candidate cpKPIs, and 11 cpKPI ideal attributes in addition to 1 overall consensus criterion. Twenty-six clinical pharmacists and hospital pharmacy leaders participated in an internet-based 3-round modified Delphi survey. Panelists rated 26 candidate cpKPIs using 11 cpKPI ideal attributes and 1 overall consensus criterion on a 9-point Likert scale. A meeting was facilitated between rounds 2 and 3 to debate the merits and wording of candidate cpKPIs. Consensus was reached if 75% or more of panelists assigned a score of 7 to 9 on the consensus criterion during the third Delphi round. RESULTS: All panelists completed the 3 Delphi rounds, and 25/26 (96%) attended the meeting. Eight candidate cpKPIs met the consensus definition: (1) performing admission medication reconciliation (including best-possible medication history), (2) participating in interprofessional patient care rounds, (3) completing pharmaceutical care plans, (4) resolving drug therapy problems, (5) providing in-person disease and medication education to patients, (6) providing discharge patient medication education, (7) performing discharge medication reconciliation, and (8) providing bundled, proactive direct patient care activities. CONCLUSIONS: A Delphi panel of hospital pharmacists was successful in determining 8 consensus cpKPIs. Measurement and assessment of these cpKPIs will serve to advance clinical pharmacy practice and improve patient care.


Assuntos
Reconciliação de Medicamentos/métodos , Farmacêuticos/organização & administração , Serviço de Farmácia Hospitalar/organização & administração , Consenso , Técnica Delphi , Humanos , Alta do Paciente , Farmacêuticos/normas , Serviço de Farmácia Hospitalar/normas
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