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1.
J. afr. imag. méd ; 16(1): 10-16, 2024. figures
Article in French | AIM | ID: biblio-1555056

ABSTRACT

Objectif.Depuis 2008, la Haute Autorité Sanitaire recommande la réalisation du scanner cardiaque dans le diagnostic des cardiopathies congénitales. Celui-ci aide à confirmer et préciser les anomalies mal définies à l'échocardiographie. Dans les pays développés, le scanner cardiaque est un examende routine pour le diagnostic des cardiopathies congénitales. En Côte-d'Ivoire, sa pratique est récente.L'objectif de cette étude était de décrire les techniques et résultats des scanners cardiaques pédiatriques réalisés dans une structure privée à Abidjan.Matériels et méthodes.Il s'agissait d'une étude descriptive rétrospective sur une période de 2 mois qui a inclus tous les enfants reçus à la clinique la rosette pour la réalisation d'un scanner cardiaque indiqué pour l'évaluation d'une cardiopathie congénitale. Les examens ont été réalisés sous sédation légère pour les enfants de moins de 7 ans.Résultats.Vingt scanners cardiaques pédiatriques ont été réalisés. Les indications des scanners cardiaques pédiatriques étaient la tétralogie de Fallot (15 cas), l'atrésie pulmonaire à septum ouvert (APSO) (2 cas), la communication inter auriculaire (CIA) (1 cas), la CIA associée à une communication interventriculaire (CIV) (1 cas) et la sténose pulmonaire supra valvulaire (1 cas). Dans les cas de Tétralogie deFallot et d'APSO, les branches pulmonaires et les collatérales aorto-pulmonaires ont été visualisées et mesurées. Pour le bilan de , un retour veineux pulmonaire non visualisé à l'échocardiographie a été retrouvé au scanner cardiaque. Dans tous les cas, un bilan tomodensitométrique malformatif était réalisé : recherche d'anomalies coronaires et d'arcs aortiques.Après réalisation du scanner cardiaque, 5 enfants ont bénéficié d'une cure chirurgicale. On notait une concordance entre les diagnostics peropératoires et tomodensitométriques


Objective. Since 2008, the French National Authority for Health recommends the use of a cardiac scanner for the diagnosis of congenital heart disease. It helps to confirm and clarify abnormalities that are poorly defined on echocardiography. In developed countries,cardiac CT is a routine examination for the diagnosis of congenital heart disease. In Côte d'Ivoire, its practice is recent. Materials and Methods. This was a retrospective descriptive study over a period of 2 months which included all children received at the Rosette clinic for a cardiac scan indicated for the evaluation of congenital heart disease. The examinations were performed under light sedation for children under 7 years of age. Results. Twenty paediatric cardiac scans were performed. The indications for the paediatric cardiac scans were tetralogy of Fallot (15 cases), pulmonary atresia with ventricular septal defect (PAVSD) (2 cases), atrial septal defect (ASD) (1 case), ASD associated with ventricular septal defect (VSD) (1 case) and supravalvular pulmonary stenosis (1 case). In cases of Tetralogy of Fallot and APSO, pulmonary arteries and aorto-pulmonary collaterals were visualised and measured. For the assessment of ASD, an anomalous pulmonary venous return not visualised on echocardiography was found on cardiac computed tomography (CT). In all cases, a malformative CT scan was performed: search for coronary, aortic arch. After the cardiac, 5 children underwent surgical treatment. There was concordance between the intraoperative and CT diagnoses. Conclusion. In our experience, cardiac CT now represents, minimally invasive, complementary diagnostic tool for the evaluation of congenital heart disease.


Subject(s)
Humans , Heart Defects, Congenital
2.
Health sci. dis ; 24(2): 31-36, 2023. figures, tables
Article in French | AIM | ID: biblio-1413940

ABSTRACT

Objectif. Décrire les caractéristiques de la prise en charge des myomes utérins dans une unité d'IRM multimodale en Afrique subsaharienne. Matériels et méthodes. Étude transversale descriptive rétrospective, d'une durée de 08 mois, réalisée au service d'imagerie médicale de l'hôpital mère enfant de Bingerville. Nous avons inclus les patientes dont le motif et ou les résultats des examens faisaient mention de myomes utérins. Les paramètres étudiés étaient l'âge des patientes, le motif d'examen et les résultats de l'examen d'IRM. Résultats. Nous avons recruté 103 patientes. Leur âge moyen était de 40 ans. Dans 95,1% des cas, les indications portaient sur la cartographie et l'exploration des myomes utérins déjà connus. Les myomes étaient de découverte fortuite dans 5% des cas. Les myomes étaient uniques dans 9% et en nombre supérieur à 5 dans 61% des cas. Ils étaient majoritairement hyalins, en isosignal homogène T1 FSE (86%), en hyposignal homogène T2 PROPELLER et diffusion (97%) avec rehaussement homogène (85%). Il y avait des complications dégénératives dans 12% des cas et mécaniques dans 3% des cas. Elles étaient corrélées à un nombre de myomes supérieur à 5 (p=0,05), mais pas à la taille des myomes ni à l'âge des patientes. Les pathologies pelviennes associées (53%) étaient : lésions ovariennes non tumorales (45%), adénomyose (30%) et cancer du col utérin (25%). Conclusion. À Abidjan, les myomes utérins sont une pathologie de la femme en activité génitale, en période préménopausique. L'IRM est utilisée quasi exclusivement en seconde intention après l'échographie pour la cartographie préopératoire ou pré embolisation. La découverte de pathologies associées dont le cancer du col, devrait faire préférer l'IRM pour toute exploration diagnostique et pré thérapeutique


Objective. To describe the characteristics of the management of uterine myomas in a multimodal MRI unit of Sub-Saharan Africa. Methods. This was a cross sectional retrospective descriptive study of eight months duration that was carried out in the medical imaging department of the mother and child hospital in Bingerville. The patients whose indications and/or results of the MRI mentioned uterine myomas were included. The parameters studied were the age of the patients, the reason and the results of the MRI examination. Results. We studied 103 patients. Their average age was 40 years. In 95.1% of the cases, the indications were for mapping and exploring already known uterine myomas. Incidental myomas accounted for 5%. The myomas were unique in 9% and more than 5 in 61%. They were mostly hyaline, in homogeneous T1 FSE isosignal (86%), in homogeneous T2 PROPELLER and diffusion hyposignal (97%) with homogeneous enhancement (85%). Degenerative complications were noted in 12% and mechanical complications in 3%. They were correlated with a number of myomas greater than 5 (p=0.05) but not with size of myomas or age of patients. Associated pelvic diseases (53,4%) were mainly non tumoral ovarian lesions (45%), adenomyosis (30%) and cervical cancer (25%). Conclusion. In our setting, uterine myomas affect mainly the genitally active woman in the premenopausal period. MRI is used almost exclusively as a second line after ultrasound, for preoperative or preembolization mapping. The discovery of associated pathologies, including cervical cancer, should make MRI preferable for all diagnostic and pre-therapeutic exploration.


Subject(s)
Magnetic Resonance Imaging , Myoma , Diagnosis
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