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1.
Article in French | AIM | ID: biblio-1264223

ABSTRACT

Introduction: Les entérobactéries constituent les principales causes d'infections bactériennes.Ce sont des Bactéries Multi- résistantes (BMR)fréquentes par production de BLSE(Bêtalactamases à spectre élargi).Ceci constitue un problème de santé publique majeur car cette résistance est à l'origine d'une impasse thérapeutique et conduit à une prescriptiond'antibiotiques à large spectre (carbapénèmes). Notre étude prospective allant du 01 janvier au 31 décembre 2017 a porté sur 50 souches d'entérobactéries isolées au laboratoire et a pour but de caractériser les types de bêtalactamases.Méthodologie : Les souches ont été ré-isolées d'abord sur milieu Mueller Hinton, ensuite identifiées par la morphologie et les caractères biochimiques des entérobactéries. Les méthodes suivantes ont été réalisées pour la mise en évidence des classes de BLSE. - Méthode de rapprochement des disques (synergie entre un disque Amoxicilline + Acide clavulanique (AMC) et les disques de Céphalosporine de 3ieme (C3G) : BLSE de classe A. - Méthode de Dongeun Yong et al. utilisant l'EDTA (Ethylène Diamine Tétra-acétique) 0,5 M, PH 7 (Inhibition du zinc présent sur le site actif de l'enzyme par l'EDTA): BLSE de classe B. Résultat : Les souches d'entérobactéries étaient réparties ainsi : Enterobacter spp : 40%, Escherichia coli : 32%, Klebsiella pneumoniae : 24% et Klebsiella oxytoca : 4%. Cinquante-six pour cent 56% des souches produisaient une BLSE de classe A (image « bouchon de champagne ») et 14% une BLSE de classe B avec restauration de l'activité de l'imipenème après association de l'EDTA. Enterobacter spp était la souche la plus représentée avec 12 souches sécrétrices d'une BLSE de classe A et 5 souches de classe B, suivie d'E. coli avec 08 souches sécrétrices d'une BLSE de classe A et 01 souche de classe B. K. pneumoniae et K. oxytoca comptaient respectivement 06 et 02 souches sécrétrices de BLSE de classe A. Conclusion : L'acquisition par les entérobactéries et la transmission de résistance, par production de BLSE de classe A ou B est un problème majeur de santé publique causant une véritable impasse thérapeutique. Aujourd'hui, la prévalence de la résistance par production de Métallo-bêtalactamase (MBL) est faible comparée à celle de BLSE de classe A. Ainsi, des stratégies de diagnostic et de maîtrise de la diffusion doivent être appliquées rigoureusement


Subject(s)
Amoxicillin , Drug Resistance, Multiple, Bacterial , Enterobacteriaceae Infections , Enterobacteriaceae Infections/diagnosis , Enterobacteriaceae Infections/prevention & control , Enterobacteriaceae Infections/transmission , Senegal
2.
Article in French | AIM | ID: biblio-1264230

ABSTRACT

Introduction : Les entérobactéries constituent les principales causes d'infections bactériennes. Ce sont des Bactéries Multirésistantes (BMR) fréquentes par production de BLSE (Bêtalactamases à spectre élargi). Ceci constitue un problème de santé publique majeur car cette résistance est à l'origine d'une impasse thérapeutique et conduit à une prescription d'antibiotiques à large spectre (carbapénèmes).Notre étude prospective allant du 01 janvier au 31 décembre 2017 a porté sur 50 souches d'entérobactériesisolées au laboratoire et a pour but de caractériser les types de bêtalactamases. Méthodologie : Les souches ont été ré-isolées d'abord sur milieu Mueller Hinton, ensuite identifiées par la morphologie et les caractères biochimiques des entérobactéries. Les méthodes suivantes ont été réalisées pour la mise en évidence des classes de BLSE. - Méthode de rapprochement des disques (synergie entre un disque Amoxicilline + Acide clavulanique (AMC) et les disques de Céphalosporine de 3ieme (C3G) : BLSE de classe A. - Méthode de Dongeun Yong et al. utilisant l'EDTA (Ethylène Diamine Tétra-acétique) 0,5 M, PH 7 (Inhibition du zinc présent sur le site actif de l'enzyme par l'EDTA): BLSE de classe B. Résultat : Les souches d'entérobactéries étaient réparties ainsi : Enterobacter spp : 40%, Escherichia coli : 32%, Klebsiella pneumoniae : 24% et Klebsiella oxytoca : 4%. Cinquante-six pour cent 56% des souches produisaient une BLSE de classe A (image « bouchon de champagne ») et 14% une BLSE de classe B avec restauration de l'activité de l'imipenème après association de l'EDTA. Enterobacter spp était la souche la plus représentée avec 12 souches sécrétrices d'une BLSE de classe A et 5 souches de classe B, suivie d'E. coli avec 08 souches sécrétrices d'une BLSE de classe A et 01 souche de classe B. K. pneumoniae et K. oxytoca comptaient respectivement 06 et 02 souches sécrétrices de BLSE de classe A. Conclusion : L'acquisition par les entérobactéries et la transmission de résistance, par production de BLSE de classe A ou B est un problème majeur de santé publique causant une véritable impasse thérapeutique. Aujourd'hui, la prévalence de la résistance par production de Métallo-bêtalactamase (MBL) est faible comparée à celle de BLSE de classe A. Ainsi, des stratégies de diagnostic et de maîtrise de la diffusion doivent être appliquées rigoureusement


