Your browser doesn't support javascript.
loading
Show: 20 | 50 | 100
Results 1 - 5 de 5
Filter
1.
Rev. int. sci. méd. (Abidj.) ; 24(1): 17-25, 2022. figures, tables
Article in French | AIM | ID: biblio-1397044

ABSTRACT

Introduction. L'objectif de cette étude était de contribuer à l'étude de la mortalité maternelle chez les adolescentes. Méthodes. Il s'agissait d'une étude retro-prospective descriptive et analytique cas témoin, d'une durée de trois ans. La collecte rétrospective avait porté sur deux (2) ans allant du 1er Janvier 2018 au 31 Décembre 2019 et celle prospective sur un (1) an allant du 1er Janvier 2020 au 31 Décembre 2020. Résultats. Durant la période d'étude nous avons enregistré 38 cas de décès maternels sur 16175 naissances vivantes soit un ratio de 235 décès pour 100000 naissances vivantes. Le décès concerne l'adolescente de 18-19 ans (65,8%), mariée (63,2%), non scolarisé (42,1%), et nullipare (65,8%). La majorité des adolescentes avait effectué 1-3 CPN (44,7%), et provenait d'une maternité périphérique (84,2%) et avait accouché par voie basse (78,4%). Le moyen de transport le plus utilisé était le transport en commun (63,2%). La cause de décès était dominée par l'hémorragie (44,7%). Le post-partum a été la période la plus pourvoyeuse de décès (52,6%). Conclusion. La mortalité maternelle constitue un problème de santé majeure dans notre pays, sa réduction nécessite la mobilisation de tous les acteurs de la société et implique une bonne éducation pour la santé, l'amélioration de la qualité du suivi prénatal et celle des soins obstétricaux d'urgence.


Introduction. The objective of this study was to contribute to the study of adolescent maternal mortality. Methods. This was a retrospective descriptive and analytical case-control study, lasting three years. The retrospective data collection covered two (2) years from January 1, 2018 to December 31, 2019 and the prospective one over one (1) year from January 1, 2020 to December 31, 2020. Results. During the study period we recorded 38 cases of maternal deaths out of 16,175 live births, ie a ratio of 235 deaths per 100,000 live births. The death concerns an adolescent girl aged 18-19 (65.8%), married (63.2%), out of school (42.1%), and nulliparous (65.8%). The majority of adolescent girls had performed 1-3 ANC (44.7%), and had come from a peripheral maternity hospital (84.2%) and had given birth vaginally (78.4%). The most used mode of transportation was public transit (63.2%) The cause of death was dominated by hemorrhage (44.7%). The postpartum period was the most significant period of death (52.6%). Conclusion: Maternal mortality is a major health problem in our country, its reduction requires the mobilization of all actors in society and involves good health education, improving the quality of prenatal care and that of obstetric care emergency


Subject(s)
Humans , Female , Adolescent , Pregnancy Complications , Maternal Mortality , Risk Factors , Cause of Death , Pregnant Women , Postpartum Hemorrhage
2.
Rev. int. sci. méd. (Abidj.) ; 24(2): 175-183, 2022. tables, figures
Article in French | AIM | ID: biblio-1397174

ABSTRACT

Objectif. Cette étude avait pour objectif de déterminer la prévalence et les facteurs liés aux infections associées aux soins dans les hôpitaux nationaux de Conakry. Méthodes. la collecte des données et des prélèvements a été réalisée pendant trois jours du dans les hôpitaux nationaux. Vingt-deux services ont été choisies pour le sondage ; les patients dont la durée d'hospitalisation était supérieure ou égale à 48 heures ayant donné leur consentement ont été prélevé. Les analyses microbiologiques étaient effectuées à l'unité de bactériologie à l'Institut National de la Santé Publique Résultats. Au total251 patients ont été enquêtés parmi lesquels 120 patients ont été prélevés. Les infections associées aux soins ont été observés chez 65 patients soit 54,17%. Les infections urinaires 53 cas(60,2%) ont été signifi cativement plus fréquentes que les autres types d'infections (bactériémies, infection du site opératoire, avec respectivement 23.8% et15,8%). De tous les facteurs identifi és, l'âge était le seul associé (P<0,00) au seuil de signifi cativité de 5%. Escherichia coli a été le germe le plus identifi é avec une fréquence de 13,63% suivi de Klebsiella pneumonie avec 7,95%. Des bactéries comme les Staphylococcus aureus résistaient a la méticilline alors que certaines entérobactéries et des Pseudomonas aériginosa ont été résistants aux céphalosporines de troisième génération et aux carbapénèmes. Conclusion. Ces résultats préliminaires mettent en évidence le besoin d'augmenter la sensibilisation du personnel de l'hôpital concernant les infections associées et de revoir un programme opérationnel rigoureux en hygiène hospitalière. L


