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1.
Sahel medical journal (Print) ; 23(2): 99-102, 2020. tab
Article in English | AIM | ID: biblio-1271716

ABSTRACT

Background: Surgeons sometimes perform appendectomies during abdominopelvic surgeries for surgical conditions unrelated to the appendix. A retrospective study of the histopathological diagnoses of incidental appendectomy specimens was performed to see the value of this practice. Materials and Methods: Records of incidentally resected appendices submitted to the Histopathology Department of the University of Benin Teaching Hospital from January 2005 to December 2014 were reviewed retrospectively. Results: A total of 129 histopathological reports of incidental appendectomy were retrospectively reviewed; 67 (51.9%) of the patients were male and 62 (48.1%) were female, giving a male­female ratio of about 1.1:1. Fifty­four cases (41.9%) had histologically normal appendices, while 75 cases (58.1%) had various histopathologically demonstrable lesions ranging from acute appendicitis (the most frequent with 27%) to neoplasia (one case of mucinous adenocarcinoma). Conclusion: Significant pathology can be uncovered on histopathological examination of the clinically normal appendix. Incidental appendectomy is thus a useful procedure


Subject(s)
Appendectomy , Appendicitis , Appendix , Incidental Findings , Nigeria
2.
Med. Afr. noire (En ligne) ; 65(12): 607-620, 2018.
Article in French | AIM | ID: biblio-1266321

ABSTRACT

Objectif : Déterminer le taux de Transmission Mère-Enfant du VIH (TME), le suivi post-natal ainsi que les facteurs de risque de perdus de vue sous l'option B+.Patientes et méthodes :Etude prospective des accouchées séropositives au VIH suivies du 1er janvier 2013 au 31 décembre 2014 à l'HGR de la commune Kenya et du 1er janvier 2014 au 31 décembre 2014 à la maternité de l'Hôpital Général de Référence (HGR) de Kampemba. Ont été étudiés : les caractéristiques socio-démographiques des accouchées,les données cliniques, obstétricales et celles propres à la PTME, la TME, le suivi post-natal et facteurs de risque. L'analyse des données a été faite à l'aide du logiciel Epi info 7.0 ; les fréquences exprimées en pourcentage, le test de Fisher utilisé et le seuil significatif fixé à p < 0,05.Résultats : L'âge des accouchées était de 21 à 43 ans (âge moyen : 31 ans). Presque toutes nos patientes étaient en union conjugale, et au moins 76% d'entre elles avaient atteint 6 ans d'études primaires. Quatre-vingt-trois pour cent des femmes n'avaient aucune activité professionnelle spécifique et 72% se confessaient dans les églises de réveil. La parité variait entre 0 et 12 avec une moyenne de 4 ± 2 ; 61 des 86 gestantes (71%) étaient des multipares (parité > 2). L'âge gestationnel moyen était de 38,8 ± 1,0 SA. La quasi-totalité des accouchements (88 : 98,88%) se sont déroulés par voie naturelle. Des 90 naissances vivantes, 47 nouveau-nés étaient de sexe masculin (52,22%). Le poids de naissance variait entre 1400 et 4200 grammes (moyenne : 3174,57 ± 596,9 grammes). Vingt-huit accouchées étaient connues séropositives avant la grossesse (33,33%), pour 52 femmes, la découverte avait été enregistrée au cours de la grossesse (61,90%) et pour 5 autres lors de l'accouchement (5,95%). Parmi les accouchées, 27 (32,14%) étaient sous TAR à vie avant la grossesse, 53 (63,09%) ont été mises sous thérapie pendant la grossesse et 4 (4,76%) ont démarré la trithérapie à vie lors de l'accouchement. Le taux de CD4 variait entre 3 et 1109/mm3 avec un taux moyen de 429,88 ± 198/mm3. Vingt-six accouchées sur 76 (34,20%) avaient un taux de CD4 < 350/mm3. Soixante-huit nouveau-nés avaient bénéficié de l'allaitement maternel exclusif (83,95%) et 97,62% d'entre eux avaient reçu la névirapine pendant 6 semaines. Considéré à 9 mois et à 12 mois, par rapport aux nourrissons dépistés pour lesquels le statut immunologique a été précisé, le taux de TME serait de 4 nourrissons pour 55 (7,27%) et 4 sur 27 (14,81%) respectivement. Le moment de mise sous TAR maternel ne semble pas avoir influé sur la dynamique de rétention ou non des couples mère-enfant durant les 12 mois de suivi post-natal. Au bout de 12 mois du suivi post-natal, seuls 40 (47,62%) des 84 couples mère-enfant attendus avaient été retrouvés mais l'analyse factorielle en rapport avec les données socio-démographiques n'avait pas identifié formellement les facteurs pouvant expliquer la faible rétention observée dans cette étude à part l'éloignement vis-à-vis du site.Conclusion : Les défis à surmonter notamment dans le suivi post-natal sont le délai d'attente trop long des résultats PCR-DNA ainsi que le nombre élevé des perdues de vue


Subject(s)
Delivery, Obstetric , Democratic Republic of the Congo , Incidental Findings , Infant, Newborn , Infectious Disease Transmission, Vertical/prevention & control
3.
Article in French | AIM | ID: biblio-1263811

