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1.
West Afr J Med ; 41(3): 286-292, 2024 Mar 29.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-38787809

RESUMO

PURPOSE: This study set out to determine the prevalence and the factors contributing to ocular disorders among children with physical and mental disabilities, who represent a vulnerable group in Osun State. METHODOLOGY: This was a cross-sectional study among children with physical and mental disabilities aged 5-17 years using a multistage sampling technique. Demographics, presence of ocular symptoms and determinants of ocular disorders were noted. Distant visual acuities were measured; refraction and ocular examination were performed. Appropriate drug treatment, prescribed spectacle or low vision aids were dispensed as necessary, at subsidized rates. RESULTS: Of 189 children enrolled, 103(54.5%) were males and 86(45.5%) were females, with male to female ratio of 1.2:1. Mean age was 14.7 ± 0.45 years and 28/189 (14.8%) had ocular disorders in either eye. Some of the participants had multiple pathologies. The commonest identified visual disorder was refractive error (11.1%). There was a statistically significant ocular disorder determinant among most mothers of respondents (82.1%) who had ocular disorders and did not receive antenatal care in the hospital, p<0.05. Only 28.6% of children who had ocular disorders were fully immunized. CONCLUSION: The majority of mothers of children with ocular disorders did not receive antenatal care in the hospital. Health education on the importance of early antenatal care in the hospital is advocated to reduce the occurrence of ocular disorders. Early assessment and correction of ocular problems will prevent unnecessary visual impairment in these vulnerable children.


OBJECTIF: Cette étude visait à déterminer la prévalence et les facteurs contribuant aux troubles oculaires chez les enfants présentant des handicaps physiques et mentaux, qui représentent un groupe vulnérable dans l'État d'Osun. MÉTHODOLOGIE: Il s'agissait d'une étude transversale menée auprès d'enfants atteints de handicaps physiques et mentaux âgés de 5 à 17 ans, utilisant une technique d'échantillonnage à plusieurs niveaux. Les données démographiques, la présence de symptômes oculaires et les déterminants des troubles oculaires ont été notés. Les acuités visuelles à distance ont été mesurées ; la réfraction et l'examen oculaire ont été effectués. Un traitement médicamenteux approprié, des lunettes prescrites ou des aides à la basse vision ont été délivrés au besoin, à des tarifs subventionnés. RÉSULTATS: Sur 189 enfants inscrits, 103 (54,5 %) étaient des garçons et 86 (45,5 %) étaient des filles, avec un ratio garçons/filles de 1,2:1, âge moyen de 14,7 ± 0,45 ans ; tandis que 28/189 (14,8 %) présentaient des troubles oculaires dans l'un ou l'autre des yeux. Certains participants avaient plusieurs pathologies. Le trouble visuel le plus fréquemment identifié était l'erreur réfraction (11,1 %). Il y avait un déterminant de trouble oculaire statistiquement significatif chez la majorité des mères des répondants (82,1 %) qui avaient des troubles oculaires et n'avaient pas reçu de soins prénatals à l'hôpital p<0,05. Seulement 28,6 % des enfants présentant des troubles oculaires étaient entièrement immunisés. CONCLUSION: La plupart des mères d'enfants atteints de troubles oculaires n'ont pas reçu de soins prénatals à l'hôpital. Une éducation sanitaire sur l'importance des soins prénatals précoces à l'hôpital est préconisée afin de réduire l'occurrence des troubles oculaires. L'évaluation précoce et la correction des problèmes oculaires préviendront une atteinte visuelle inutile chez ces enfants vulnérables. MOTS-CLÉS: Trouble oculaire, Prévalence, Enfants en âge scolaire, Handicaps physiques et mentaux.


Assuntos
Oftalmopatias , Humanos , Nigéria/epidemiologia , Feminino , Masculino , Criança , Estudos Transversais , Prevalência , Adolescente , Pré-Escolar , Oftalmopatias/epidemiologia , Crianças com Deficiência/estatística & dados numéricos , Acuidade Visual , Fatores de Risco , Erros de Refração/epidemiologia
2.
West Afr J Med ; 39(10): 1032-1039, 2022 Oct 20.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-36260438

RESUMO

BACKGROUND: Millions of people across the globe have been infected with coronavirus disease (COVID-19), and many lives have been lost in the process. As a result, vaccines are being developed to protect people from COVID-19 morbidity and mortality. Therefore, this study was conducted to assess the coverage rate for the COVID-19 vaccine in Oyo State. METHODS: A descriptive secondary analysis of COVID-19 immunization data was done between March and April 2021. Data were extracted from the original paper format and entered into Excel sheets. Charts and line graphs were plotted to determine the coverage rates. RESULTS: The overall coverage rate for the State was 81.0%. The highest and lowest coverage rates were 243.0% and 39.0% for Ibadan North and Iseyin Local Government Areas (LGAs), respectively. The proportion of female health workers vaccinated in the State was 64.5%. The proportion of male strategic leaders and male frontline workers was 62.5% and 55.7%, respectively. Akinyele and Egbeda LGAs recorded the same highest number of cases (27) of adverse events following immunization (AEFI). CONCLUSION: The study highlights the high proportion of vaccinated people in the State, while there was a low proportion of vaccinees in some LGAs. Therefore, effort to scale-up coverage across all the LGAs is recommended.


