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1.
Article in English | AIM | ID: biblio-1258686

ABSTRACT

Introduction:This study describes the demographics, aetiology, emergency centre diagnosis and severity indicators of patients with head injuries presenting to the largest referral hospital emergency centre in Botswana.Methods:Cross-sectional retrospective data was collected from July 2015 to September 2015 for all emergency centre head injury presentations at Princess Marina Hospital. Information was extracted from emergency centre records regarding patient demographics, mechanism of injury, clinical observations, diagnosis, and treatment.Results:Three-hundred and sixty head injury patients presented to the emergency centre in the three months, averaging four per day. 80% were less than 40 years of age and males accounted for 69% of all presentations. 58% of injuries were listed as being accidental, 39% recorded from assaults and 38% from road traffic accidents. The most common emergency centre clinical diagnosis was concussion and the most common radiological diagnosis skull fracture. The median Glasgow Coma Scale was 15 with a range from 3 to 15; and, among patients for whom Revised Trauma Score could be calculated, 79% scored the lowest probability of death in the Revised Trauma Score.Discussion:Head injury disproportionately overburdened males in this study, and head injury aetiology and demographic picture was similar to regional data. Severity scoring using the Glasgow Coma Scale was only available among 66% of patients and Revised Trauma Score calculable in half of presentations. Only 55% of head injury patients were discharged from the emergency centre, despite the preponderance of low severity scores. Head CTs appear to have been over-utilised and implementation of a Traumatic Head CT guideline for our setting is proposed. This study improves understanding of the burden of head injury in Botswana and advocates for national referral guidelines for patients with head injury in Botswana


Subject(s)
Botswana , Craniocerebral Trauma/diagnosis , Craniocerebral Trauma/epidemiology , Craniocerebral Trauma/etiology , Emergency Service, Hospital , Head Injuries, Closed , Head Injuries, Penetrating , Head Injuries, Penetrating/etiology
2.
Health sci. dis ; 19(2): 123-126, 2018. tab
Article in French | AIM | ID: biblio-1262795

ABSTRACT

Introduction. Le but de cette étude était d'évaluer les conditions de prise en charge des traumatismes crâniens de l'enfant au Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Brazzaville. Méthodologie. Nous avons revu les dossiers des enfants âgés d'un mois à 17 ans, hospitalisés dans le service de chirurgie polyvalente du CHU de Brazzaville entre janvier 2014 et décembre 2015, et avons retenu ceux qui l'étaient pour un traumatisme crânien. Les paramètres épidémiologiques, diagnostiques, thérapeutiques et évolutifs ont été analysés. Résultats. sur 66 enfant hospitalisés, 48 (72,72%) ont été admis pour un traumatisme crânien et parmi eux 45 (68,18%) enfants ont été inclus dont 33 garçons et 12 filles. Leur âge moyen était de 9,73 ans. Le traumatisme était consécutif à un accident de la voie publique dans 36 cas (80%), à une chute dans 6 cas (13,33%), et à une agression dans 3 cas (6,66%). Le score de Glasgow était inférieur ou égal à huit dans 12 cas (26,66%), compris entre 9 et 12 dans 25 cas (55,55%) et entre 13 et 15 dans 8 cas (17,77%). Le scanner crânio-encéphalique était réalisé en moyenne quatre jours après le traumatisme. Quatre enfants (8,88%) ont été opérés. L'évolution après 12 mois était favorable pour 26 enfants (78,79%) et 12 enfants ont été perdus de vue. Conclusion. la fréquence élevée des traumatismes crâniens chez l'enfant est liée aux accidents de la voie publique. Une prise en charge adéquate nécessite la disponibilité d'un scanner cranioencéphalique en urgence. Nous préconisons un renforcement de l'éducation et la communication s'agissant les accidents de la voie publique et la facilitation de l'accès à l'imagerie


Subject(s)
Academic Medical Centers , Child , Congo , Craniocerebral Trauma/diagnosis , Craniocerebral Trauma/epidemiology , Disease Management
3.
Med. Afr. noire (En ligne) ; 64(12): 607-612, 2017. tab
Article in French | AIM | ID: biblio-1266272

