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1.
Mali méd. (En ligne) ; 39(1): 5-10, 2024. figures, tables
Article in French | AIM | ID: biblio-1554200

ABSTRACT

Introduction : La constipation est un symptôme qui correspond à une anomalie des selles ou de leur élimination : elles sont trop volumineuses ou trop dures, trop rares, ou leur élimination est douloureuse, voire incomplète. Objectif : le but de cette étude était de déterminer la fréquence, les facteurs favorisants, les signes et les modalités thérapeutiques de la constipation de l'enfant dans le département de pédiatrie du CHU Gabriel Touré. Patients et Méthode : Il s'agissait d'une étude transversale descriptive à collecte prospective allant du 1 avril 2019 au 31 Janvier 2020. Ont été inclus tous les patients de 0 à 15 ans ayant consulté dans le département de pédiatrie pour constipation et répondant aux critères de Rome IV. Résultat : Nous avions enregistré 75 patients.Lafréquence hospitalière était de 0,23 %. La tranche d'âge d'un mois à deux ans représentait 61,3% des patients, l'âge moyen était de 27,7 +/- 43 mois. Le sexe masculin prédominait avec 58,7%. La constipation était le motif de consultation le plus fréquent avec 62,6%. Une selle par semaine a été retrouvée chez 77,3 % des patients. La douleur à la défécation a été retrouvée chez 65,3 % des patients. La constipation était fonctionnelle chez 69,3% des patients. La maladie de Hirschsprung était la cause de la constipation organique chez 65,2% des patients. Les laxatifs ont été prescrits chez 64 % des patients à la consultation. Conclusion: La constipation est une pathologie fréquente qui touche les enfants à tout âge. Elle est d'origine fonctionnelle dans la majeure partie des cas.


Introduction: Constipation is a symptom that corresponds to an anomaly of the stools or their elimination: they are too bulky or too hard, too rare, or their elimination is painful, even incomplete. Objective: was to determine the frequency, the contributing factors, the signs and the therapeutic methods of constipation in children in the pediatric department of the CHU Gabriel Touré. Patients and Method: This was a descriptive cross-sectional study with prospective collection from April 1, 2019 to January 31, 2020. All patients aged 0 to 15 who consulted in the pediatric department for constipation and responding to the Rome IV criteria. Result: We registered 75 patients. The hospital frequency of 0.23%. The age group from one month to two years represented 61.3% of the patients, the average age was 27.7 +/- 43 months. The male gender predominated with 58.7%. Constipation alone was the most common reason for consultation with 62.6%. One stool per week was found in 77.3% of patients. Pain on defecation was found in 65.3% of patients. Constipation was functional in 69.3% of patients. Hirschsprung disease was the cause of organic constipation in 65.2% of patients. Laxatives were prescribed in 64% of patients at the consultation. Conclusion: Constipation is a frequent pathology that affects children at all ages. It is of functional origin in most case


Subject(s)
Humans , Male , Female , Infant , Child, Preschool , Child , Adolescent
2.
Article in French | AIM | ID: biblio-1530751

ABSTRACT

Objectif : Décrire la prise en charge anesthésiologique de l'anévrisme cérébral au Mali. Patients et Méthodes : étude descriptive à recueil historique de 8 ans (Novembre 2012 à Octobre 2020) au CHU « Hôpital du Mali ¼ des patients opérés pour anévrisme cérébral avec un dossier médical complet. La saisie et l'analyse ont été effectuées par SSPS version 25. Résultats : Durant la période d'étude, 32 patients répondaient à nos critères soit une prévalence de 2,1%. L'âge moyen était de 45,2 ± 12,5 ans. Le ratio femme-homme était de 2,55. Les patients résidaient à Bamako dans 71,9 %. L'HTA était l'antécédent médical le plus fréquent. Les patients étaient de grade I de WFNS dans 87,5%. La classe ASA II représentait 84,4%. Une prémédication a été faite dans 96,9%. Une anesthésie générale a été faite chez tous les patients. Une antibioprophylaxie a été faite chez tous les patients. La perte sanguine moyenne était de 737,3 ± 460,5 ml. Une transfusion per opératoire a été prescrite dans 46,8%. L'évènement indésirable per opératoire était cardiovasculaire dans 96,9 %. La durée moyenne de la chirurgie était de 267,1±77,1 minute. Celle de l'anesthésie était de 427,9 minutes. En réanimation, une complication a été observée dans 34,4%. La mortalité était de 25%. La durée moyenne de séjour était de 6,3 jours. Conclusion: Au Mali la prise en charge de l'anévrysme cérébral est en progrès malgré une mortalité encore élevée.