CONTEXTE: Des millions de personnes dans le monde ont été infectées par le COVID-19 et de nombreuses vies ont été perdues dans ce processus. En conséquence, des vaccins sont en cours de développement pour protéger les personnes contre la morbidité et la mortalité liées au COVID-19. Cette étude a donc été menée pour évaluer le taux de couverture du vaccin COVID-19 dans l'Etat d'Oyo. MÉTHODES: Une analyse secondaire descriptive des données de vaccination COVID-19 a été réalisée entre mars et avril 2021. Les données ont été extraites du format papier original et saisies dans des feuilles Excel. Des diagrammes et des graphiques linéaires ont été tracés pour déterminer les taux de couverture. RÉSULTATS: Le taux de couverture global de l'État était de 81,0 %. Les taux de couverture les plus élevés et les plus faibles étaient respectivement de 243,0 % et 39,0 % pour les zones de gouvernement local (LGA) d'Ibadan Nord et d'Iseyin. La proportion d'agents de santé féminins vaccinés dans l'État était de 64,5 %. La proportion d'hommes leaders stratégiques et d'hommes travailleurs de première ligne était respectivement de 62,5 % et 55,7 %. Les LGA d'Akinyele et d'Egbeda ont enregistré le même nombre élevé de cas (27) d'événements indésirables après la vaccination (EIAS). CONCLUSION: L'étude met en évidence la forte proportion de personnes vaccinées dans l'état, alors qu'il y avait une faible proportion de vaccinés dans certaines zone de gouvernement local. Il est donc recommandé de déployer des efforts pour augmenter la couverture vaccinale dans toutes les AGL. Mots clés: Épidémiologie, COVID-19, vaccin, première phase, Nigéria.


Assuntos
COVID-19 , Vacinas , Masculino , Feminino , Humanos , Nigéria/epidemiologia , Vacinas contra COVID-19 , COVID-19/epidemiologia , COVID-19/prevenção & controle , Vacinação
3.
West Afr J Med ; Vol. 38(11): 1050-1057, 2021 Nov 30.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-34919361

RESUMO

BACKGROUND: In the current pandemic, real-time analyses of epidemiological data generated from a reliable source are required for increasing awareness about COVID-19. Therefore, it is important to assess the perception of risk of the surveillance team that would be deployed, as this will contribute to their commitment towards rapid surveillance of COVID-19. OBJECTIVE: This study assessed the knowledge, attitude and perception towards COVID-19 among newly recruited surveillance team in Ikeja, Lagos State, Nigeria. METHODS: A descriptive cross-sectional study, with the respondents being active surveillance volunteers recruited by the World Health Organization. One hundred respondents were purposively recruited and data collection was done using a pretested self-administered, semi-structured questionnaire. Data were analyzed using IBM SPSS version 25; bivariate and multivariate analyses were done using Chi-square and binary logistic regression respectively at 5% level of significance. RESULTS: The mean age of the study participants was 37.1 ±11.9 years. Of all the respondents, 58.6% had poor knowledge of COVID-19. Less than half of the respondents (44.8%) had negative attitude towards COVID-19 while majority (90.8%) of them had low risk perception about COVID-19. The binary logistic regression analysis revealed that married respondents had significantly lesser odds (67%) of having poor knowledge about COVID-19 compared with the respondents who were single/Widowed/Widower. (aOR; 0.33, CI; 0.04 - 0.88). CONCLUSION: The study highlights the poor knowledge, negative attitude, as well as low risk perception about COVID19 among newly recruited active surveillance workers. Hence, targeted health educational interventions are urgently needed for the surveillance team, most especially in this second wave of COVID-19.


