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1.
Can J Hosp Pharm ; 77(1): e3469, 2024.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-38482396

RESUMO

Background: Support for the role of an emergency department (ED) clinical pharmacy team is evidence-based and recognized in numerous professional guidelines, yet previous literature suggests a low prevalence of ED clinical pharmacy services in Canadian hospitals. Objectives: To update (from a survey conducted in 2013) the description and quantification of clinical pharmacy services in Canadian EDs. Methods: All Canadian hospitals with an ED and at least 50 acute care beds were contacted to identify the presence of dedicated ED pharmacy services (defined as at least 0.5 full-time equivalent [FTE] position). Three separate electronic surveys were distributed by email to ED pharmacy team members (if available), pharmacy managers (at hospitals without an ED pharmacy team), and ED managers (all hospitals). The surveys were completed between November 2021 and January 2022. Results: Of the 254 hospitals identified, 117 (46%) had at least 0.5 FTE clinical pharmacy services in the ED (based on initial telephone screening). Of the 51 (44%) of 115 ED pharmacy team survey responses included in the analysis, 94% (48/51) had pharmacists and 55% (28/51) had pharmacy technicians. The majority of pharmacy managers and ED managers identified the need for ED pharmacy services where such services did not exist. Inadequate funding, competing priorities, and lack of training remain the most commonly reported barriers to providing this service. Personal safety concerns were reported by 20% (10/51) of respondents. Conclusions: Although the establishment of clinical pharmacy services in Canadian EDs has grown over the past 8 years, lack of funding and ED-specific training continue to limit this evidence-supported role in Canadian hospitals.


Contexte: La pratique de pharmacie clinique au service des urgences (SU) est fondée sur les données probantes et reconnue dans de nombreuses lignes directrices professionnelles. Cependant, des données portent à croire à une faible prévalence de ces services dans les SU des hôpitaux canadiens. Objectif: Mettre à jour la description et la quantification des services de pharmacie clinique dans les SU canadiens (à partir d'une enquête menée en 2013). Méthodes: Tous les hôpitaux canadiens dotés d'un SU et d'au moins 50 lits de soins de courte durée ont été contactés pour recenser la présence de services de pharmacie dédiés au SU (définis comme au moins 0,5 poste équivalent temps complet [ETC]). Trois sondages électroniques différents ont été distribués par courriel aux membres de l'équipe de la pharmacie du SU (le cas échéant), aux gestionnaires de pharmacie (dans les hôpitaux sans équipe de pharmacie au SU) et aux gestionnaires du SU (tous les hôpitaux). Les enquêtes ont été réalisées entre novembre 2021 et janvier 2022. Résultats: Sur les 254 hôpitaux recensés, 117 (46 %) disposaient d'au moins 0,5 ETC de services de pharmacie clinique au SU (d'après la sélection téléphonique initiale). Des 51 (44 %) sur 115 équipes de pharmacie du SU qui ont été inclus dans l'analyse, 94 % (48/51) avaient des pharmaciens et 55 % (28/51) avaient également du personnel technique en pharmacie. La majorité des directeurs de pharmacie et des directeurs des SU ont identifié le besoin de services de pharmacie au SU là où de tels services n'existent pas. Un financement inadéquat, des priorités concurrentes et le manque de formation demeurent les obstacles les plus souvent signalés à la prestation de ce service. Des problèmes de sécurité personnelle ont été mentionnés par 20 % (10/51) des répondants. Conclusion: Bien que l'établissement de services de pharmacie clinique dans les SU canadiens ait augmenté au cours des 8 dernières années, le manque de financement et de formation spécifique en pharmacie de médecine d'urgence continue de limiter ce rôle fondé sur des données probantes dans les hôpitaux canadiens.

2.
Disaster Med Public Health Prep ; 17: e235, 2022 09 01.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-36047249

RESUMO

Disaster events can increase demand for medication supplies and interfere with supply chains, leading to compromised care in hospitals. Providing an organized response to an additional surge of disaster-related patients requires pre-planned emergency management procedures. Hospital pharmacists can address this with prioritized drug procurement and inventory management strategies which may improve the availability of key medications for a disaster response. Previous disaster events have provided insight on medications used to treat disaster-related injuries and exacerbations of medical conditions in emergency departments. This article provides a detailed description of Vancouver Island's hospital pharmacy strategy for the procurement and minimum stock levels of high priority medications in preparation for a disaster.


