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1.
Mali Med ; 36(2): 61-66, 2021.
Artigo em Francês | MEDLINE | ID: mdl-37973588

RESUMO

INTRODUCTION: A public health emergency of international concern, COVID-19 is an acute respiratory disease responsible in eight months of approximately 843,158 deaths worldwide, including 29,425 deaths in Africa. The objective was to describe the COVID-19 cases in the health district of Commune III of Bamako. METHODS: This was a descriptive cross-sectional study of COVID-19 surveillance data from March 26 to August 27, 2020. Our variables were extracted from the surveillance database and analyzed on Epi-Info 7.2. Frequencies, rates and proportions were calculated. RESULTS: A positivity rate of 14.86% identified 126 confirmed cases out of an 848 notified suspect. The median age of confirmed cases was 34 years with a minimum of 8 months and a maximum of 93 years. The sex ratio was 2.7 males to females. Civil servants accounted for 32.54% of the positive cases. All the health subdistricts have recorded positive cases. The lethality was 7.94% affecting those over 65 years old. Among asymptomatic people 10.75% were confirmed positive for COVID-19. CONCLUSION: Our study suggests that young males were more likely to be infected with COVID-19. We recommend systematic screening of all contacts and involvement of the community in surveillance.


INTRODUCTION: Urgence de santé publique de portée internationale, la COVID-19 est une maladie respiratoire aiguë responsable en huit mois d'environ 843 158 décès dans le monde dont 29 425 décès en Afrique. L'objectif était de décrire les cas de la COVID-19 en Commune III de Bamako. MÉTHODES: Il s'agissait d'une étude transversale descriptive des données de surveillance de la COVID-19 du 26 Mars au 27 Août 2020. Nos variables ont été extraites de la base de données de surveillance et analysées sur Epi-Info 7.2. Les fréquences, taux et proportions ont été calculés. RÉSULTATS: Un taux de positivité de 14,86% a permis d'identifier 126 cas confirmés sur un 848 suspect notifié. L'âge médian des cas confirmés était de 34 ans avec un minimum de 8 mois et un maximum de 93 ans. Le sex-ratio était de 2,7 en faveur des hommes. Les fonctionnaires représentaient 32,54% des positifs. Toutes les aires de santé ont enregistré des cas confirmés. La létalité était de 7,94% affectant les plus de 65 ans. Parmi les personnes asymptomatiques 10,75% ont été confirmés positives à la COVID-19. CONCLUSION: Notre étude suggère que les jeunes de sexe masculin étaient plus susceptibles d'être infectés par la COVID-19. Nous recommandons le dépistage systématique de tous les contacts et une implication de la communauté dans la surveillance.

2.
Mali Med ; 36(4): 54-58, 2021.
Artigo em Francês | MEDLINE | ID: mdl-38200728

RESUMO

INTRODUCTION: Maternal mortality remains a public health problem in developing countries, including Mali. Among the factors associated with maternal mortality are sociodemographic and economicfactors, but also dysfunctions related to the health care system. It is in this context that this study was conducted in the gynecology and obstetrics department of the Nianankoro Fomba Hospital in Ségou to determine the factors associated with maternal deaths by the audit method in the Segouregion. METHOD: It was a cross-sectional, descriptive and retrospective study that was conducted from January 2014 to December 2015. The data were captured and analyzed on Epi Info version 2003. RESULTS: The analysisincluded 41 auditeddeaths out of 79 maternaldeathsreportedduring the period, amaternalmortality rate of 51.90%. Direct obstetric causes accounted for the majority (51.23%). Of these causes hemorrhagewas the main with 17.08% followed by eclampsia (14.63%). 31.71% of deathswerepreventable. The main riskfactorsidentifiedwere: delayed care, referral / evacuationdelay, diagnostic errors (hospitallevel), non-availability of blood. CONCLUSION: Continueddeath audits at the healthfacilitylevelcouldbe an approach to improving the quality of care and reducingmaternal and perinataldeaths.


INTRODUCTION: La mortalité maternelle demeure un problème de santé publique dans les pays en voie de développement dont le Mali. Parmi les facteurs associés à la mortalité maternelle on peut citer notamment les facteurs sociodémographiques et économiques, mais aussi les dysfonctionnements liés au système de soins. C'est dans ce cadre que cette étude été menée dans le service de gynéco-obstétrique de l'hôpital Nianankoro Fomba de Ségou pour déterminer les facteurs associés aux décès maternels par la méthode d'audit dans la région de Ségou. MÉTHODE: Il s'agissait d'une étude transversale, descriptive et rétrospective qui a étéréaliséede janvier 2014 à décembre 2015. Les données ont été saisies et analysées sur Epi Info version 2003. RÉSULTATS: L'analyse a porté sur 41 décèsaudités sur 79 décès maternels notifiés au cours de la période, soit un taux de décès maternels audités de 51,90%.Les causes obstétricales directes étaient majoritaires (51,23%).Parmi ces causes l'hémorragieétait la principale avec 17,08% suivie de l'éclampsie (14,63%). 31,71% des décès étaient évitables.Les principaux facteurs de risques identifiés ont été :le retard de prise en charge, le retard de référence / évacuation, les erreurs de diagnostic (niveau hôpital), la non disponibilité du sang. CONCLUSION: La poursuite des audits des décès au niveau des établissements de santé pourrait être une approche d'amélioration de la qualité des soins et de réduction des décès maternels et périnatals.

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