Subject(s)
Humans , Risk Factors , Guinea , Delivery of Health Care , Drug Resistance, Microbial , Prevalence
3.
Rev. int. sci. méd. (Abidj.) ; 23(1): 11-16, 2021. tables
Article in French | AIM | ID: biblio-1397294

ABSTRACT

Introduction. L'objectif de ce travail était de déterminer la prévalence, le profi l épidémiologique et clinique des victimes de violences sexuelles prises en charge au Centre Hospitalo-universitaire de Donka. Méthodes. Il s'agissait d'une étude rétrospective de type descriptif qui s'est déroulée du 01 Janvier2015 au 31 Décembre 2017à l'unité de médecine légale. Résultats. Sur un total de 1937 cas constituant l'ensemble des consultations en victimologie, 16% étaient descas de violence sexuelle.L'âge moyen des victimes était de 8 ansavec des extrêmes de 5 et 56ans et un écart type de 10,79.Dans la majorité des cas, l'agresseur était connu de la victime mais ne faisait pas partie de l'entourage familial direct (52,6%). Les victimes ont consulté majoritairement au cours des 5 premiers jours (55,8%) avec des extrêmes de 8heures et 30jours.Il s'agissait dans la majorité des cas des défl orations anciennes (54,2%). Conclusion : Nos résultats ne sauraient refl éter exactement l'ampleur du phénomène car la majorité des victimes préfère pour une raison ou une autre taire leur drame


Subject(s)
Humans , Sex Offenses , Epidemiology , Sexual Abstinence , Violence , Guinea
4.
Pan Afr. med. j ; 35(2)2020.
Article in English | AIM | ID: biblio-1268659

ABSTRACT

Introduction: coronavirus is a virus with potential to target the nervous and respiratory systems. The aim of this work is to establish the prevalence of strokes in COVID19 positive patients in Guinea. Methods: all patients with stroke confirmed by brain imaging and COVID-positive PCR were included in this study. Retrospective patient data were obtained from medical records. Informed consent was obtained. Results: the RT-PCR confirmed the initial diagnosis and the chest CT scan provided a good diagnostic orientation. Brain imaging identified ischemic brain lesions. We report the case of four patients with stroke and a COVID-19 incidental finding in Guinea.Conclusion: this work shows that the onset of ischemic stroke associated with COVID-19 is generally delayed, but can occur both early and late in the course of the disease. More attention is needed because the early symptoms of viral attack are not just pulmonary


Subject(s)
COVID-19 , Cerebrovascular Disorders , Guinea , Stroke
5.
Article in English | AIM | ID: biblio-1268492

ABSTRACT

Introduction: in 2010, the Global Vaccine Action Plan called on all countries to reach and sustain 90% national coverage and 80% coverage in all districts for the third dose of diphtheria-tetanus-pertussis vaccine (DTP3) by 2015 and for all vaccines in national immunization schedules by 2020. The aims of this study are to analyze recent trends in national vaccination coverage in the World Health Organization African Region and to assess how these trends differ by country income category.Methods: we compared national vaccination coverage estimates for DTP3 and the first dose of measles-containing vaccine (MCV) obtained from the World Health Organization (WHO)/United Nations Children's Fund (UNICEF) joint estimates of national immunization coverage for all African Region countries. Using United Nations (UN) population estimates of surviving infants and country income category for the corresponding year, we calculated population-weighted average vaccination coverage by country income category (i.e., low, lower middle, and upper middle-income) for the years 2000, 2005, 2010 and 2015.Results: DTP3 coverage in the African Region increased from 52% in 2000 to 76% in 2015,and MCV1 coverage increased from 53% to 74% during the same period, but with considerable differences among countries. Thirty-six African Region countries were low income in 2000 with an average DTP3 coverage of 50% while 26 were low income in 2015 with an average coverage of 80%. Five countries were lower middle-income in 2000 with an average DTP3 coverage of 84% while 12 were lower middle-income in 2015 with an average coverage of 69%. Five countries were upper middle-income in 2000 with an average DTP3 coverage of 73% and eight were upper middle-income in 2015 with an average coverage of 76%.Conclusion: disparities in vaccination coverage by country persist in the African Region, with countries that were lower middle-income having the lowest coverage on average in 2015. Monitoring and addressing these disparities is essential for meeting global immunization targets


Subject(s)
Africa , Diphtheria-Tetanus-Pertussis Vaccine , Immunization , Vaccination , World Health Organization
SELECTION OF CITATIONS
SEARCH DETAIL