RESUMO
Background: We sought to systematically review the existing research on pyogenic liver abscesses to determine what data exist on antibiotic treatment durations. Methods: We conducted a systematic review and meta-analysis of contemporary medical literature from 2000 to 2020, searching for studies of pyogenic liver abscesses. The primary outcome of interest was mean antibiotic treatment duration, which we pooled by random-effects meta-analysis. Meta-regression was performed to examine characteristics influencing antibiotic durations. Results: Sixteen studies (of 3,933 patients) provided sufficient data on antibiotic durations for pooling in meta-analysis. Mean antibiotic durations were highly variable across studies, from 8.4 (SD 5.3) to 68.9 (SD 30.3) days. The pooled mean treatment duration was 32.7 days (95% CI 24.9 to 40.6), but heterogeneity was very high (I2 = 100%). In meta-regression, there was a non-significant trend towards decreased mean antibiotic treatment durations over later study years (-1.14 days/study year [95% CI -2.74 to 0.45], p = 0.16). Mean treatment duration was not associated with mean age of participants, percentage of infections caused by Klebsiella spp, percentage of patients with abscesses over 5 cm in diameter, percentage of patients with multiple abscesses, and percentage of patients receiving medical management. No randomized trials have compared treatment durations for pyogenic liver abscess, and no observational studies have reported outcomes according to treatment duration. Conclusions: Among studies reporting on antibiotic durations for pyogenic liver abscess, treatment practices are highly variable. This variability does not seem to be explained by differences in patient, pathogen, abscess, or management characteristics. Future RCTs are needed to guide optimal treatment duration for patients with this complex infection.
Historique: Les chercheurs ont procédé à l'analyse systématique des recherches sur les abcès hépatiques pyogènes afin de découvrir les données sur la durée de l'antibiothérapie. Méthodologie: Les chercheurs ont réalisé une analyse systématique et une méta-analyse des publications médicales parues entre 2000 et 2020 pour en extraire les études sur les abcès hépatiques pyogènes. Le résultat primaire était la durée moyenne de l'antibiothérapie, qu'ils ont regroupée par méta-analyse à effets aléatoires. Ils ont procédé à une méta-régression pour examiner les caractéristiques qui influent sur la durée de l'antibiothérapie. Résultats: Seize études (auprès de 3 933 patients) contenaient assez de données sur la durée de l'antibiothérapie pour être regroupées dans la méta-analyse. La durée moyenne de l'antibiothérapie était très variable d'une étude à l'autre, de 8,4±5,3 à 68,9±30,3 jours. La durée moyenne du traitement regroupé était de 32,7 jours (IC à 95 %, 24,9 à 40,6 jours), mais l'hétérogénéité était très élevée (I2 = 100 %). La méta-régression a révélé une tendance non significative vers une durée moins longue de l'antibiothérapie moyenne pendant les dernières années de l'étude (−1,14 jour par année d'étude, IC à 95 %, −2,74+0,45, p = 0,16). La durée moyenne du traitement n'était pas associée à l'âge moyen des participants, au pourcentage d'infections causées par les espèces de Klebsiella, au pourcentage de patients ayant un abcès de plus de cinq centimètres de diamètre, au pourcentage de patients ayant de multiples abcès et au pourcentage de patients recevant une prise en charge médicale. Aucune étude randomisée n'avait comparé la durée du traitement de l'abcès hépatique pyogène, et aucune étude observationnelle n'avait rendu compte des résultats cliniques en fonction de la durée du traitement. Conclusions: Dans les études sur la durée de l'antibiothérapie des abcès hépatiques pyogènes, les pratiques thérapeutiques sont très variables. Cette variabilité ne semble pas s'expliquer par les différences entre les patients, les agents pathogènes, les abcès ou les caractéristiques de prise en charge. Des études randomisées et contrôlées devront être réalisées pour obtenir des indications quant à la durée optimale du traitement chez les patients atteints de cette infection complexe.
RESUMO
alpha-Fetoprotein (AFP) is a tumor-associated Ag, and its serum level is elevated in patients with hepatocellular carcinoma (HCC). In vitro, AFP induces functional impairment of dendritic cells (DCs). This was demonstrated by the down-regulation of CD40 and CD86 molecules and the impairment of allostimulatory function. Also, AFP was found to induce significant apoptosis of DCs, and AFP-treated DCs produced low levels of IL-12 and TNF-alpha, a cytokine pattern that could hamper an efficient antitumor immune response. Ex vivo, APCs of patients with HCC and high levels of AFP produced lower levels of TNF-alpha than that of healthy individuals. In conclusion, these results illustrate that AFP induces dysfunction and apoptosis of APCs, thereby offering a mechanism by which HCC escapes immunological control.