CONTEXTE: Dans la pandémie actuelle, les analyses en temps réel des données épidémiologiques générées par une source fiable sont nécessaires pour accroître la sensibilisation au COVID-19. Il est donc important d'évaluer la perception du risque de l'équipe de surveillance qui serait déployée, car cela contribuera à son engagement envers la surveillance rapide du COVID-19. OBJECTIF: Cette étude a évalué les connaissances, l'attitude et la perception du COVID-19 parmi les équipes de surveillance nouvellement recrutées à Ikeja, dans l'Etat de Lagos, au Nigeria. MÉTHODES: Étude descriptive transversale, les répondants étant des volontaires de surveillance active recrutés par l'Organisation mondiale de la santé. Cent personnes ont été recrutées à dessein et la collecte des données a été effectuée à l'aide d'un questionnaire semistructuré pré-testé et auto-administré. Les données ont été analysées à l'aide de la version 25 du SPSS d'IBM; des analyses bivariées et multivariées ont été effectuées en utilisant respectivement le chi carré et la régression logistique binaire au niveau de signification de 5 %. RÉSULTATS: L'âge moyen des participants à l'étude était de 37,1 ± 11,9 ans. Sur l'ensemble des répondants, 58,6% avaient une mauvaise connaissance de COVID-19. Moins de la moitié des personnes interrogées (44,8 %) avaient une attitude négative à l'égard du COVID19, tandis que la majorité (90,8%) d'entre elles avaient une faible perception des risques liés au COVID-19. L'analyse de régression logistique binaire a révélé que les répondants mariés avaient significativement moins de chances (67%) d'avoir une mauvaise connaissance du COVID-19 par rapport aux répondants célibataires/ veufs/veuves. (aOR ; 0,33, CI ; 0,04 - 0,88). CONCLUSION: L'étude met en évidence la mauvaise connaissance, l'attitude négative et la faible perception des risques liés au COVID19 parmi les travailleurs de la surveillance active nouvellement recrutés. Par conséquent, des interventions éducatives ciblées en matière de santé sont nécessaires de toute urgence pour l'équipe de surveillance, plus particulièrement dans cette deuxième vague de COVID-19. MOTS-CLÉS: Attitude, surveillance, connaissances, équipe, COVID19, perception.


Assuntos
COVID-19 , Adulto , Estudos Transversais , Conhecimentos, Atitudes e Prática em Saúde , Humanos , Pessoa de Meia-Idade , Nigéria , Percepção , SARS-CoV-2
4.
West Afr J Med ; 38(12): 1251-1258, 2021 Dec 30.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-35060691

RESUMO

BACKGROUND: In the current pandemic, real-time analyses of epidemiological data generated from a reliable source are required for increasing awareness about COVID-19. Therefore, it is important to assess the perception of risk of the surveillance team that would be deployed, as this will contribute to their commitment towards rapid surveillance of COVID-19. OBJECTIVE: This study assessed the knowledge, attitude and perception towards COVID-19 among newly recruited surveillance team in Ikeja, Lagos State, Nigeria. METHODS: A descriptive cross-sectional study, with the respondents being active surveillance volunteers recruited by the World Health Organization. One hundred respondents were purposively recruited and data collection was done using a pretested self-administered, semi-structured questionnaire. Data were analyzed using IBM SPSS version 25; bivariate and multivariate analyses were done using Chi-square and binary logistic regression respectively at 5% level of significance. RESULTS: The mean age of the study participants was 37.1 ± 11.9 years. Of all the respondents, 58.6% had poor knowledge of COVID-19. Less than half of the respondents (44.8%) had negative attitude towards COVID-19 while majority (90.8%) of them had low risk perception about COVID-19. The binary logistic regression analysis revealed that married respondents had significantly lesser odds (67%) of having poor knowledge about COVID-19 compared with the respondents who were single/Widowed/Widower. (aOR; 0.33, CI; 0.04 - 0.88). CONCLUSION: The study highlights the poor knowledge, negative attitude, as well as low risk perception about COVID-19 among newly recruited active surveillance workers. Hence, targeted health educational interventions are urgently needed for the surveillance team, most especially in this second wave of COVID-19.


CONTEXTE: Dans la pandémie actuelle, les analyses en temps réel des données épidémiologiques générées par une source fiable sont nécessaires pour accroître la sensibilisation au COVID-19. Il est donc important d'évaluer la perception du risque de l'équipe de surveillance qui serait déployée, car cela contribuera à son engagement envers la surveillance rapide du COVID-19. OBJECTIF: Cette étude a évalué les connaissances, l'attitude et la perception du COVID-19 parmi les équipes de surveillance nouvellement recrutées à Ikeja, dans l'Etat de Lagos, au Nigeria. MÉTHODES: Étude descriptive transversale, les répondants étant des volontaires de surveillance active recrutés par l'Organisation mondiale de la santé. Cent personnes ont été recrutées à dessein et la collecte des données a été effectuée à l'aide d'un questionnaire semistructuré pré-testé et auto-administré. Les données ont été analysées à l'aide de la version 25 du SPSS d'IBM ; des analyses bivariées et multivariées ont été effectuées en utilisant respectivement le chi carré et la régression logistique binaire au niveau de signification de 5. RÉSULTATS: L'âge moyen des participants à l'étude était de 37,1 ± 11,9 ans. Sur l'ensemble des répondants, 58,6% avaient une mauvaise connaissance de COVID-19. Moins de la moitié des personnes interrogées (44,8 %) avaient une attitude négative à l'égard du COVID-19, tandis que la majorité (90,8 %) d'entre elles avaient une faible perception des risques liés au COVID-19. L'analyse de régression logistique binaire a révélé que les répondants mariés avaient significativement moins de chances (67%) d'avoir une mauvaise connaissance du COVID-19 par rapport aux répondants célibataires/veufs/veuves. (aOR ; 0,33, CI ; 0,04 - 0,88). CONCLUSION: L'étude met en évidence la mauvaise connaissance, l'attitude négative et la faible perception des risques liés au COVID-19 parmi les travailleurs de la surveillance active nouvellement recrutés. Par conséquent, des interventions éducatives ciblées en matière de santé sont nécessaires de toute urgence pour l'équipe de surveillance, plus particulièrement dans cette deuxième vague de COVID-19. MOTS-CLÉS: Attitude, surveillance, connaissances, équipe, COVID-19, perception.


