Caractéristiques de l'automédication en ORL à l'Hôpital d'Instruction des Armées-Cotonou au Bénin / Characteristics of self-medication in ENT at Military Teaching Hospital Cotonou in Benin

Etudier l'ampleur et les caractéristiques de l'automédication en consultation ORL. Méthode: Etude descriptive du 1er juin 2020 au 1er février 2021 dans le service d'ORL-CCF/ Hôpital d'Instruction des Armées. Ont été inclus tous les patients reçus en consultation ORL ayant déclaré avoir utilisé des substances actives sans prescription médicale pour soulager leur plainte actuelle. 6 Résultats: L'automédication a été retrouvée chez 373 patients soit une prévalence de 47,88%. La moyenne d'âge était 32,26 ans (02 mois et 80 ans). Les sujets âgés 0 à 20 étaient plus représenté (68,4%). La sex-ratio était de 0,86. Les professions libérales étaient plus représentées (30%). La quasi-totalité des patients (98%) a pu énumérer au moins deux effets nocifs de l'automédication. Les médicaments en cause étaient les médicament en vente libre OTC (80%). Les principales raisons ayant motivé l'automédication ont été le coût élevé des prestations médicales (41,3%) et le manque de temps (33,2%). Conclusion: L'automédication a été retrouvée chez des patients volontiers jeunes, de sexe féminin, porteurs d'affections rhinologiques. Les OTC étaient en cause dans huit cas sur dix. Les principales motivations à l'automédication ont été le coût élevé des prestations médicales et le manque de temps.

Caractéristiques de l'automédication en ORL à l'Hôpital d'Instruction des Armées-Cotonou au Bénin / Characteristics of self-medication in ENT at Military Teaching Hospital Cotonou in Benin

Etudier l'ampleur et les caractéristiques de l'automédication en consultation ORL. Méthode: Etude descriptive du 1er juin 2020 au 1er février 2021 dans le service d'ORL-CCF/ Hôpital d'Instruction des Armées. Ont été inclus tous les patients reçus en consultation ORL ayant déclaré avoir utilisé des substances actives sans prescription médicale pour soulager leur plainte actuelle. 6 Résultats: L'automédication a été retrouvée chez 373 patients soit une prévalence de 47,88%. La moyenne d'âge était 32,26 ans (02 mois et 80 ans). Les sujets âgés 0 à 20 étaient plus représenté (68,4%). La sex-ratio était de 0,86. Les professions libérales étaient plus représentées (30%). La quasi-totalité des patients (98%) a pu énumérer au moins deux effets nocifs de l'automédication. Les médicaments en cause étaient les médicament en vente libre OTC (80%). Les principales raisons ayant motivé l'automédication ont été le coût élevé des prestations médicales (41,3%) et le manque de temps (33,2%). Conclusion: L'automédication a été retrouvée chez des patients volontiers jeunes, de sexe féminin, porteurs d'affections rhinologiques. Les OTC étaient en cause dans huit cas sur dix. Les principales motivations à l'automédication ont été le coût élevé des prestations médicales et le manque de temps

Topical ear drop self-medication practice among the ear, nose, and throat patients in Ido Ekiti, Nigeria: A cross - sectional study

