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Can J Kidney Health Dis ; 9: 20543581221118436, 2022.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-36046483

RESUMO

Background: Depression and anxiety are commonly reported (40% and 11%-52%) among adults receiving dialysis, compared with ~10% among all Canadians. Mental health in dialysis care is underrecognized and undertreated. Objective: (1) To describe preferences for mental health support reported by Albertans receiving dialysis; (2) to compare depression, anxiety, and quality-of-life (QOL) domains for people who would or would not engage in support for mental health; and (3) to explore sociodemographic, mental health, and QOL domains that explain whether people would or would not engage in support for mental health. Design: A cross-sectional survey. Setting: Alberta, Canada. Patients: Adults receiving all modalities of dialysis (N = 2972). Measurements: An online survey with questions about preferences for mental health support and patient-reported outcome measures (Patient Health Questionnaire-9 [PHQ-9], Generalized Anxiety Disorder-7 [GAD-7], and Kidney Disease QOL Instrument-36 [KDQOL-36]). Methods: To address objectives 1 and 2, we conducted chi-square tests (for discrete variables) and t tests (for continuous variables) to compare the distributions of the above measures for two groups: Albertans receiving dialysis who would engage or would not engage in support for mental health. We subsequently conducted a series of binary logistic regressions guided by the purposeful variable selection approach to identify a subset of the most relevant explanatory variables for determining whether or not people are more likely to engage in support for mental health (objective 3). To further explain differences between the two groups, we analyzed open-text comments following a summative content analysis approach. Results: Among 384 respondents, 72 did not provide a dialysis modality or answer the PHQ-9. The final data set included responses from 312 participants. Of these, 59.6% would consider engaging in support, including discussing medication with a family doctor (72.1%) or nephrologist (62.9%), peer support groups (64.9%), and talk therapy (60%). Phone was slightly favored (73%) over in person at dialysis (67.6%), outpatient (67.2%), or video (59.4%). Moderate to severe depressive symptoms (PHQ-9 score ≥10) was reported by 33.4%, and most respondents (63.9%) reported minimal anxiety symptoms; 36.1% reported mild to severe anxiety symptoms (GAD-7 score ≥5). The mean (SD) PHQ-9 score was 8.9 (6.4) for those who would engage in support, and lower at 5.8 (4.8) for those who would not. The mean (SD) GAD-7 score was 5.2 (5.6) for those who would engage in support and 2.8 (4.1) for those who would not. In the final logistic regression model, people who were unable to work had 2 times the odds of engaging in support than people who are able to work. People were also more likely to engage in support if they had been on dialysis for fewer years and had lower (worse) mental health scores (odds ratios = 1.06 and 1.38, respectively). The final model explained 15.5% (Nagelkerke R2) of the variance and with 66.6% correct classification. We analyzed 146 comments in response to the question, "Is there anything else you like to tell us." The top 2 categories for both groups were QOL and impact of dialysis environment. The third category differed: those who would engage wrote about support, whereas those who would not engage wrote about "dialysis is the least of my worries." Limitations: A low response rate of 12.9% limits representativeness; people who chose not to participate may have different experiences of mental health. Conclusions: Incorporating patients' preferences and willingness to engage in support for mental health will inform future visioning for person-centered mental health care in dialysis.