Assuntos
Planejamento em Desastres , Desastres , Serviço de Farmácia Hospitalar , Humanos , Serviço Hospitalar de Emergência , Hospitais
3.
Can J Hosp Pharm ; 75(1): 46-53, 2022.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-34987263

RESUMO

BACKGROUND: Status epilepticus (SE) is a neurologic emergency with potential for substantial mortality and morbidity. Parenteral benzodiazepine is the established first-line treatment but fails to control SE in about one-third of patients. Levetiracetam may be used for SE that is refractory to benzodiazepine therapy. OBJECTIVE: To examine, by means of a systematic review, the role of IV levetiracetam for the treatment of SE in adults. DATA SOURCES: MEDLINE, Embase, CENTRAL, and CINAHL databases were searched, from inception to August 18, 2020. STUDY SELECTION AND DATA EXTRACTION: Included in this review were prospective randomized controlled trials comparing levetiracetam with another antiepileptic drug, given with or after a benzodiazepine, in adult patients with SE. The primary outcome was cessation of SE. Quality of evidence was assessed with the Cochrane risk-of-bias tool. Characteristics of the included studies were reported using descriptive statistics. DATA SYNTHESIS: Five studies compared IV levetiracetam with valproic acid, phenytoin (or its prodrug fosphenytoin), or both. All 5 studies found no statistically significant differences in efficacy or safety end points. There were numerically more cases of hypotension and respiratory failure with phenytoin, and more cases of psychiatric adverse effects (e.g., post-ictal psychosis) with levetiracetam. CONCLUSIONS: Available evidence suggests that levetiracetam is as effective as valproic acid or phenytoin for the cessation of SE in adults. Other factors should therefore dictate the choice of antiepileptic drug for patients with SE, such as adverse effect profile, logistics of administration, drug cost, inclusion on hospital formularies, and drug availability.


CONTEXTE: L'état de mal épileptique (EME) est une urgence neurologique qui s'accompagne d'un potentiel important de mortalité et de morbidité. La benzodiazépine parentérale est le traitement de première ligne établi, mais ne parvient pas à contrôler l'EME chez environ un tiers des patients. Le lévétiracétam peut s'utiliser pour les EME réfractaires au traitement par les benzodiazépines. OBJECTIF: Examiner, au moyen d'une revue systématique, le rôle du lévétiracétam IV pour le traitement de l'EME chez l'adulte. SOURCES DES DONNÉES: Les bases de données MEDLINE, Embase, CENTRAL et CINAHL ont fait l'objet d'une recherche, depuis leur création jusqu'au 18 août 2020. SÉLECTION DES ÉTUDES ET EXTRACTION DES DONNÉES: Cette revue comprenait des essais contrôlés randomisés prospectifs comparant le lévétiracétam à un autre médicament antiépileptique, administré avec ou après une benzodiazépine, chez des patients adultes atteints d'EME. Le critère de jugement principal était l'arrêt de l'EME. La qualité des preuves a été évaluée avec l'outil de risque de biais Cochrane. Les caractéristiques des études incluses ont été rapportées à l'aide de statistiques descriptives. SYNTHÈSE DES DONNÉES: Cinq études ont comparé le lévétiracétam IV avec l'acide valproïque, la phénytoïne (ou son promédicament, la fosphénytoïne), ou les deux. Les 5 études n'ont trouvé aucune différence statistiquement significative en termes d'efficacité ou d'innocuité. Numériquement, les cas d'hypotension et d'insuffisance respiratoire avec la phénytoïne étaient plus élevés, et les cas d'effets indésirables psychiatriques (par exemple, psychose post-critique) étaient plus élevés avec le lévétiracétam. CONCLUSIONS: Les preuves disponibles suggèrent que le lévétiracétam est aussi efficace que l'acide valproïque ou la phénytoïne pour l'arrêt de l'EME chez l'adulte. D'autres facteurs devraient donc dicter le choix du médicament antiépileptique pour les patients atteints d'EME, tels que le profil des effets indésirables, la logistique d'administration, le coût du médicament, l'inscription sur les formulaires hospitaliers et la disponibilité des médicaments.