Subject(s)
Carbapenem-Resistant Enterobacteriaceae , Enterobacteriaceae Infections , Senegal
3.
Afr. j. neurol. sci. (Online) ; 34(1): 3-9, 2015. tab
Article in French | AIM | ID: biblio-1257436

ABSTRACT

Introduction L'epilepsie constitue un probleme de sante publique au Senegal avec une prevalence de 8;3 a 14/1000. Elle concerne principalement les enfants. L'objectif de ce travail est d'etudier les aspects biographiques; phenotypiques et evolutifs de la maladie epileptique dans une cohorte d'enfants au Senegal. Methodologie Il s'agit d'une etude retrospective de dossiers d'enfants epileptiques suivis regulierement au CHU de FANN et a l'Hopital d'Enfants Albert Royer; de Juillet 2003 a decembre 2010. Les criteres d'inclusion etaient: epileptiques ages de moins de 18 ans; regulierement suivis depuis au moins 3 ans; ayant un traitement adapte; a dose efficace; avec une bonne observance therapeutique. Resultats Nous avons collige 522 enfants; ages de 3 mois a 16 ans; avec un sex-ratio de 1;7 en faveur des garcons. L'epilepsie etait idiopathique chez 57% des enfants et non idiopathique chez 43% des patients. Les facteurs etiologiques etaient domines par la consanguinite parentale; les anomalies de la grossesse et de l'accouchement; les infections du systeme nerveux central. Dans le groupe des epilepsies idiopathiques la consanguinite parentale et l'epilepsie familiale etaient retrouvees respectivement chez 64 enfants (21;62%) et 20 enfants (6;75%). Neuf enfants (3%) presentaient un trouble du langage isole; alors qu'un seul enfant (0;33%) avait un deficit cognitif global. Dans le groupe des epilepsies non idiopathiques; les signes associes a l'epilepsie etaient les troubles du langage (15;70%); du comportement (15%) et des deficits moteurs (10;32%). 22;41% des enfants scolarises avaient des difficultes d'apprentissage menant parfois a des redoublements scolaires ou une exclusion. Conclusion La classification syndromique a l'epilepsie est necessaire pour une bonne prevision pronostique et therapeutique. Le caractere idiopathique ou non en est pour une grande place; correle le plus souvent a une epilepsie familial ou une consanguinite ou affection perinatal ou infectieuse du systeme nerveux central


Subject(s)
Adolescent , Child , Senegal , Spasms, Infantile
4.
Article in French | AIM | ID: biblio-1269348