Objective: To Describe the anesthesiological management of cerebral aneurysm in Mali. Patients and Methods: This was an observational study, descriptive with historical collection of 8 years (November 2012 to October 2020) at the department of the university hospital "Hôpital du Mali" concerning 32 patients operated for cerebral aneurysm with a complete medical file. Input and analysis were performed by SSPS version 25. Results: During the study period, 32 patients met our criteria, a prevalence of 2.1%. The median age was 45.2 ± 12.5 years. The female-to-male ratio was 2.55. Patients resided in Bamako in 71.9%. High blood pressure was the most common medical history. Patients were grade I WFNS in 87.5o_ièvg%. ASA class II accounted for 84.4%. Premedication was done in 96.9%. General anesthesia was applied to all patients. Antibiotic prophylaxis was given to all patients. The average blood loss was 737.3 ± 460.5 ml. An intraoperative transfusion was prescribed in 46.8%. The intraoperative adverse event was cardiovascular in 96.9%. The average duration of surgery was 267.1±77.1 minutes. That of anesthesia was 427.9 minutes. In intensive care, a complication was observed in 34.4%. Mortality was 25%. The average length of stay was 6.3 days. Conclusion: In Mali, the management of cerebral aneurysm is progressing despite still high mortality.


Subject(s)
Humans , Male , Female , Patients , Intracranial Aneurysm , Drug-Related Side Effects and Adverse Reactions , Hospitals , Disease Management
3.
Mali méd. (En ligne) ; 38(1): 1-10, 2023. tables
Article in French | AIM | ID: biblio-1427096

ABSTRACT

Introduction : La forme digestive pure de la COVID-19 est possible et initialement considérée comme rare. L'objectif était d'étudier la COVID-19 en milieu chirurgical. Matériels et méthodes: L'étude était descriptive prospective de Mars 2020 à Aout 2021 (18 mois). Tous les patients qui ont été opérés, hospitalisés ou consultés dans le service, au service d'accueil des urgences (SAU) ou dans d'autres services du CHU. GT pour pathologie chirurgicale avec COVID-19 ou infecté au COVID-19 en cours d'hospitalisation étaient inclus dans l'étude. Résultats : 23 cas colligés ; représentant 8,91 % (23/258) des cas de COVID-19 recensés, une fréquence de 1,27/mois. La tranche d'âge 66-75 ans était la plus atteinte, la moyenne d'âge était de 49,13 ± 18,75ans, la prédominance était masculine (sex-ratio de 1,3). Plus de 34,78% ont été recrutés au SAU, 16 malades (69,56%) ont consultés en urgence, les signes digestifs du COVID-19 étaient : Douleur abdominale 20 cas (89,96%), anorexie 19 cas (82,61%), Vomissements 8 cas (34,78%), diarrhée 3 cas (13,04%). Les signes pulmonaires du COVID-19 étaient : Toux 18 cas (78,26%), douleur thoracique 15 cas (65,22%), dyspnée 9 cas (39,13%). Les manifestations du COVID-19 étaient : pulmonaire 9 cas, digestives 9 cas, associées 3 cas, découverte fortuite 2 cas. Le moyen diagnostic a été la TDM Thoracique (100%), le Test-PCR 14 cas (60,86%) avec un test-PCR positif dans 50% des cas. Les pathologies chirurgicales étaient des urgences chirurgicales dans 7 cas (30,43%), des cancers dans 6 cas (26,09%), manifestation digestive COVID-19(30,43%), autres 3 cas (13,04%).Plus de la moitié des malades étaient opérés 12 cas (52,17%). La mortalité globale était de 60,87% et la mortalité des malades opérés était de 41,67%. Conclusion : Les pathologies chirurgicales et COVID-19 n'étaient pas fréquentes. La plupart des malades avaient plus de 50 ans avec une présence moyenne de comorbidité. Les signes pulmonaires étaient les plus marquants, cependant les signes digestifs étaient inaugurales dans la moitié des cas de notre étude. La TDM Thoracique associée ou non au Test-PCR oro-pharyngé permet de faire le diagnostic. Le traitement peut-être médico-chirurgical ou médical. Le risque infectieux de la COVID-19 au cours de l'hospitalisation, pendant ou après la chirurgie est réel et potentiellement grave pour le malade ainsi que les soignants.