Background: Self-medication is a common habit in our country; Nigeria, especially among patients with otorhinolaryngological disorders. Medication when taken wrongly may bring dire consequences to the individual, such as masking developing diseases and may cause many other undesirable effects. The aim of this study was to determine the prevalence and to analyze topical ear drop self-medication practices among respondents attending the Ear, Nose, and Throat Clinic of Federal Teaching Hospital Ido Ekiti, Nigeria. Design and Methodology: A 6-month hospital based cross-sectional study was conducted among patients who were seen in the Ear, Nose, and Throat facility of Federal Teaching Hospital, Ido Ekiti from July to December 2016 to determine topical ear drop self-medication practices. A pretested semi-structured questionnaire was used to obtained information from respondents. Results: A total of 162 respondents out of 493 patients seen during the study had otological problems. Of which 107 (66%) respondents had engaged in self-medication with topical ear drops. Their ages ranged between 2 and 83 years with a mean age of 36.6 ± 19.1 years. There were 75 males and 87 females. The major reason for self-medication was that their ailments were minor in about 40.2% and the most common indication for self-medication was ear blockage with hearing impairment (33.6%). Pharmacy/chemist shops (42%) were major sources of information for those that self-medicated.Chloramphenicol and gentamycin were the major drugs that were used by the respondents. Conclusion: Majority of the respondents in this study practiced self-medication using different topical ear drops. Major source of information on the topical ear drops used was from pharmacy/chemist shops. There is a need for adequate public health education to create awareness among people on the danger of self-medication and to enact or enforce the law to reduce access to over the counter drugs. Healthcare should be made available and avoidable at primary health-care level

Self-ear cleaning practices and the associated risk of ear injuries and ear-related symptoms in a group of university students

Self-ear cleaning is the insertion of objects into the ear canal to clean it, a widespread practice that has the potential to compromise its integrity as a natural, selfcleansing mechanism, and a risk factor for possible injuries. The practice is common among young adults and highest in university than any other graduates. This study aimed to determine the self-ear cleaning practices and associated risk of injury and related symptoms in undergraduate students at KwaZulu-Natal University. The descriptive survey utilized a self-administered questionnaire. Of the 206 participants that responded, 98% engaged in self-ear cleaning, with 75% indicating that it was beneficial. The commonest method (79.6%) being the use of cotton buds, with an associated injury rate of 2.4%. There was no statistically significant associations between those who used or did not use cotton buds and the symptoms experienced. The complications indicate that self-ear cleaning does pose a risk for injury, necessitating more community information and education

Traumatismes ORL et violences conjugales

Les traumatismes de la sphère ORL peuvent être rencontrés au cours des violences conjugales. Ce sont des agressions fréquentes survenant le plus souvent chez la femme, dans les foyers conjugaux. Le but de cette étude, était d'identifier les lésions Otorhinolaryngologiques survenant au cours de ces violencess.Matériel et méthodes :Il s'est agi d'une étude multicentrique, rétrospective et transversale réalisée entre le 1 er Novembre 2007et le 30 octobre 2015 soit 8 ans, dans les services d'ORL du Centre Hospitalier Universitaire(CHU) de Brazzaville, de l'hôpital Adolphe Sice de pointe noire et l'hôpital de Loandjili. Nous avons colligés 48 dossiers de patients victimes de ces traumatismes. Les données ont été recueillies sur les dossiers d'observations médicales, les registres d'hospitalisation, et sur les registres de protocoles opératoires.Résultats :Durant la période d'étude, nous avons enregistré 3000 consultations dans les services, avec 500 cas de traumatismes. Parmi ces traumatismes, nous avons noté 48 agressions dans un contexte de rixe conjugale.L'âge moyen était de 35 ans avec des extrêmes de 18 à 51 ans. Le mode d'agression par gifles a été retrouvé dans 50%(n=24). L'organe le plus atteint était l'oreille dans 50%(n=24). La perforation tympanique et l'hémotympan était les lésions les plus retrouvées dans respectivement 25% des cas (n=12) et 17% des cas (n=8)Le statut de fumeur et d'alcoolique était retrouvé chez le conjoint dans 42% des cas (n=20), tandis que dans 13% des cas (n=6), le statut était normal. Les conséquences de ces traumatismes ont été esthétiques dans 13% des cas (n=6) notamment des amputations de l'auricule, une surdité par perforation dans 4 cas (soit 8%) et des séquelles psychosociales dans 6 cas (13%).Conclusion :Le couple traumatisme ORL et violence conjugale est un véritable phénomène de société. La gifle est le mode d'agression le plus retrouvé, l'oreille est l'organe le plus atteint et les conséquences physiques et psychoaffectives sont importantes