Assuntos
COVID-19 , Adulto , Estudos Transversais , Conhecimentos, Atitudes e Prática em Saúde , Humanos , Pessoa de Meia-Idade , Nigéria , Percepção , SARS-CoV-2 , Inquéritos e Questionários
5.
Int J Gynaecol Obstet ; 152(1): 26-31, 2021 Jan.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-33034059

RESUMO

The WHO is leading a global call for the elimination of cervical cancer by the year 2030. Although the call in itself is ambitious, the adopted strategy is realistic. The WHO is optimistic that cervical cancer will be eliminated as a disease of public health concern if 90% of girls receive the HPV vaccine by 15 years of age, 70% of women are screened by HPV testing at 35 and 45 years, and 90% of identified cases are treated. The success of the global call will significantly depend on the capacity to operationalize, finance, and implement the strategy in low- and middle-income countries (LMIC), where more than 80% of the disease burden resides. This capacity varies among and within countries. A SWOT (strength, weakness, opportunity, and threat) analysis of the WHO global strategy for elimination of cervical cancer, conducted through the lens of experience in planning and advocating for a comprehensive cervical cancer prevention program in Kebbi State, Nigeria, highlights the delicate balance between evidence of efficacy and science of implementation that program managers in LMIC have to consider while rolling out or scaling up cervical cancer prevention programs.


Assuntos
Papillomaviridae/isolamento & purificação , Infecções por Papillomavirus/prevenção & controle , Displasia do Colo do Útero/prevenção & controle , Neoplasias do Colo do Útero/prevenção & controle , Erradicação de Doenças , Feminino , Humanos , Programas de Rastreamento , Nigéria , Vacinas contra Papillomavirus , Vacinação
6.
Sierra Leone j. biomed. res. (Online) ; 3(3): 151-156, 2011. tab
Artigo em Inglês | AIM (África) | ID: biblio-1272043

RESUMO

The complex interactions between Human Immunodeficiency Virus (HIV) and Tuberculosis (TB) infections may be magnified, in the presence of another potentially stressful condition like pregnancy. Though co-infection among pregnant women is rare, treatment outcomes may depend on accessibility to comprehensive treatment modalities. The objective of this study is to determine treatment outcomes among pregnant HIV and TB co-infected pregnant women in Lagos, South-western Nigeria. This retrospective, analytical study was carried out among ninety four (94) eligible pregnant women co-infected with HIV and TB at selected health-care facilities in Lagos state between January, 2008 and December, 2009. A standard checklist for data collection was used and analysis was carried out using the EPI info software. Mean age of respondents was 30.8 (±3.9) years. Sixteen (17.1%) TB cases were clinically diagnosed for tuberculosis. Among tuberculosis cases identified through sputum microscopy, 60(63.8%) were acid fast bacilli (AFB) positive and 21(22.3%) were identified in the first trimester. The mean percentage adherence to anti-retroviral drugs was 95.9% (±5.3). None of the participant smoked cigarette. Seventy three {73 (77.7%)} had contact with TB infected or suspected person in the last three months. Treatment outcome in mother showed that 74(78.7%) were cured, 8(8.5%) relapsed while 12 (12.8%) had treatment failures. Among the babies, 83(88.3%) were born alive. Women with both poor adherence (<90%) and with positive TB contact, but neither factor alone, were half-fold less likely to be cured compared with women with both good adherence (>95%) and no TB contact (OR=0.59, CI=0.45-0.95 and p=0.014). Cure rate was substantially lower in this study. This calls for extra strategies such as routine TB screening in antenatal clinics, strict adherence to national guidelines in the treatment of HIV/TB co-infections, focused antenatal care and comprehensive Prevention of Mother to Child Transmission (PMTCT) care and treatment


Assuntos
Coinfecção , Infecções por HIV/terapia , Nigéria , Pobreza , Gestantes , Resultado do Tratamento , Tuberculose
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