Introduction: The pure digestive form of COVID-19 is possible and initially considered rare. Our objectives were to determine the frequency of COVID-19 in patients treated in general surgery, identify the circumstances of COVID-19 discoveries in surgery, describe the post-operative complications in patients operated on COVID-1919 and describe the reorganization of post-operative COVID-19 diagnosis management.Materials and methods: We conducted a prospective descriptive study from March 2020 to August 2021 (18 months). All patients who have been operated on, hospitalized or consulted in the department, the Emergency Department (ERS) or other CHU-GT departments for surgical pathology with COVID-19 or infected with COVID-19 while hospitalized were included in the study.Results: 23 cases collected, representing 8.91% (23/258) of COVID-19 cases identified, a frequency of 1.27/month. The age group 66-75 was the most affected, the average age was 49.13 18.75 years, the predominance was male (sex ratio of 1.3). More than 34.78% were recruited at the SAU, 16 patients (69.56%) consulted in emergency, and digestive signs of COVID-19 were: Abdominal pain 20 cases (89.96%), anorexia 19 cases (82.61%), vomiting 8 cases (34.78%) and diarrhea 3 cases (13.04%). The pulmonary signs of COVID-19 were: Cough 18 cases (78.26%), chest pain 15 cases (65.22%), and dyspnea 9 cases (39.13%). Manifestations of COVID-19 were: pulmonary 9 cases, digestive 9 cases, associated 3 cases, incidental discovery 2 cases. The diagnostic mean was Thoracic CT (100%), Test-PCR 14 cases (60.86%) with a positive PCR test in 50% of cases. Surgical pathologies were surgical emergencies in 7 cases (30.43%), cancers in 6 cases (26.09%), COVID-19 digestive event (30.43%) and other 3 cases (13.04%). More than half of patients were operated on 12 cases (52.17%). The overall mortality was 60.87% and the mortality of surgical patients was 41.67%.Conclusion: The infectious risk of COVID-19 during hospitalization, during or after digestive surgery is a real and potentially serious risk for the patient and caregiver


Subject(s)
Humans , Male , Female , Aged , Signs and Symptoms, Respiratory , General Surgery , SARS-CoV-2 , COVID-19 , Emergency Medical Services
4.
Pan Afr. med. j ; 26(167): 1-6, 2017.
Article in French | AIM | ID: biblio-1268468

ABSTRACT

Introduction: l'anémie est une complication fréquente de l'IRC couramment retrouvée chez les patients hémodialysés chroniques. Chez ces derniers, la prise en charge est principalement basée sur l'administration d'érythropoïétine et la supplémentation en fer. Le but de ce travail était d'évaluer la prise en charge de l'anémie des hémodialysés chroniques dans le service de Néphrologie du CHU du Point G.Méthodes: il s'agissait d'une étude transversale réalisée dans ledit service du 1er au 31 Août 2016.Résultats: au total, 63 patients sur 174 participants avaient été retenus, 34 hommes et 29 femmes avec un sex-ratio à 1,17 en faveur des hommes. L'âge moyen des patients était de 48,79 ans ± 11,59, la durée moyenne en hémodialyse était de 3,77ans ± 2,6. La fréquence hospitalière de l'anémie chez nos dialysés était de 84,12%. La transfusion sanguine était retrouvée chez 92,1%, avec une moyenne annuelle de 5,81poches ± 5,91. La supplémentation martiale était notée dans 87,3% des cas. Les moyennes respectives de ferritine et de CST étaient de 1245 ng/ml ± 629,52 et 46,16%±19,12. L'administration occasionnelle d'EPO à des doses n'excédant pas les 4000UI était rapportée par 79,4% des patients. La principale difficulté pour l'utilisation de l' EPO était le coût (74,6%). L'infection au VHC touchait 60,1% des patients ayant réalisé le dit bilan.Conclusion: la gestion de l'anémie des dialysés chroniques doit être intégrée dans un cadre politique nationale de la santé