Le rhabdomyosarcome de l'oreille chez l'enfant. Etude d'une observation

Nous rapportons un cas de rhabdomyosarcome de l'oreille localement étendu diagnostiqué chez un enfant de 5 ans. Le retard diagnostique observé peut s'expliquer par le caractère aspécifique de la symptomatologie avec une localisation qui simule au début une otite moyenne chronique. A la lumière de cette observation et au regard d'une revue de la littérature, nous soulignons l'intérêt du diagnostic précoce afin d'améliorer le pronostic de cette pathologie

Ear; Nose; and Throat Foreign Bodies in a Tertiary Health Institution in Sokoto; Nigeria

Background: Otorhinolaryngeal foreign bodies are common in ear; nose; and throat (ENT) practice. The objective of this study is to determine the pattern of otorhinolaryngeal foreign bodies in a Tertiary Health Institution in Sokoto; North-Western Nigeria. Materials and Methods: This is a 2 year retrospective study using the records of all cases of ENT foreign bodies at Usmanu Danfodiyo University Teaching Hospital; Sokoto; from January 2009 to December 2010. Data analysis was carried out using the SPSS for windows version 13.0. Results: A total of 90 cases were analysed. Ear foreign bodies 48 (53.3) were commonest; followed by nasal foreign bodies 16 (17.8); bronchial foreign bodies 15 (16.7); and esophageal foreign bodies 11 (12.2). Age range was 9 months to 64 years. High frequency of the foreign bodies was noted in the younger age group. The foreign bodies varied according to the site with plant seed being more common in the ear and the nose while meat bolus is more common in the esophagus. Bronchial foreign bodies were seen exclusively in children less than 14 years old with beads and valve of plastic toys being the most common. Conclusion: Otorhinolaryngeal foreign bodies remain frequent occurrence particularly in the younger age group 9 years old or less and high index of suspicion suggested and early intervention to prevent the morbidity and mortality from complications

A survey of facial nerve dessection techniques in benign parotid surgery among maxillofacial and ear, nose, and throat surgeons in Nigeria

Objective: The aim of the present study is to identify the facial nerve dissection technique routinely used during parotidectomy for benign parotid tumors by Nigerian Oral and Maxillofacial (OMF) and Ear; Nose; and Throat (ENT) Surgeons. Materials and Methods: A questionnaire-based study was conducted among Oral and Maxillofacial and Ear; Nose; and Throat Surgeons in Nigeria; on their experience with antegrade and retrograde facial nerve dissection techniques in parotid surgery. The respondents were asked to indicate their choice of dissection techniques in revision parotidectomy; limited superficial parotidectomy; and in obese patients with large tumors. They were also asked to indicate if they routinely used perioperative facial nerve monitoring devices in parotid surgery for benign tumors. Result: About half (47.5) of them routinely used the antegrade technique; while only a few (12.5) used the retrograde technique. A large number of them (40); however; used a combination of antegrade and retrograde routinely. Technical ease was the main reason for the choice of technique. The antegrade technique was the technique of choice by most respondents for revision parotidectomy (60) and limited superficial parotidectomy (62). However; the retrograde approach was the technique of choice by most of them (47) in case of parotidectomy in obese patients with large tumors. The routine use of perioperative facial nerve monitoring devices is an uncommon practice among OMF and ENT surgeons in Nigeria. Conclusions: The antegrade approach for facial nerve dissection is the most common technique used in parotid surgery by Nigerian OMF and ENT surgeons. Nigerian surgeons need to consider the retrograde approach in selected cases of parotid surgery especially for localized tumors that are amenable to limited superficial parotidectomy. Inclusion of perioperative facial nerve monitoring devices is also advocated