4.
Can J Hosp Pharm ; 70(4): 263-269, 2017.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-28894309

RESUMO

BACKGROUND: Accreditation standards have outlined the need for staff in emergency departments to initiate the medication reconciliation process for patients who are at risk of adverse drug events. The authors hypothesized that a guided form could be used by non-admitted patients in the emergency department to assist with completion of a best possible medication history (BPMH). OBJECTIVE: To determine the percentage of patients in the non-acute care area of the emergency department who could complete a guided BPMH form with no clinically significant discrepancies (defined as no major discrepancies and no more than 1 moderate discrepancy). METHODS: This prospective exploratory study was conducted over 4 weeks in February and March 2016. Data were collected using the self-administered BPMH form, patient interviews, and a data collection form. After completion of the guided BPMH form, patients were randomly selected for interview by a pharmacy team member to ensure their self-completed BPMH forms were complete and accurate. Eligible patients were those with non-acute needs who had undergone triage to the waiting room. Patients who were already admitted and those with immediate triage to the acute care or trauma area of the emergency department were excluded. RESULTS: Of the 160 patients who were interviewed, 146 (91.3%) completed the form with no more than 1 moderate discrepancy (but some number of minor discrepancies). There were no discrepancies in 31 (19.4%) of the BPMH forms, and 101 (63.1%) of the forms had only minor discrepancies. CONCLUSIONS: Most of the patients interviewed by the pharmacy team were able to complete the BPMH form with no clinically significant discrepancies. The self-administered BPMH form would be a useful tool to initiate medication reconciliation in the emergency department for this patient population, but used on its own, it would not be a reliable source of BPMH information, given the relatively low number of patients who completed the form with no discrepancies.


CONTEXTE: Les normes d'agrément ont souligné la nécessité pour le personnel des services des urgences d'amorcer le processus de bilan comparatif des médicaments chez les patients à risque d'événements indésirables liés aux médicaments. Les auteurs ont avancé que des patients au service des urgences ne requérant pas une hospitalisation pourraient remplir un formulaire dirigé et ainsi aider à établir leur meilleur schéma thérapeutique possible (MSTP). OBJECTIF: Déterminer le pourcentage de patients dans l'aire de soins non urgents du service des urgences qui sont en mesure de remplir un formulaire dirigé de MSTP sans divergence cliniquement significative (c'est-à-dire aucune divergence majeure et pas plus d'une divergence modérée). MÉTHODES: La présente étude préliminaire prospective a été menée sur une période de quatre semaines en février et en mars 2016. Les données ont été recueillies à l'aide d'un formulaire autoadministré de MSTP, d'entrevue avec les patients et d'un formulaire de collecte de données. Une fois les formulaires dirigés de MSTP remplis, des patients ont été sélectionnés aléatoirement et interrogés par un des membres de l'équipe de pharmacie afin de s'assurer de l'exhaustivité et de l'exactitude des renseignements fournis de soi-même. Les patients admissibles à l'étude étaient ceux ne nécessitant pas de soins urgents et ayant passé au triage dans la salle d'attente. Les patients déjà hospitalisés et ceux dirigés immédiatement après le triage dans l'aire de soins urgents ou de trauma du service des urgences ont été exclus. RÉSULTATS: Parmi les 160 patients interrogés, 146 (91,3 %) avaient rempli le formulaire avec au plus une divergence modérée (mais un certain nombre de divergences mineures). Dans 31 (19,4 %) des formulaires de MSTP, il n'y avait aucune divergence et, dans 101 (63,1 %) des formulaires, il n'y avait que des divergences mineures. CONCLUSIONS: La plupart des patients interrogés par l'équipe de pharmacie étaient en mesure de remplir le formulaire de MSTP sans qu'apparaisse de divergence cliniquement significative. Le formulaire autoadministré de MSTP serait un outil pratique pour établir un bilan comparatif des médicaments dans le service des urgences pour cette population de patients, mais employé seul, il ne représenterait pas une source fiable d'information sur le MSTP, compte tenu du nombre relativement restreint de patients ayant rempli le formulaire sans qu'apparaisse de divergence.

5.
Can J Hosp Pharm ; 68(3): 191-201, 2015.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-26157180

RESUMO

BACKGROUND: Providing clinical pharmacy services in emergency departments (EDs) is important because adverse drug events commonly occur before, during, and after ED encounters. Survey studies in the United States have indicated a relatively low presence of clinical pharmacy services in the ED setting, but a descriptive survey specific to Canada has not yet been performed. OBJECTIVES: To describe the current status of pharmacy services in Canadian EDs and potential barriers to implementing pharmacy services in this setting. METHODS: All Canadian hospitals with an ED and at least 50 acute care beds were contacted to identify the presence of dedicated ED pharmacy services (defined as at least 0.5 full-time equivalent [FTE] position). Three different electronic surveys were then distributed by e-mail to ED pharmacy team members (if available), pharmacy managers (at hospitals without an ED pharmacy team), and ED managers (all hospitals). The surveys were completed between July and September 2013. RESULTS: Of the 243 hospitals identified, 95 (39%) had at least 0.5 FTE clinical pharmacy services in the ED (based on initial telephone screening). Of the 60 ED pharmacy teams that responded to the survey, 56 had pharmacists (27 of which also had ED pharmacy technicians) and 4 had pharmacy technicians (without pharmacists). Forty-four (79%) of the 56 ED pharmacist services had been established within the preceding 10 years. Order clarification, troubleshooting, medication reconciliation, and assessment of renal dosing were the services most commonly provided. The large majority of pharmacy managers and ED managers identified the need for ED pharmacy services where such services do not yet exist. Inadequate funding, competing priorities, and lack of training were the most commonly reported barriers to providing this service. CONCLUSIONS: Although the establishment of ward-based pharmacy services in Canadian EDs has increased over the past 10 years, lack of funding and a lack of ED training for pharmacists were reported as significant barriers to the expansion of this role in most hospitals.