ABSTRACT

Introduction Les fractures malléolaires sont fréquentes. Leur traitement est dominé par plusieurs écueils dans les pays en développement. Le but de cette étude était évaluer les résultats des traitements réalisés.Matériel et méthodes Dans cette étude rétrospective 57 patients ont été traités pour des fractures malléolaires.L'âge moyen était de 37 ans. Il s'agissait de 44(77%) hommes et de 13 (23 %) femmes.Le traitement chirurgical (n=48 ; 84%) et orthopédique (n=9 ; 16%) et. Les résultats anatomiques ont été établis selon les critères Lecestre et Ramadier. Les résultats globaux ont été évalués selon les critères de Nordin au recul moyen de 24 mois.Résultats Les résultats anatomiques étaient bon (n=27 ; 47%), passable (n=26 ; 46%) mauvais (n=04 ; 7%). Les résultats globaux concernant 32 patients étaient très bons et bons (n=21;66%), médiocres et mauvais (n= 11; 34%).Conclusion Le traitementchirurgical a été réalisé chez la majorité des patients ayant une fracturemalléolaire dans un environnement à ressources limitées avec des résultats globaux satisfaisants


Subject(s)
Cote d'Ivoire , Incidental Findings , Intra-Articular Fractures
4.
Med. Afr. noire (En ligne) ; 6512: 607-620, 2016.
Article in French | AIM | ID: biblio-1266314

ABSTRACT

Objectif : Déterminer le taux de Transmission Mère-Enfant du VIH (TME), le suivi post-natal ainsi que les facteurs de risque de perdus de vue sous l'option B+.Patientes et méthodes : Etude prospective des accouchées séropositives au VIH suivies du 1er janvier 2013 au 31 décembre 2014 à l'HGR de la commune Kenya et du 1er janvier 2014 au 31 décembre 2014 à la maternité de l'Hôpital Général de Référence (HGR) de Kampemba. Ont été étudiés : les caractéristiques socio-démographiques des accouchées, les données cliniques, obstétricales et celles propres à la PTME, la TME, le suivi post-natal et facteurs de risque. L'analyse des données a été faite à l'aide du logiciel Epi info 7.0 ; les fréquences exprimées en pourcentage, le test de Fisher utilisé et le seuil significatif fixé à p < 0,05.Résultats : L'âge des accouchées était de 21 à 43 ans (âge moyen : 31 ans). Presque toutes nos patientes étaient en union conjugale, et au moins 76% d'entre elles avaient atteint 6 ans d'études primaires. Quatre-vingt-trois pour cent des femmes n'avaient aucune activité professionnelle spécifique et 72% se confessaient dans les églises de réveil. La parité variait entre 0 et 12 avec une moyenne de 4 ± 2 ; 61 des 86 gestantes (71%) étaient des multipares (parité > 2). L'âge gestationnel moyen était de 38,8 ± 1,0 SA. La quasi-totalité des accouchements (88 : 98,88%) se sont déroulés par voie naturelle. Des 90 naissances vivantes, 47 nouveau-nés étaient de sexe masculin (52,22%). Le poids de naissance variait entre 1400 et 4200 grammes (moyenne : 3174,57 ± 596,9 grammes). Vingt-huit accouchées étaient connues séropositives avant la grossesse (33,33%), pour 52 femmes, la découverte avait été enregistrée au cours de la grossesse (61,90%) et pour 5 autres lors de l'accouchement (5,95%). Parmi les accouchées, 27 (32,14%) étaient sous TAR à vie avant la grossesse, 53 (63,09%) ont été mises sous thérapie pendant la grossesse et 4 (4,76%) ont démarré la trithérapie à vie lors de l'accouchement. Le taux de CD4 variait entre 3 et 1109/mm3 avec un taux moyen de 429,88 ± 198/mm3. Vingt-six accouchées sur 76 (34,20%) avaient un taux de CD4 < 350/mm3. Soixante-huit nouveau-nés avaient bénéficié de l'allaitement maternel exclusif (83,95%) et 97,62% d'entre eux avaient reçu la névirapine pendant 6 semaines. Considéré à 9 mois et à 12 mois, par rapport aux nourrissons dépistés pour lesquels le statut immunologique a été précisé, le taux de TME serait de 4 nourrissons pour 55 (7,27%) et 4 sur 27 (14,81%) respectivement. Le moment de mise sous TAR maternel ne semble pas avoir influé sur la dynamique de rétention ou non des couples mère-enfant durant les 12 mois de suivi post-natal. Au bout de 12 mois du suivi post-natal, seuls 40 (47,62%) des 84 couples mère-enfant attendus avaient été retrouvés mais l'analyse factorielle en rapport avec les données socio-démographiques n'avait pas identifié formellement les facteurs pouvant expliquer la faible rétention observée dans cette étude à part l'éloignement vis-à-vis du site.Conclusion : Les défis à surmonter notamment dans le suivi post-natal sont le délai d'attente trop long des résultats PCR-DNA ainsi que le nombre élevé des perdues de vue


Subject(s)
Democratic Republic of the Congo , Incidental Findings , Pregnancy Outcome , Synaptic Transmission
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