Ear Foreign Bodies: Observations on the Clinical Profile in Sokoto; Nigeria

Background/objectives: Ear foreign bodies are common otorhinolaryngological emergencies which must be removed otherwise they may present with various complications. This paper reviews cases of ear foreign bodies seen over a seven year period from January 1995 to December 2001 in the Ear; Nose and Throat (ENT) department of Usmanu Danfodiyo University Teaching Hospital Sokoto; Nigeria. Method: This is a retrospective study of all case folders of patients who presented with ear foreign bodies whose clinical features and management modalities were analyzed . Results: The total number of patients reviewed were 207.There were 126 males (60) and 81 females (40) with a male to female ratio of 1.5:1. Their ages ranged from 1 to 65 years with 61.8being children under 10 years old. Agricultural seed was the commonest documented foreign body (15). Deliberate insertion by patients accounted for 70of the cases while accidental insertion accounted for 30. Ear foreign bodies became complicated in 41 patients (19.8) at presentation one of them requiring a major surgical operation (posterior tympanotomy) to remove the foreign body. About 99.5of the foreign bodies were removed through the per meatal approach with 79.8being carried out by the nurses and doctors who had received basic training to do so. Conclusion: Ear foreign bodies may become complicated and so needs to be removed using standard methods which should be carried out by those specially trained to do so

Ear Foreign Bodies: : Observations on the Clinical Profile in Sokoto; Nigeria

Background/objectives: Ear foreign bodies are common otorhinolaryngological emergencies which must be removed otherwise they may present with various complications. This paper reviews cases of ear foreign bodies seen over a seven year period from January 1995 to December 2001 in the Ear; Nose and Throat (ENT) department of Usmanu Danfodiyo University Teaching Hospital Sokoto; Nigeria. Method: This is a retrospective study of all case folders of patients who presented with ear foreign bodies whose clinical features and management modalities were analyzed . Results: The total number of patients reviewed were 207.There were 126 males (60) and 81 females (40) with a male to female ratio of 1.5:1. Their ages ranged from 1 to 65 years with 61.8being children under 10 years old. Agricultural seed was the commonest documented foreign body (15). Deliberate insertion by patients accounted for 70of the cases while accidental insertion accounted for 30. Ear foreign bodies became complicated in 41 patients (19.8) at presentation one of them requiring a major surgical operation (posterior tympanotomy) to remove the foreign body. About 99.5of the foreign bodies were removed through the per meatal approach with 79.8being carried out by the nurses and doctors who had received basic training to do so. Conclusion: Ear foreign bodies may become complicated and so needs to be removed using standard methods which should be carried out by those specially trained to do so

Prise en charge des acouphènes à Abidjan

C'est une étude prospective sur la prise en charge de 100 patients reçus dans le service d'O.R.L. du C.H.U. de Cocody, et présentant des acouphènes. Les acouphènes sont relativement fréquents, avec une incidence de 80 nouveaux cas en consultation par an, soit une prévalence de 4%, avec légèrement plus de femmes que d'hommes et une prédominance d'adultes jeunes entre 21 et 40 ans de niveau socio-professionnel modeste. Les antécédents pathologiques sont surtout des affections rhinopharyngées et otologiques, mais aussi des pathologies générales. L'étiologie est souvent polymorphe et difficile à mettre en évidence. Dans 68% des cas, on note une prédominance des atteintes de l'oreille moyenne. L'audiométrie demandée dans 63% des cas, révèle 34% de surdité (perception, transmission ou mixte). Le traitement est étiologique mais le plus souvent, à défaut d'étiologie évidente, on se contente d'un traitement symptomatique vaso- régulateur. Le suivi post-thérapeutique est incertain, car la plupart des patients ne reviennent pas au contrôle