CONTEXTE: Offrir des services de pharmacie clinique dans les services des urgences est important, car des événements indésirables liés aux médicaments se produisent fréquemment avant, pendant et après y avoir séjourné. Des études par sondage réalisées aux États-Unis font état d'une présence relativement faible des services de pharmacie clinique dans les services des urgences. Malheureusement, aucune enquête descriptive n'a été menée au Canada à ce jour. OBJECTIFS: Dresser le portrait actuel des services de pharmacie au sein des services des urgences du Canada et présenter les obstacles potentiels à l'établissement de services de pharmacie dans ce milieu. MÉTHODES: On a communiqué avec l'ensemble des hôpitaux canadiens disposant d'un service des urgences et d'au moins 50 lits de soins de courte durée afin de savoir s'ils profitaient de services de pharmacie consacrés au service des urgences (soit au moins 0,5 d'un poste équivalent temps plein). Trois différents sondages électroniques ont ensuite été envoyés par courriel : un aux membres du personnel de pharmacie affectés aux services des urgences (le cas échéant); un aux gestionnaires de pharmacie (des hôpitaux sans équipe de pharmacie au service des urgences); et un aux gestionnaires des services des urgences (de tous les hôpitaux). Les sondages ont été remplis entre juillet et septembre 2013. RÉSULTATS: Des 243 hôpitaux recensés, 95 (39 %) avaient au moins 0,5 d'un poste équivalent temps plein pour la prestation de services de pharmacie clinique au service des urgences (résultat établi au moyen d'une présélection téléphonique). Parmi les 60 équipes de pharmacie affectées au service des urgences ayant répondu au sondage, 56 disposaient de pharmaciens (et parmi celles-ci, 27 comptaient aussi sur des techniciens en pharmacie) et 4 étaient composées exclusivement de techniciens en pharmacie. Quarante-quatre (79 %) des 56 équipes comprenant des pharmaciens avaient été mises en place au cours des dix dernières années. La clarification des ordonnances, le dépannage, l'établissement de bilans comparatifs des médicaments et l'évaluation de l'ajustement posologique chez les insuffisants rénaux représentaient les services les plus souvent offerts. La vaste majorité des gestionnaires de pharmacie et des gestionnaires des services des urgences ont souligné la nécessité d'avoir des services de pharmacie au service des urgences dans les établissements où il n'y en avait pas encore. Le manque de financement, le nombre foisonnant de priorités et l'insuffisance de formation représentaient les éléments faisant le plus souvent obstacle à l'instauration de ce service selon les répondants. CONCLUSIONS: Bien que la mise en place de services de pharmacie clinique consacrés aux services des urgences ait augmenté au Canada durant les dix dernières années, le manque de financement et l'insuffisance de formation des pharmaciens pour le travail au service des urgences ont été présentés comme étant d'importants obstacles à l'accroissement de ce rôle dans la plupart des hôpitaux.

