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1.
Rev Med Liege ; 77(10): 551-556, 2022 Oct.
Artigo em Francês | MEDLINE | ID: mdl-36226390

RESUMO

Dog bites are a frequent reason for medical consultation. These can be responsible for severe infectious complications. Bacteria of the genus Capnocytophaga species are Gram-negative bacilli commonly found in the oral cavity of certain animals such as dogs and cats. Following a dog bite or wound contamination with animal spit, these bacteria can cause local (cellulitis), systemic and invasive manifestations (bacteremia, endocarditis, meningitis) or lead to rare and dreadful complications such as thrombotic microangiopathies. The identification of Capnocytophaga is slow due to their specific characteristics and their culture conditions. The treatment of Capnocytophaga species infections is based on antibiotic therapy with amoxicillin - clavulanic acid as the first choice. Although different types of Capnocytophaga have been described, C. Canimorsus appears to be associated with a higher rate of atypical complications. Here is the description of an immunocompetent patient who presented with C. Canimorsus bacteremia complicated by hemolytic uremic syndrome following a dog bite.


Les morsures de chien représentent un motif fréquent de consultation. Celles-ci peuvent entraîner des complications infectieuses graves. Les bactéries du genre Capnocytophaga species sont des bacilles Gram négatif fréquemment retrouvés dans la cavité buccale de certains animaux comme les chiens et les chats. à la suite d'une morsure canine ou d'une contamination de plaie par de la salive animale, ces bactéries peuvent provoquer des manifestations locales (cellulite), systémiques et invasives (bactériémie, endocardite, méningite) ou entraîner des complications rares et redoutables comme les microangiopathies thrombotiques. L'identification des Capnocytophaga est lente de par leurs caractéristiques propres et leurs conditions de mise en culture. Le traitement des infections à Capnocytophaga species repose sur une antibiothérapie par amoxicilline-acide clavulanique en première intention. Bien que différents types de Capnocytophaga aient été décrits, C. Canimorsus semble associé à un taux plus élevé de complications atypiques. Nous décrivons ici le cas d'une patiente immunocompétente ayant présenté une bactériémie à C. Canimorsus compliquée d'un syndrome hémolytique et urémique dans les suites d'une morsure de chien.


Assuntos
Bacteriemia , Mordeduras e Picadas , Doenças do Gato , Doenças do Cão , Infecções por Bactérias Gram-Negativas , Síndrome Hemolítico-Urêmica , Amoxicilina , Animais , Antibacterianos/uso terapêutico , Bacteriemia/complicações , Bacteriemia/microbiologia , Mordeduras e Picadas/complicações , Capnocytophaga , Gatos , Ácido Clavulânico , Cães , Infecções por Bactérias Gram-Negativas/complicações , Infecções por Bactérias Gram-Negativas/diagnóstico , Infecções por Bactérias Gram-Negativas/microbiologia , Síndrome Hemolítico-Urêmica/complicações , Humanos
2.
Rev Med Liege ; 75(S1): 41-47, 2020.
Artigo em Francês | MEDLINE | ID: mdl-33211421

RESUMO

COVID-19 has been the center of global attention and concern for the last months. Patients undergoing dialysis and especially those treated at the hospital are likely to be infected, due to their mandatory presence at the hospital several times a week and due to their intrinsic fragility in regard of chronic kidney disease, often an older age, and the presence of many associated comorbidities. Thereby, patients with chonic kidney disease treated by haemodialysis have higher odds of a more severe COVID-19 infection with a high mortality rate. Prevention is thus a high priority for these patients.


Au cours des derniers mois, la COVID-19 a été au centre des préoccupations et de l'attention de chacun. Les patients dialysés, et surtout ceux hémodialysés en centre, représentent une population particulièrement à risque de contamination vu la nécessité de se rendre à l'hôpital plusieurs fois par semaine et compte tenu de leur fragilité intrinsèque liée au statut de malade rénal chronique, un âge souvent plus avancé, et de nombreuses comorbidités. Ils ont donc un risque de développer une infection grave et potentiellement mortelle. Dès lors, la stratégie de prévention est d'une importance capitale pour ces patients.


