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J Obstet Gynaecol Can ; 36(11): 976-982, 2014 Nov.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-25574674

RESUMO

BACKGROUND: Perimenopausal women can experience rapid bone loss at skeletal sites with both cortical and cancellous bone, increasing the prevalence of osteoporosis following menopause. METHODS: We conducted a 12-month randomized placebo-controlled trial evaluating the effects of alendronate 70 mg with 2800 IU cholecalciferol administered once per week for 12 months in comparison with placebo and cholecalciferol. The primary end-point was the percentage change in the lumbar spine bone mineral density (BMD) from baseline to 12 months. Secondary end-points were the change in BMD at the femoral neck and changes in biochemical markers of bone turnover. RESULTS: Forty-five women were recruited to participate in the study. Five subjects withdrew from the study before randomization for unrelated reasons. Forty subjects were randomly allocated to the alendronate and placebo groups. The mean lumbar spine MD in women treated with alendronate increased by 3.66% (mean paired difference, µd = 0.032; ± 0.008 SE) at 12 months, compared with a reduction of 3.33% (µd = -0.030; ± 0.008 SE) in the control group (P < 0.001). In the femoral neck, the mean BMD in the alendronate group increased by 2.07% (µd = 0.014; ± 0.009 SE) at 12 months, compared with a reduction of 1.87% (µd = -0.014; ± 0.008 SE) in the control group (P = 0.046). There were no differences in BMD between the alendronate and placebo groups at the total hip sites after 12 months. At 12 months, both bone-specific alkaline phosphatase and urinary N-telopeptide were significantly reduced, by 37.79% (µd = -9.90; ± 1.92 SE) and 27.21% (µd = -11.68; ± 4.80 SE) respectively, in the alendronate group; in the control group, these levels increased (P < 0.001). CONCLUSION: Weekly treatment with alendronate 70 mg and cholecalciferol 2800 IU increases BMD and decreases bone turnover in perimenopausal women.


Contexte : Les femmes périménopausées peuvent connaître une perte osseuse rapide aux points du squelette qui comptent des os tant corticaux que spongieux, ce qui accroît la prévalence de l'ostéoporose à la suite de la ménopause. Méthodes : Nous avons mené un essai comparatif randomisé avec placebo (d'une durée de 12 mois) qui cherchait à évaluer les effets de l'administration de 70 mg d'alendronate et de 2 800 UI de cholécalciférol (une fois par semaine, pendant 12 mois), par comparaison avec l'administration d'un placebo et de cholécalciférol. Le critère d'évaluation principal était la modification (en pourcentage, entre la valeur de départ et la valeur à 12 mois) de la densité minérale osseuse (DMO) de la colonne lombaire. Parmi les critères d'évaluation secondaires, on trouvait la modification de la DMO du col fémoral et les modifications des marqueurs biochimiques du renouvellement des cellules osseuses. Résultats : Nous avons sollicité la participation de 45 femmes à l'étude. Cinq participantes se sont désistées avant la randomisation pour des raisons n'ayant rien à voir avec l'étude. Quarante femmes ont été affectées au hasard à un groupe devant recevoir de l'alendronate ou à un groupe devant recevoir un placebo. Chez les femmes traitées à l'alendronate, la DMO moyenne de la colonne lombaire a connu une hausse de l'ordre de 3,66 % (différence moyenne appariée, µd = 0,032; ± 0,008 ET) à 12 mois, par comparaison avec une baisse de l'ordre de 3,33 % (µd = −0,030; ± 0,008 ET) au sein du groupe témoin (P < 0,001). Au niveau du col fémoral au sein du groupe « alendronate ¼, la DMO moyenne a connu une hausse de l'ordre de 2,07 % (µd = 0,014; ± 0,009 ET) à 12 mois, par comparaison avec une baisse de l'ordre de 1,87 % (µd = −0,014; ± 0,008 ET) au sein du groupe témoin (P = 0,046). Aucune différence en matière de DMO n'a été constatée entre les groupes « alendronate ¼ et « placebo ¼ pour ce qui est de l'ensemble des sites de la hanche après 12 mois. À 12 mois, tant la phosphatase alcaline propre aux os que le N-télopeptide urinaire ont connu une baisse significative, de l'ordre de 37,79 % (µd = −9,90; ± 1,92 ET) et de 27,21 % (µd = −11.68; ± 4,80 ET) respectivement, au sein du groupe « alendronate ¼; au sein du groupe témoin, les taux de ces marqueurs ont connu une hausse (P < 0,001). Conclusion : L'administration hebdomadaire d'un traitement faisant appel à 70 mg d'alendronate et à 2 800 UI de cholécalciférol entraîne une hausse de la DMO et une baisse du renouvellement des cellules osseuses chez les femmes périménopausées.


Assuntos
Alendronato/uso terapêutico , Conservadores da Densidade Óssea/uso terapêutico , Remodelação Óssea/efeitos dos fármacos , Osteoporose/tratamento farmacológico , Adulto , Colecalciferol/uso terapêutico , Método Duplo-Cego , Quimioterapia Combinada , Feminino , Humanos , Pessoa de Meia-Idade , Perimenopausa
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