ABSTRACT

Introduction : Les douleurs neuropathiques sont graves et de prise en charge difficile. L'efficacité du traitement est jugée sur l'amélioration de la qualité de vie.Objectifs : Déterminer la fréquence des douleurs neuropathiques et apprécier l'efficacité de thérapeutiques utilisées et les difficultés à l'instauration des recommandation dans un centre à Dakar.Méthodologie : Une étude prospective de 4 mois a été menée au Centre National d'Appareillage Orthopédique dont l'objectif a été d'apprécier les obstacles à l'instauration des recommandations internationales sur la prise en charge des douleurs neuropathiques. Les patients reçus pour des douleurs chroniques ont répondu aux questionnaires DN4 et ceux qui ont eu des douleurs neuropathiques inclus. L'intensité de la douleur, le retentissement fonctionnel, et la qualité du sommeil, ont été évalués avant et après traitement. Les effets secondaires des médicaments, les raisons d'une non adhérence au traitement ont été notés et la conformité des examens complémentaires vérifiée.Résultats : 53 patients avec un âge moyen de 50,22 ans ont été inclus. L'EVA moyen a été de 5,75. La marche a été anormale dans 33,96% des cas, impossible (4 cas), la montée et descente des escaliers impossible (18,83%), le périmètre de marche inferieur à 1000m (18,86%) et 13,20% des patients incapables de ramasser un objet à terre. Les activités professionnelles suspendues dans 2 cas et le sommeil perturbé dans 33,96% des cas. Le traitement de première intention a été l'Amitriptyline (54,71%) et a été responsable d'effets secondaires dans 3 cas. Après un recul de 2 mois, la reprise effective des différentes activités a été obtenue dans 94,53%.Discussion et Conclusion : Même si la diminution de l'EVA au cours des douleurs neuropathiques sous traitement est parfois minime, le retentissement sur la qualité de vie doit être apprécié avant de conclure à une inefficacité thérapeutique. Le choix des molécules doit tenir compte de l'accessibilité du médicament. La rééducation doit être effectuée surtout en cas de retentissement fonctionnel et/ ou d'association à d'autres déficiences neurologiques


Subject(s)
Chronic Pain , Nervous System Diseases/therapy , Pain Management , Senegal
5.
Afr. j. neurol. sci. (Online) ; 28(1): 1-15, 2009. tab
Article in French | AIM | ID: biblio-1257424

ABSTRACT

Description La démence est devenue un problème de santé publique. Dans le but d'une prévention, il est important de connaitre son épidémiologie au Sénégal. L'objectif de cette étude était d'identifier les facteurs de risque de démence dans une population de personnes âgées sénégalaises. Méthodes Une étude transversale a été réalisée du 01 Mars 2004 au 31 Décembre 2005 auprès d'une population de 872 personnes âgées de 55ans et plus utilisant le Centre Médicosocial et Universitaire de l'Institut de Prévoyance Retraite du Sénégal pour des soins. Par une étude en deux phases, des données sociodémographiques, sur le mode de vie, le réseau social, les antécédents ont été collectées à l'aide d'un questionnaire structuré complété par un examen clinique et une évaluation neuropsychologique. Le diagnostic de démence reposait sur des critères DSM IV-R


Subject(s)
Aged , Dementia/diagnosis , Dementia/epidemiology , Prevalence , Risk Factors
6.
Afr. j. neurol. sci. (Online) ; 27(2): 30-43, 2008. ilus
Article in French | AIM | ID: biblio-1257416

ABSTRACT

Description Avec le vieillissement de la population, survient la démence dans la population de personnes âgées. Objectif. L'objectif de cette étude était d'estimer la prévalence de cette affection dans une population de personnes âgées sénégalaises. Méthodes Par une étude transversale qui s'est déroulée du 01 mars 2004 au 31 décembre 2005, des personnes âgées de 55 ans et plus venant consulter pour un problème de santé au Centre Médico-Social et Universitaire de l'IPRES (Sénégal) ont été évaluées sur le plan clinique et neuropsychologique. Des données sur les caractéristiques sociodémographiques, les antécédents médico-chirurgicaux et familiaux, le mode de vie, le réseau social ont été collectées à l'aide d'un questionnaire structuré avec des réponses fermées. Résultat La population à l'étude était composée de 872 personnes. Elles avaient un âge moyen de 67,2 ans ± 7,5. Elles étaient de sexe masculin (62,6%), mariées (79%), non instruites (50,7%). Dans les antécédents, l'HTA, le diabète, les affections respiratoires, les affections rhumatismales, la cataracte et les troubles digestifs étaient les plus fréquents. Le tabagisme et l'alcoolisme était faible alors que la marche constituait la principale activité physique. Les personnes âgées vivaient en famille avec un bon réseau social.Cinquante huit (58) personnes ont présenté une démence (6,6%). La prévalence de la maladie variait de manière significative avec l'âge et l'instruction. Conclusion Ce résultat confirme que la prévalence de la démence varie en fonction de l'âge et de l'instruction de la personne âgée


Subject(s)
Aged , Cross-Sectional Studies , Prevalence
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