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1.
South. Afr. j. HIV med. (Online) ; 20(1): 1-8, 2019. tab
Article in English | AIM | ID: biblio-1272217

ABSTRACT

Background: Stevens­Johnson syndrome (SJS) and toxic epidermal necrolysis (TEN) are severe life-threatening mucocutaneous reactions. There is an ongoing controversy regarding the use of systemic corticosteroids and intravenous immunoglobulin (IVIG) in SJS/TEN and their utility in HIV-infected patients.Objectives: The objective was to assess the outcome of a combination of intensive supportive care with oral corticosteroids in SJS and a combination of systemic steroids and IVIG for 3 consecutive days in HIV-infected patients with TEN. In addition, we assessed management in a general dermatology ward without implementing wound debridement.Methods: This was a retrospective cohort study of 36 HIV-infected adults with SJS/TEN admitted to a tertiary dermatology unit between 1st January 2010 and 31st July 2011. Standard-of-care protocols included identification and elimination of the possible causative drug, meticulous wound care without debridement, initiation of oral prednisone (1 mg/kg/day) on admission for 3 consecutive days, and the addition of IVIG (1 g/kg/day) for 3 consecutive days to those with TEN.Results: Of the 36 patients in the study, 32 were female. Nevirapine was the commonest drug implicated. A diagnosis of tuberculosis did not increase the case fatality rate.Complications included infections, anaemia, drug-induced hepatitis, ocular involvement, renal impairment, deep vein thrombosis, respiratory distress, Leucopenia, gastritis and hypernatremia. The overall survival rate was 97%.Conclusion: HIV-infected SJS and TEN patients were treated in a tertiary dermatology ward with a treatment plan of skin care, and a combination of systemic corticosteroids and IVIG respectively had a survival rate of 97%


Subject(s)
Immunoglobulins, Intravenous , South Africa , Stevens-Johnson Syndrome
2.
Article in French | AIM | ID: biblio-1263850

ABSTRACT

Le syndrome de Stevens-Johnson et le syndrome de Lyell, ou nécrolyse épidermique toxique, représentent des réactions d'hypersensibilité cutanées rares, habituellement d'origine médicamenteuse, potentiellement mortelles. Les atteintes ophtalmologiques au cours de ces syndromes peuvent être graves et conduire à la cécité. Ces atteintes peuvent être prises en charge par des soins oculaires appropriés. Nous rapportons deux cas de syndrome de Lyell: le premier ayant présenté une complication oculaire due à l'absence de la prise en charge oculaire en phase aigüe. Le deuxième ayant bénéficié de la technique de synéchiolyse


Subject(s)
Central African Republic , Eye Manifestations , Pediatrics , Staphylococcal Scalded Skin Syndrome/etiology , Stevens-Johnson Syndrome
3.
Med. Afr. noire (En ligne) ; 63(11): 582-586, 2016. tab
Article in French | AIM | ID: biblio-1266157

ABSTRACT

Objectif : Le but de cette étude était de décrire les aspects épidémiologiques, cliniques et évolutifs de la nécrolyse épidermique toxique à l'Hôpital Central de Yaoundé, et d'identifier les médicaments incriminés dans la survenue de cette maladie. Patients et méthodes : Il s'agissait d'une étude rétrospective et descriptive réalisée dans le service de réanimation de l'Hôpital Central de Yaoundé, portant sur 64 cas de nécrolyse épidermique toxique, diagnostiqués entre le 1er octobre 2005 et le 30 septembre 2015. Résultats : La prévalence de la nécrolyse épidermique toxique a été estimée à 2% des patients hospitalisés. Il y avait une prédominance féminine (sex-ratio de 1 : 1,6 en faveur des femmes). L'âge moyen des patients était 32,7 ± 22 ans avec une prédominance des jeunes âgés de 20 à 40 ans (75%). Le syndrome de Lyell était le plus fréquent (62%), suivi de la forme intermédiaire (25%) et du syndrome de Stevens-Johnson (13%). Et dans 67,2% des cas, cette maladie survenait chez des patients infectés par le VIH. L'évolution a été marquée par un taux de mortalité de 56,3%, tous présentant le syndrome de Lyell. Parmi les médicaments incriminés, le Sulfaméthoxazole-Triméthoprime était en tête (56,2%), suivi par la Sulfadoxine-Pyriméthamine (18,7%) et la Névirapine (11%). Chez 8 patients (12,5%), aucun médicament n'a été formellement mis en cause. Conclusion : La nécrolyse épidermique toxique est fréquemment rencontrée et diagnostiquée. Elle est causée par des médicaments reconnus allergisants et inducteurs de toxidermie. L'usage de ces médicaments devrait faire pondérer le bénéfice thérapeutique attendu par le risque encouru


