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1.
Ann. afr. méd. (En ligne) ; 16(2): 5099-5103, 2023. figures, tables
Article in French | AIM | ID: biblio-1425959

ABSTRACT

Contexte et objectifs. La sonde double J est très utilisée de nos jours dans le drainage des urines du haut appareil. L'objectif de la présente étude était de décrire le devenir de la pose de la sonde double J. Méthodes. Il s'est agi d'une étude documentaire d'une série des cas ayant bénéficié d'un drainage urinaire du haut appareil par une sonde double J au Centre National Hospitalo-Universitaire Hubert Koutoukou Maga de Cotonou, Bénin ; entre les 1er avril 2018 et 31 mars 2021. Résultats. Les dossiers de cent trois patients (âge moyen 48,4 ans, sexe masculin, 58,3 %) ont été colligés. La pose de la sonde double J représentait 84,74 %. La pose de la sonde double J était unilatérale dans 76,7 % des cas avec une prédominance à droite (56,0 %). L'abord par voie endoscopique pour la pose de la sonde double J était la plus pratiquée (89,3 %). La pose de la sonde double J a été effectuée sans guidage fluoroscopique (à l'aveugle) dans 73,7 % et la durée moyenne du port de cette sonde était 118,37 jours. La fonction rénale était perturbée avec un débit de filtration glomérulaire < 60 ml/minute/1,75 m2 chez 33,0 % des patients. Les étiologies à la base d'une obstruction étaient dominées par la pathologie lithiasique (63,1 %). Le taux de réussite de la sonde double J était de 77,6 %. Les échecs de la sonde double J étaient dus aux pathologies tumorales dans 15,53 %. La durée moyenne d'hospitalisation après la pose de la sonde double J par voie endoscopique était de 7,72 jours. Conclusion. Le syndrome obstructif surtout d'origine lithiasique reste la plus importante indication de l'usage de la sonde double J. Sa réalisation sans guidage fluoroscopique (à l'aveugle) est possible dans le milieu ne disposant pas d'amplificateur de brillance.


Subject(s)
Humans , Urology , Andrology , Endoscopy , Nephrology Nursing , Anti-Infective Agents, Urinary
2.
Med. Afr. noire (En ligne) ; 21(1): 18-24, 2006. tab
Article in French | AIM | ID: biblio-1265890

ABSTRACT

Pour la prise en charge des infections urinaires et la cystite, les plantes médicinales constituent une source de nouvelles molécules à activité antimicrobienne économiquement accessibles pour faire face à l'apparition de phénomènes de résistance des germes aux antibiotiques. Les infections urinaires et la cystite sont très répandues et constituent une préoccupation importante de santé publique dans les pays en développement: Environ 50% des femmes développent au moins une fois une infection symptomatique des voies urinaires dans leur vie. L'infection urinaire est, par ordre de fréquence, la première des maladies infectieuses non épidémiques. Le but de notre étude est de trouver dans la pharmacopée malienne des plantes dotées de propriétés antibactériennes et antalgiques. Cinq recettes et leurs plantes utilisées en médecine traditionnelle pour la prise en charge des infections urinaires et de la cystite ont été sélectionnées, sur la base de résultats d'enquêtes ethnobotaniques. Des extraits des recettes et leurs plantes ont été testés pour leur activité antibactérienne sur des germes responsables des infections urinaires et de la cystite. Les extraits des recettes contenant Stylosanthes erecta P. Beauv (Fabaceae) ont démontré une activité antibactérienne contre les souches cliniques de Escherichia coli, responsable de 75 à 80 % des infections urinaires. Les mêmes extraits ont démontré une activité antalgique contre la douleur provoquée par l'acide acétique chez les souris. Les propriétés antibactériennes et antalgiques peuvent être bénéfiques dans la prise en charge des infections urinaires et de la cystite


Subject(s)
Anti-Infective Agents, Urinary , Cystitis , Hibiscus , Mali , Plants, Medicinal , Urinary Tract Infections
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