5.
Revue Marocaine de Rhumatologie ; 39: 51-56, 2017. ilus
Article in French | AIM | ID: biblio-1269357

ABSTRACT

Introduction : Les facteurs génétiques du SGS, outre les modèles animaux, sont déterminés par le biais de leurs formes familiales. L'objectif de ce travail était d'étudier les aspects phénotypiques des formes familiales du SGS. Patients et méthodes : Etude réalisée dans le service de Rhumatologie du CHU Aristide Le Dantec de Dakar entre Janvier 2013 et Mars 2016, où nous avons colligé les observations de familles multiplex de SGS répondant aux critères de consensus de 2002.Résultats : Vingt-deux familles ont été colligées à partir de 22 propositus (17 femmes et 5 hommes), d'âge moyen de 31,5 ans au début apparent de la maladie. Le SGS chez ces propositus était primitif dans 8 cas et secondaire à une PR dans 14 cas. Les familles totalisaient 921 membres. Soixante- quinze (54 femmes et 21 hommes), y compris les cas index présentaient un SGS (54 primitifs et 21 secondaires), soit une prévalence de 8,14 %. Les apparentés de premiers degré atteints étaient au nombre de 46 (85%). Les autres maladies auto- immunes associées étaient une PR (16 cas), un lupus systémique (1 cas), une polymyosite (1 cas), une sclérodermie systémique (1 cas), un vitiligo (1 cas) et une maladie de Basedow (1 cas). Les autres affections répertoriées étaient : lymphome oculaire (1 cas), cancer du col de l'utérus (1 cas). L'évolution sous traitement fut favorable, sauf chez 1 cas décédé. Conclusion : Le caractère familial du SGS chez nos malades plaide en faveur de l'implication de facteurs génétiques dans le déterminisme de la maladie


Subject(s)
Family , Phenotype , Senegal , Sjogren's Syndrome/diagnosis , Sjogren's Syndrome/genetics
6.
Article in French | AIM | ID: biblio-1269338

ABSTRACT

Introduction : L'hyperparathyroïdie primaire(HPTp) apparaît rare en Afrique.Nous en rapportonobservations.Matériels et méthodes : Etude rétrospective réalisée dans le service de Rhumatologie du CHU Aristide Le Dantec de Dakar, où avaient été colligées les observations d'HPTp entre janvier 2000 et juin 2017. Le diagnostic avait été établi sur l'association d'une hypercalcémie permanente et une augmentation sérique de la PTH 1-84 dosée par immunoassay.Résultats : Vingt-deux observations ont été colligées chez 18 femmes et 4 hommes, d'âge moyen de 51,35 ans. Les affections associées étaient 2 cas de NEM de type II et des pathologies systémiques chez 8 patients. La maladie était de découverte systématique chez 12 patients (54,5%des cas). Le bilan phosphocalcique objectivait en moyenne une hypercalcémie à 117,70 mg/l,une hypophosphatémie à 30,04 mg/l, une hypercalciurie des 24heures à 244 mg et une hyperphosphaturie des 24 h à 342,7 mg. La PTH 1-84 sérique était augmentée avec un taux moyen de 248,21 ng/l. Les lésions étaient une hyperplasie dans 3 cas et un adénome dans 19 cas. Le traitement chirurgical avait été effectué chez 12 patients (54,5%). L'évolution fût favorable sauf chez 2 patients décédés de co-morbidités.Conclusion : Nous insistons sur la systématisation du dosage de la calcémie notamment chez toute femme âgée de plus de 50 ans, pour un dépistage précoce au stade asymptomatique de l' HPTp


Subject(s)
Africa , Hyperparathyroidism, Primary , Senegal
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