Contexte: La dépression et l'anxiété sont plus fréquemment signalées chez les adultes traités par dialyse (dépression: 40 %; anxiété: 11 à 52 %) comparativement à la population canadienne (environ 10 %). Les problèmes de santé mentale sont insuffisamment reconnus et traités dans les soins de dialyse. Objectifs: (1) décrire les préférences en matière de soutien en santé mentale des Albertains traités par dialyse; (2) comparer les domaines de la dépression, de l'anxiété et de la qualité de vie (QV) pour les personnes désirant obtenir ou non du soutien en santé mentale; (3) explorer les domaines sociodémographiques, de santé mentale et de QV qui expliquent pourquoi une personne désirerait obtenir ou non du soutien en santé mentale. Conception: Sondage transversal. Cadre: Alberta, Canada. Sujets: Adultes recevant toutes les modalités de dialyse (N=2972). Mesures: Un sondage en ligne comportant des questions sur les préférences en matière de soutien en santé mentale. Les mesures des résultats rapportés par les patients à trois questionnaires (questionnaire-9 sur la santé des patients [PHQ-9], questionnaire-7 sur les troubles anxieux généralisés [GAD-7] et l'instrument QOL-36 pour l'insuffisance rénale [KDQOL-36]). Méthodologie: Pour répondre aux objectifs 1 et 2, nous avons effectué des tests chi-carrés (pour les variables discrètes) et des tests t (pour les variables continues) pour comparer les distributions des mesures ci-dessus pour deux groupes: les Albertains sous dialyse désirant obtenir ou non du soutien en santé mentale. Une série de régressions logistiques binaires guidées par une approche de sélection ciblée des variables a ensuite été effectuée pour identifier un sous-ensemble des plus pertinentes variables explicatives permettant de déterminer si les gens sont plus susceptibles de vouloir obtenir du soutien en santé mentale (objectif 3). Pour expliquer plus précisément les différences entre les deux groupes, nous avons analysé les commentaires en texte ouvert en suivant une approche d'analyse de contenu sommative. Résultats: Des 384 répondants, 72 n'ont pas indiqué de modalité de dialyse ni répondu au questionnaire PHQ-9. L'ensemble de données final comprend les réponses de 312 patients. De ce nombre, 59,6 % envisageraient d'obtenir du soutien, notamment une discussion sur les médicaments avec un médecin de famille (72,1 %) ou un néphrologue (62,9 %), une participation à des groupes de soutien par les pairs (64,9 %) ou une psychothérapie (60 %). Les répondants préféraient le téléphone (73 %) plutôt qu'une visite en personne pendant la dialyse (67,6 %), qu'une consultation externe (67,2 %) ou qu'une consultation vidéo (59,4 %). Des symptômes dépressifs modérés à graves (score PHQ-9 ≥10) ont été rapportés par 33,4 % des répondants. La plupart des répondants (63,9 %) a signalé des symptômes minimes d'anxiété et 36,1 % ont signalé des symptômes d'anxiété légers à graves (score GAD-7 ≥5). Le score moyen (É-T) au PHQ-9 était de 8,9 (6,4) pour les sujets qui désiraient obtenir du soutien et de 5,8 (4,8) pour ceux qui n'en désiraient pas. Le score moyen (É-T) au GAD-7 était de 5,2 (5,6) pour les sujets qui désiraient obtenir du soutien et de 2,8 (4,1) pour ceux qui n'en désiraient pas. Dans le modèle final de régression logistique, les personnes qui ne pouvaient pas travailler étaient deux fois plus susceptibles de vouloir chercher du soutien que celles qui pouvaient travailler. Les répondants étaient également plus susceptibles de se faire aider s'ils étaient sous dialyse depuis moins longtemps et avaient des scores de santé mentale inférieurs (les plus faibles) (rapports de cotes respectifs: 1,06 et 1,38). Le modèle final expliquait 15,5 % (Nagelkerke R2) de la variance avec 66,6 % de classification correcte. Nous avons analysé 146 réponses à la question: « Y a-t-il autre chose que vous souhaiteriez nous dire? ¼ Dans les deux groupes, les deux principales catégories étaient la QV et l'impact de l'environnement de dialyse. La troisième catégorie différait: ceux qui en obtenaient écrivaient sur le soutien, alors que ceux qui n'en obtenaient pas ont indiqué que la « dialyse était le moindre de leurs soucis ¼. Limites: Le faible taux de réponse (12,9 %) limite la représentativité; les personnes qui ont choisi de ne pas participer pourraient avoir des expériences différentes en matière de santé mentale. Conclusion: L'intégration des préférences des patients et de leur volonté d'obtenir du soutien en santé mentale permettra d'éclairer la vision future des soins de santé mentale axés sur les patients traités par dialyse.

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