Subject(s)
Cameroon , Stevens-Johnson Syndrome , Stevens-Johnson Syndrome/diagnosis
4.
Article in French | AIM | ID: biblio-1269047

ABSTRACT

Objectifs: Les objectifs de cette etude sont de recenser et d'analyser les cas de necroses epidermiques toxiques observes dans notre service et de les faire comparer aux donnees de la litterature. Materiels et methodes: Il s'agit d'une etude retrospective descriptive et analytique sur une periode de cinq ans. Nous avons recueilli les donnees : demographiques; cliniques; evolutives et les medicaments incrimines. Les differentes formes cliniques ont ete classifiees selon les symptomatologies observees. Ont ete regroupe dans le syndrome de Stevens-Johnson : les lesions muqueuses et cutanees bullo-erosives avec atteinte du cuir chevelu dont la lesion de la surface corporelle (SCL) est de 10a 30; dans le syndrome de Lyell : l'eruption cutaneo-muqueuse avec decollement cutane depassant 30de la surface corporelle. Resultats: 13 cas de toxidermies etaient enregistres dans le service avec une incidence de 0;4. L'age moyen etait de 37;4 ans. Les medicaments incrimines sont : la Sulfadoxine (n=5); la Penicilline A (n=1); les antituberculeux (n=1); le Cotrimoxazole (n=2); l'Allopurinol (n=1) e; une association Quinine-Lincocine (n=1); les antiepileptiques (n=2) et un cas indetermine. Le delai entre le debut des symptomes et l'arrivee a l'hopital varie entre 1 a 3 jours et la duree d'hospitalisation de cinq a quarante jours. Conclusion: Les necrolyses epidermiques toxiques sont des pathologies peu frequentes mais graves en reanimation. Beaucoup de medicaments sont en cause mais certains sont facilement accessibles au public. L'information de ces effets secondaires est une obligation des personnels medicaux et tous ceux qui manipulent des medicaments


Subject(s)
Emergency Medical Services , Resuscitation , Stevens-Johnson Syndrome/diagnosis , Stevens-Johnson Syndrome/epidemiology
5.
Article in French | AIM | ID: biblio-1269432

ABSTRACT

La perforation d'un ulcere gastrique liee au stress est rare. Nous en rapportons un cas compliquant un syndrome de Lyell chez un homme de 35 ans; sous anti-tuberculeux depuis 12 jours. Trois jours apres son admission en soins intensifs apparaissait insidieusement un tableau de peritonite aigue generalisee avec une image de pneumoperitoine a la radiographie de l'abdomen sans preparation. Une laparotomie exploratrice etait indiquee decouvrant une perforation gastrique sur la face anterieure de la petite courbure; perforation qui avait ete suturee. Une detersion des lesions cutanees etait par la suite effectuee suivi de pansement gras occlusif. En post-operatoire immediat; le deces survenait rapidement dans un contexte de choc septique. Les aspects de la prise en charge de cette association pathologique particuliere sont discutes


Subject(s)
Antitubercular Agents , Peptic Ulcer Perforation , Stevens-Johnson Syndrome , Tuberculosis, Pulmonary
7.
East Afr. Med. J ; 68(1): 64-6, 1991.
Article in English | AIM | ID: biblio-1261284

ABSTRACT

Hypersensitivity reactions may occur during antituberculous chemotherapy. Severe reactions are rare; and in the three years 1983-86 during which we have both worked in Africa managing large numbers of patients with tuberculosis we only saw one or two cases with severe and generalised cutaneous hypersensitivity. In the last 12 months; however; there have been a number of cases with severe Stevens-Johnson syndrome which developed during antituberculous chemotherapy and has invariably been associated with seropositivity to HIV (human immunodeficiency virus)


Subject(s)
HIV , Antitubercular Agents , Drug Therapy , Stevens-Johnson Syndrome , Tuberculosis
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