ABSTRACT

Introduction : Les traumatismes crânio-encéphaliques représentent une des principales causes de mortalité dans le monde. L'étude de leur épidémiologie permet d'identifier les facteurs de risque pour mieux cibler les actions de prévention. Patients et méthodes : Il s'agissait d'une étude rétrospective descriptive réalisée au service de réanimation polyvalente du CHU de Bouaké de janvier 2013 à décembre 2014. Elle concernait les patients admis en réanimation pour un traumatisme crânio-encéphalique avec un score de Glasgow inférieur à 14. Les paramètres étudiés étaient : le sexe, l'âge, la profession, les circonstances de survenue les modalités de transport, le délai d'admission à l'hôpital et la durée d'hospitalisation. Résultats : Au total 1244 patients ont été hospitalisés durant la période d'étude, dont 92 pour un traumatisme crânio-encéphalique, soit une prévalence hospitalière de 7,39%. Il y avait 86 hommes et 6 femmes. L'âge moyen était de 32,6 ans ± 17,03 (extrêmes 2 à 76 ans). Les conducteurs de mototaxi et les élèves étaient concernés dans respectivement 49% et 24% des cas. Les étiologies étaient dominées par les accidents de la voie publique (87%) qui impliquaient les engins à deux roues motorisés dans 40% des cas. Le transfert des patients a été effectuée par le groupement des sapeurs-pompiers militaires dans 48,9% des cas. L'admission des patients s'est faite dans 61% des cas avant la 6e heure suivant le traumatisme et le délai moyen d'admission était de 3 heures. La durée moyenne de séjour était de 4,37 ± 4,23 jours (extrêmes 1 à 21 jours). La mortalité globale était de 66%. Conclusion : Les traumatismes crânio-encéphaliques sont fréquents à Bouaké et font suite à un accident de la voie publique impliquant un engin motorisé à deux roues dans la majorité des cas. La prévention repose sur la sensibilisation au respect du code de la route


Subject(s)
Cote d'Ivoire , Craniocerebral Trauma/epidemiology , Craniocerebral Trauma/prevention & control , Emergency Medical Services , Risk Factors
4.
Med. Afr. noire (En ligne) ; 69(04): 423-429, 2017.
Article in French | AIM | ID: biblio-1266351

ABSTRACT

Le 2 août 2014, la loi sur le port obligatoire du casque pour les motocyclistes est entrée en application dans sa phase répressive à Cotonou. Ce travail a pour but d'évaluer l'impact de cette loi sur la fréquence, la morbidité, la mortalité et le coût de la prise en charge des Traumatisés Crânio-Encéphaliques au Centre National Hospitalier Universitaire Hubert Koutoukou Maga (CNHU/HKM) de Cotonou.Une étude prospective sur les facteurs socioéconomiques des TCE avait été initiée du 1er au 31 décembre 2014. C'est durant cette enquête, que la loi sur le port obligatoire du casque par les motocyclistes est entrée en application dans sa phase répressive. Nous avons déduit de cette enquête cette étude comparative, entre le 1er janvier et le 31 juillet 2014 puis entre le 2 août 2014 et le 31 décembre 2014. Parmi les 461 cas d'accidents de la voie publique, 347 (75,27%) étaient des accidents de moto dont 283 (81,55%) touchaient des conducteurs et 63 (18,15%) des passagers. La fréquence du port du casque, parmi les victimes de Traumatismes Crâniens Encéphaliques (TCE), a significativement augmenté de 2,3% à 34,5%. Après l'entrée en vigueur de la loi, On a observé une diminution de la fréquence des TCE de 55,54% mais la fréquence de la gravité et de la mortalité était comparable.Les accidents de moto étaient la cause majeure des TCE admis aux CNHU/HKM. La loi sur le port du casque par les motocyclistes a permis de réduire de façon significative la fréquence des TCE. Mais l'impact sur la mortalité des TCE reste faible


Subject(s)
Benin , Craniocerebral Trauma/epidemiology , Craniocerebral Trauma/prevention & control , Head Protective Devices , Law Enforcement
5.
Niger. j. clin. pract. (Online) ; 16(1): 19-22, 2013. tab
Article in English | AIM | ID: biblio-1267079

ABSTRACT

Background: Head injuries rank high among morbidities due to trauma. Computerised tomography is an important modality in the investigation of these cases. However; literature on this subject in the south-south geopolitical zone of Nigeria is sparse. This study therefore aimed to document the computerized tomographic features of patients with head injury managed at the University of Benin Teaching Hospital (UBTH). Materials and Methods: A prospective study involving patients with head injury referred for CT scan from the Accident and Emergency Unit of UBTH over a 12-month period. A total of 100 patients were studied; using non-enhanced cranial CT scans. Findings were recorded and data analysis using SPSS done. Results: The age group 21-30 years was most frequently involved. Sex preponderance was 4.3:1 (male: female). Twenty-six patients had normal CT scans. The most common abnormal finding was intracerebral hemorrhage 35 cases (33). This was followed by skull fractures; 23 cases (31); subdural hemorrhage; 16 cases (21); cerebral edema; 11 cases (15). Others included mass effect; nine cases (12). Conclusion: CT plays a very significant role in management of head injuries; as demonstrated in this study; by making such diagnoses that guided eventual patient management. Intracerebral hemorrhage was the most common abnormal finding in this report. Regular use of CT in moderate to severe cases of head injury is advocated


Subject(s)
Adult , Craniocerebral Trauma/epidemiology , Craniocerebral Trauma/radiotherapy , Hospitals, University , Nigeria , Tomography, X-Ray Computed , Trauma Severity Indices
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