6.
Can J Hosp Pharm ; 68(3): 202-9, 2015.
Artigo em Inglês | MEDLINE | ID: mdl-26157181

RESUMO

BACKGROUND: As of 2015, Accreditation Canada's Qmentum program expects emergency departments (EDs) to initiate medication reconciliation for 2 groups of patients: (1) those with a decision to admit and (2) those without a decision to admit who meet the criteria of a risk-based, health care organization-defined selection process. Pharmacist-led best possible medication histories (BPMHs) obtained in the ED are considered more complete and accurate than BPMHs obtained by other ED providers, with pharmacy technicians obtaining BPMHs as effectively as do pharmacists. A current assessment of the role of pharmacy in BPMH processes in Canadian EDs is lacking. OBJECTIVES: To identify and describe BPMH and medication reconciliation practices in Canadian EDs, including those performed by members of the ED pharmacy team. METHODS: All Canadian hospitals with an ED and at least 50 acute care beds were contacted to identify the presence of dedicated ED pharmacy services (defined as at least a 0.5 full-time equivalent position). Different electronic surveys were then distributed to ED pharmacy team members (where available) and ED managers (all hospitals). RESULTS: Survey responses were obtained from 60 (63%) of 95 ED pharmacy teams and 128 (53%) of 243 ED managers. Only 38 (30%) of the 128 ED managers believed that their current BPMH processes were adequate to obtain a BPMH for all admissions. Fifty-nine (98%) of the ED pharmacy personnel reported obtaining BPMHs (most commonly 6-10 per day), with priority given to admitted patients. Only 14 (23%) of the 60 ED pharmacy teams reported that their EDs had adequate staffing to comply with Accreditation Canada's requirements for obtaining BPMHs. This result is supported by the 104 (81%) out of 128 ED managers who reported that additional ED staffing would be needed to comply with the requirements. Numerous ED managers identified the need to expand ED pharmacy services and improve information technology support. CONCLUSIONS: BPMH processes in Canadian EDs were variable and inadequately supported. Survey responses suggested that additional staff and significant improvements in structured processes would be required to meet Accreditation Canada standards.


CONTEXTE: À compter de 2015, le programme Qmentum d'Agrément Canada s'attend à ce que les services des urgences réalisent un bilan comparatif des médicaments pour deux groupes de patients : (1) ceux que l'on décide d'admettre et (2) ceux non admis qui présentent un risque d'événements indésirables liés aux médicaments selon des critères élaborés par l'organisme. Les meilleurs schémas thérapeutiques possibles (MSTP) obtenus au service des urgences grâce aux pharmaciens sont considérés comme étant plus complets et précis que ceux dressés par d'autres fournisseurs du service des urgences. De plus, ceux obtenus par les techniciens en pharmacie sont d'une qualité égale à ceux dressés par les pharmaciens. Enfin, il n'y a pas d'évaluation actuelle du rôle joué par le personnel de la pharmacie au sein des processus d'obtention des MSTP dans les services des urgences du Canada. OBJECTIFS: Recenser les pratiques de réalisation des MSTP et des bilans comparatifs des médicaments au sein des services des urgences canadiens, notamment celles des membres des équipes de pharmacie affectés aux services des urgences, et les décrire. MÉTHODES: On a communiqué avec l'ensemble des hôpitaux canadiens disposant d'un service des urgences et d'au moins 50 lits de soins de courte durée afin de savoir s'ils profitaient de services de pharmacie consacrés au service des urgences (ce qui était défini comme au moins 0,5 d'un poste équivalent temps plein). Différents sondages électroniques ont ensuite été envoyés : un aux membres du personnel de pharmacie affectés aux services des urgences (le cas échéant); et un aux gestionnaires des services des urgences (de tous les hôpitaux). RÉSULTATS: Au total, 60 (63 %) des 95 équipes de pharmacie affectées aux services des urgences ont répondu au sondage, et 128 (53 %) des 243 gestionnaires des services des urgences ont fait de même. Seulement 38 (30 %) gestionnaires des services des urgences croyaient que leurs processus actuels convenaient à l'obtention des MSTP pour tous les patients admis. Cinquante-neuf (98 %) équipes de pharmacie affectées aux services des urgences ont déclaré dresser des MSTP (normalement de 6 à 10 par jour), la priorité étant accordée aux patients admis. Seules 14 (23 %) des 60 équipes de pharmacie affectées aux services des urgences jugeaient que leur service des urgences était doté d'un personnel suffisant pour satisfaire aux exigences d'Agrément Canada en ce qui a trait à l'obtention des MSTP. Ce résultat était corroboré par le fait que 104 (81 %) des 128 gestionnaires des services des urgences ont souligné le besoin de personnel supplémentaire au service des urgences afin de pouvoir respecter les exigences. Un grand nombre de gestionnaires des services des urgences ont reconnu la nécessité d'accroître la prestation des services de pharmacie aux services des urgences ainsi que le besoin d'améliorer le soutien par les technologies de l'information. CONCLUSIONS: Les processus d'obtention des MSTP dans les services des urgences canadiens variaient et n'avaient pas un soutien adéquat. Les réponses aux sondages semblent indiquer que du personnel supplémentaire de même que d'importantes améliorations des processus structurés seraient nécessaires pour respecter les normes d'Agrément Canada.

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