Assuntos
Infecções por Coronavirus , Falência Renal Crônica , Pandemias , Pneumonia Viral , Diálise Renal , Idoso , Betacoronavirus , COVID-19 , Humanos , Falência Renal Crônica/terapia , SARS-CoV-2
3.
Rev Med Liege ; 75(S1): 109-114, 2020.
Artigo em Francês | MEDLINE | ID: mdl-33211431

RESUMO

The SARS-CoV-2 virus causes a respiratory distress syndrome, the main symptom of COVID-19 (for "COronaVIrus Disease 2019"). This infectious disease has been causing a major health and socio-economic pandemic since December 2019. The pulmonary alveolus is regarded as the main target of SARS-CoV-2. However, this coronavirus is capable of directly or indirectly affecting other organs, including the kidneys. Here, we summarize the presumed pathophysiology of COVID-19 renal disease. The incidence of acute kidney injury ranges from 0,5 to 22 % of all patients infected with SARS-CoV-2. The need for renal replacement therapy is reported in 5-9 % of patients in intensive care. Histological analysis of renal biopsies mainly shows acute tubular necrosis of varying severity, as well as the congestion of glomerular and peri-tubular capillaries. Endothelitis has been described in few cases. Evidence for a factual inflammation of the glomerulus remains controversial. The medium/long term consequences of COVID-19 nephropathy are unknown and will deserve a tight follow-up.


Le virus SARS-CoV-2 provoque un syndrome de détresse respiratoire aiguë, le symptôme principal de l'infection COVID-19 (pour «COronaVIrus Disease 2019¼). Cette maladie infectieuse provoque une pandémie de gravité sanitaire et socio-économique majeure depuis décembre 2019. La cible principale du SARS-CoV-2 serait l'alvéole pulmonaire. Néanmoins, ce coronavirus est capable d'affecter directement ou indirectement d'autres organes, y compris les reins. Nous résumons ici la physiopathologie présumée de l'atteinte rénale de la COVID-19. L'incidence de l'insuffisance rénale aiguë varie entre 0,5 à 22 % de tous les patients infectés par le SARS-CoV-2. La nécessité d'une épuration extra-rénale est rapportée chez 5-9 % des patients pris en charge aux soins intensifs. L'analyse histologique de biopsies rénales montre, principalement, une nécrose tubulaire aiguë de sévérité variable, ainsi qu'une congestion des capillaires glomérulaires et péri-tubulaires. Une endothélite a parfois été décrite. L'atteinte inflammatoire du glomérule reste débattue. Les conséquences à moyen/long termes de la néphropathie COVID-19 sont inconnues et mériteront un suivi étroit.


Assuntos
Injúria Renal Aguda , Betacoronavirus , Infecções por Coronavirus , Pandemias , Pneumonia Viral , Injúria Renal Aguda/complicações , COVID-19 , Infecções por Coronavirus/complicações , Infecções por Coronavirus/epidemiologia , Humanos , SARS-CoV-2
4.
Rev Med Liege ; 73(10): 519-525, 2018 Oct.
Artigo em Francês | MEDLINE | ID: mdl-30335258

RESUMO

The measurement of proteinuria is a very simple tool to screen and manage kidney diseases. Its predictive role is also relevant from a cardiovascular point of view. However, the interpretation of the results is not always easy. Indeed, there are several different methods to detect or measure proteinuria (or albuminuria), varying from the measurement on a 24-hour urine collection to the simplest detection with dipsticks or measurement on a random urine sample. Some methods are measuring total proteins, whereas others are measuring more specifically albuminuria. For all methods, pitfalls exist and will be discussed. A positive result must be confirmed by a quantitative measurement on 24-hour collection or on a first morning sample (this last one can only be interpreted as a ratio to urinary creatinine excretion). Lastly, we will briefly discuss the management of a patient with a new diagnosis of proteinuria (or albuminuria).


La recherche d'une protéinurie est un outil simple de dépistage et de suivi de la maladie rénale. Elle a aussi un rôle prédictif important, que ce soit au niveau néphrologique ou cardiovasculaire. Son interprétation n'est cependant pas toujours simple. Il existe, en effet, différentes méthodes pour évaluer la protéinurie (ou l'albuminurie) qui vont d'une mesure sur la récolte de 24h à l'utilisation simple de la bandelette réactive (« tigette ¼) sur un échantillon urinaire. Certaines méthodes permettent la recherche et/ou la quantification de la protéinurie dite totale, alors que d'autres mesurent plus exclusivement l'albuminurie. Pour toutes les méthodes et pour tous les dosages, des pièges diagnostiques existent et seront discutés. Un résultat positif doit systématiquement être confirmé quantitativement sur un second échantillon soit à partir d'urine de 24h, soit sur un échantillon du matin (la mesure sur échantillon n'étant interprétable que si elle est rapportée à l'excrétion urinaire de créatinine). Enfin, nous tracerons les grandes lignes de la prise en charge d'un patient chez qui une protéinurie (ou une albuminurie) est découverte.


Assuntos
Proteinúria/diagnóstico , Albuminúria/diagnóstico , Humanos , Fitas Reagentes
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