Les fractures du rocher au CHU de Yopougon-Abidjan

Les fractures du rocher constituent un grand groupe d'affections causees par les traumatismes craniens. Elles ont une facheuse reputation aupres du public. Elles touchent essentiellement les jeunes. Le diagnostic est radiologique (scanner). Le signe le plus rencontre est l'otorragie. La conception therapeutique actuelle de son traitement reclame une vision globale; de l'accident a la reinsertion sociale. Dans les pays developpes le pronostic est relativement bon. Dans nos contres; nous sollicitons participer a l'elaboration des donnees de cette facheuse affection en degageant le profil general des fractures du Rocher au CHU de Yopougon. Nos objectifs specifiques sont : - Preciser les caracteristiques epidemiologiques de l'affection; -Determiner les principaux aspects cliniques; -Recenser les differents types de fractures retrouves radiologiquement; -Determiner les principales therapeutiques adaptees a nos contrees. METHODOLOGIE : A travers une etude retrospective et descriptive sur une duree de 7 ans de janvier 1996 au mois de decembre 2002 au CHU de Yopougon; dans les services d'ORL et de neurochirurgie essentiellement. Nous avons recrute tous les malades qui avaient un cliche scannographique avec une solution de continuite du rocher. NOS RESULTATS sont les suivants : Sur le plan epidemiologique; la fracture du rocher est une affection frequente. Elle represente 8;05 pour cent de cas des traumatismes craniens avec une moyenne de 8 malades par an. L'age de la population est en moyenne de 24;43 ans. De plus 87;27 pour cent des patients qui ont moins de 40 ans. L 'etiologie est dans tous les cas un traumatisme cranien avec pour principale cause les accidents de la circulation qui representent 67;27 pour cent des cas de notre serie. La clinique est faite essentiellement de trouble de conscience a l'arrivee du malade aux urgences chirurgicales. Apres cette phase neurochirurgicale; la phase fonctionnelle est marquee par: L'otorragie; qui est le principal signe voire souvent le seul. L'otorragie est parfois associee a la rhinorragie et ou a l'otoliquorrhee. Enfin la phase sequellaire est faite de troubles de la marche; de l'equilibre et nerveux. Du point de vue radiologique; il s'agit dans 71;66 pour cent des cas d' une fracture longitudinale ou extra labyrintique. Les atteintes mixtes et transversales se partagent presque equitablement le reste de cas . La fracture est bilaterale dans 9;09 pour cent des cas. Nous n'avons pas retrouve une predominance d'atteinte selon le cote. Pour ce qui concerne la therapeutique et l'evolution; il s'agit d'une prise en charge uni disciplinaire par le service de neurochirurgie (83;64pour cent). Le moyen therapeutique est en majorite medical. Il est associe a la chirurgie dans 9;09 pour cent des cas. Le suivi des patients n'est pas satisfaisant. Parmi nos patients 65;45 pour cent des cas sont perdu de vue. L'evolution est defavorable dans 34;55 pour cent des cas. Les sequelles sont des troubles nerveux a type d'aphasie; de cephalees chroniques et d'hypoacousie. Notre travail nous emmene a suggerer les propositions suivantes: 1) Du point de vue de la sante publique et a l'endroit des administrateurs : -Un reel developpement des actions de sensibilisation pour ameliorer la conduite routiere par l'Office de Securite Routiere (O.S.E.R.); -Une multiplication des services d'evacuation medicalises afin de faire face a l'urgence et a la delicatesse des cas de nos patients. 2) Du point de vue therapeutique et de ltmyiication du personnel medical : -L'encouragement d'autres travaux de type prospectif sur ce sujet est indispensable pour comparer les donnees ci-dessus; -La collaboration interdisciplinaire entre I'ORL et la Neurochirurgie plus renforcee; -La formation des specialistes en oto neurochirurgie; -La meilleure sensibilisation des malades sur la necessite du suivi et sur les complications graves dus a cette affection

Anomalie de la transformation du premier arc Branchial en derives adultes chez trois nouveau nes

Trois cas de malformation congenitale observes chez des enfants nes dans le CSCOM de la commune V du district de Bamako. Il s'agit d'un cas de fissures palatines avec fissures labiales bilaterales associees a une agenesie auriculaire bilaterale; un cas de fissure palatine avec fissure labiale unilaterale; un cas d'agenesie auriculaire isolee