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1.
Sciences de la santé ; 5(1): 49-53, 2017. ilus
Article in French | AIM | ID: biblio-1271923

ABSTRACT

Objectif : Cette étude a été réalisée pour décrire les caractéristiques épidémiologiques, cliniques et évolutives des toxidermies bulleuses chez les patients suite à une automédication.Matériel et méthodes : Il s'agissait d'une étude transversale rétrospective à visée descriptive. Elle s'est déroulée du 01 septembre 2004 au 31 Août 2014 au centre de dermatologie du CHU de Treichville (Côte d'ivoire). Ont été inclus tous les patients ayant eu une toxidermie bulleuse suite à une automédication et hospitalisés pendant la période d'étude. Résultats : Pendant 10 ans nous avons recensé 191 cas de toxidermies bulleuses hospitalisés en dermatologie du CHU de Treichville. Quatre-vingt-quatre patients ont eu recours à une automédication soit 44,0%. La moyenne d'âge de ces patients était de 29,22 ans avec des extrêmes de 2 et 69 ans. Il y avait une prédominance féminine avec 56 patientes (66,7%). Le syndrome de Stevens Johnson avec 58 cas représentait 69,0 % des toxidermies suivi du syndrome de Lyell avec 23 cas (27,4%). La sulfadoxine pyrimethamine a été le médicament le plus incriminé avec 16 cas (19,1%) suivi du cotrimoxazole avec 15 cas (17,9%). Le taux de décès était de 22,6% (19 patients) dont 13 cas (68,42%) de syndrome de Lyell et 6 cas (31,58%) de syndrome Stevens Johnson. Conclusion : L'automédication est une pratique qui augmente l'incidence des toxidermies à Abidjan


Subject(s)
Cote d'Ivoire , Drug Eruptions/complications , Drug Eruptions/diagnosis , Drug Eruptions/epidemiology , Self Medication
2.
The Nigerian Health Journal ; 14(3): 59-63, 2014.
Article in English | AIM | ID: biblio-1272868

ABSTRACT

BACKGROUND.Fixed drug eruptions are adverse cutaneous reactions to ingested drugs; characterized by the formation of solitary or multiple erythematous patches; plaques; bullae or erosions that reoccur at an identical skin site within hours of re ingestion of the offending drug. The objective of this study was to describe the epidemiology of Fixed drug eruptions with the identification of common causative drugs among patients at the dermatology clinic of an urban tertiary hospital in the South-south region of Nigeria.METHODS.All consecutive patients with a diagnosis of fixed drug eruptions seen at the dermatology clinic from January 2005 to January 2013 were included in the study. The diagnosis of fixed drug eruptions was made based on clinical findings of lesion (s) of the same form occurring twice or more at the same sites as a result of a re-administration of a causative drug; and confirmation by a challenge test. RESULTS.The diagnosis of fixed drug eruption was made in 99 out of 5106 (1.93%) patients; with a slight female dominance. FDE affected all age groups; the youngest presented at 9 months of age and the oldest at 86 years. Majority of patients (66.7%) did not know the offending drug.The most implicated drugs were the sulphonamides (21.2%); followed by antibiotics made up of ampiclox; tetracycline and penicillin (4.04%) and Non-steroidal anti-inflammatory drugs (3.03%). The commonest site of presentation was the face (32%); especially the mucosa of the mouth; followed by generalized presentation (28%).The frequency of Lower limb presentation was (13%); and followed by the upper limb (11%) and the trunk (7.1%).CONCLUSION.Fixed drug eruptions are a cause for great concern to the patient. Consistent with some other studies sulphonamides; clotrimoxazole and fansidar were the most implicated drugs


Subject(s)
Drug Eruptions/diagnosis , Drug Eruptions/epidemiology , Urban Population
4.
Rev. int. sci. méd. (Abidj.) ; 15(3): 217-221, 2013.
Article in French | AIM | ID: biblio-1269129

ABSTRACT

Introduction et objectif. L'avenement des antiretroviraux (ARV) a permis de reduire le taux de mortalite lie aux VIH/SIDA. Cependant; ces molecules utilisees seules ou associees au cotrimoxazole (CTX); sont responsables de nombreux effets secondaires dont les toxidermies. L'objectif de cette etude etait de demontrer la gravite de ces toxidermies en vue d'elaborer des mesures de preventions adequates. Patients et methode. Nous avions initie une etude transversale unicentrique sur une duree de trois ans (2006 a 2008) au centre de dermatologie du CHU de Treichville-Abidjan. Resultats. Durant cette periode 43 cas de toxidermies bulleuses avaient ete hospitalises; dont 16 cas de syndrome de Lyell (32;2); 21 cas de syndromes de Stevens Johnson (48;8) et 06 cas d'ectodermes pluriorificiel (19;0). Les principales molecules incriminees dans ces accidents cutanees graves etaient la nevirapine dans 33 cas (76;7); le CTX dans 08 cas (18) et l' efavirenz dans 02 cas (04;7). Ces accidents cutanes survenaient precocement en moyenne 13;8 jours. Discussion et conclusion. La prise en charge des sujets vivant avec le VIH sous ARV et/ou sous CTX doit se faire dans un cadre multidisciplinaire. Le prise en charge des cas de toxidermie liees a ces molecules; doit etre precoce; afin de reduire le caractere gravissime et le taux de mortalite du a ces accidents cutanes


Subject(s)
Case Reports , Drug Eruptions , Trimethoprim, Sulfamethoxazole Drug Combination
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