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1.
j.tunis.ORL chir. cerv.-fac ; 49: 13-18, 2023. figures, tables
Article in French | AIM | ID: biblio-1428062

ABSTRACT

Etudier à la tomodensitométrie, les variations anatomiques du toit de l'os ethmoïde en déterminant la prévalence des variantes à haut risque. Matériels et méthodes: Etude transversale, avec une collecte rétrospective, descriptive et analytique menée sur une période de 06 mois dans deux services de radiologie et imagerie médicale à Lomé. Elle portait sur des examens de tomodensitométrie normaux des sinus de l'adulte. Résultats: L'âge moyen était de 50,69 ± 16,18 ans. La profondeur moyenne de la fosse olfactive dans le sexe masculin était de 4,03± 1,40 mm contre 4,45±1,59 mm dans le sexe féminin (p=0,0136). Le type III de Keros a été retrouvé dans 11 cas (3,5%). L'asymétrie de la profondeur de la fosse olfactive a été observée chez 107 (69%) patients. L'angle de Gera mesurait en moyenne 58,5±14,6 degrés et 60 (19,4%) toits de l'ethmoïde étaient classés dans le type III. On notait une asymétrie de l'angle de Gera chez 102 (65,8%) patients. La longueur moyenne de la lamelle latérale de la lame criblée était de 5,34 ± 1,4 mm. La longueur moyenne de la fovéa ethmoïdale chez les hommes était de 10 ± 2,5 mm contre 9,3 ± 2,2 chez les femmes (p=0,0078). Il existait une corrélation linéaire positive entre la profondeur de la fosse olfactive et l'angle de Gera (r=0,498; p=0,002). Conclusion: La fréquence élevée de l'asymétrie du toit ethmoïdal suggère que ces variations soient précisées par les radiologues dans les compte-rendu des examens de tomodensitométrie des sinus pour bilan préopératoire


Subject(s)
Humans , Tomography, X-Ray Computed , Radiologists , Classification , Ethmoid Bone , Facial Asymmetry , Four-Dimensional Computed Tomography
2.
j.tunis.ORL chir. cerv.-fac ; 47: 35-40, 2022. figures, tables
Article in French | AIM | ID: biblio-1433689

ABSTRACT

Etudier les caractéristiques cliniques, radiologiques et thérapeutiques des goitres plongeants et établir un arbre décisionnel de prise en charge Méthodes: Nous rapportons une étude rétrospective portant sur 67 cas de goitre plongeant colligés sur une période de 27 ans entre 1990 et 2016. Résultats: L'âge moyen des patients était de 53 ± 15,1 ans et le sex-ratio de 0,24. La tuméfaction basicervicale antérieure était le motif de consultation le plus fréquent, rapportée dans 82% des cas associée à des signes de compression dans 31% des cas. Une paralysie récurrentielle unilatérale a été objectivée dans quatre cas. Une radiographie de thorax a montré une opacité médiastinale dans 75% des cas et une déviation trachéale dans 85% des cas. Un scanner cervico-thoracique pratiquée dans 73% des cas a confirmé le diagnostic en objectivant cinq prolongements dépassant la crosse de l'aorte. Le traitement chirurgical était mené par voie cervicale dans 99% des patients et une sternotomie a été réalisée devant l'échec d'extraction par cervicotomie. Une paralysie récurrentielle postopératoire a été observée dans un cas et l'hypoparathyroïdie définitive a été rapportée chez six malades avec un recul moyen de trois ans. Conclusion: Les goitres plongeants sont devenus rares en Tunisie du fait de la prise en charge plus précoce des nodules thyroïdiens. Le scanner cervico-thoracique représente le gold standard pour l'étude et la confirmation du diagnostic du goitre plongeant ainsi que pour l'attitude thérapeutique. L'indication chirurgicale est toujours impérative devant le risque vital qu'il pose.


Subject(s)
Humans , Goiter, Substernal , Laryngeal Nerves , Stellate Ganglion , Tomography, X-Ray Computed , Abortion, Therapeutic , Sternotomy
3.
j.tunis.ORL chir. cerv.-fac ; 47(3): 1-7, 2022. tales, figures
Article in French | AIM | ID: biblio-1392469

ABSTRACT

Objectif: Etudier les facteurs pronostiques scannographiques de l'otospongiose en corrélant les résultats audiométriques post opératoires aux données scannographiques préopératoires. Méthodes: Nous avons mené une étude rétrospective, descriptive et analytique entre Janvier 2013 et Décembre 2018. Elle a inclus 50 patients soit 54 oreilles opérées pour otospongiose, explorés en préopératoire par une tomodensitométrie (TDM) des rochers et en postopératoire par des audiogrammes. Les critères de succès fonctionnel étaient un rinne résiduel postopératoire (RRPO) ≤10 dB et une réserve cochléaire (RC) ≤0. Résultats: La sensibilité de la TDM pour le diagnostic d'otospongiose était de 94% et le type II de la classification de Veillon était le plus fréquent (41%). La confrontation des données de la TDM préopératoire aux résultats audiométriques a permis d'identifier comme facteurs tomodensitométriques de bon pronostic audiométrique: les stades radiologiques localisés type I et II de Veillon et l'absence d'effraction endostée. L'absence d'atteinte de la fenêtre ronde ainsi que l'absence de variantes anatomiques étaient corrélées à un meilleur taux de fermeture du rinne en postopératoire. L'étude multivariée n'a pas retenu de facteurs scannographiques indépendants de succès fonctionnel. Conclusion: D'après notre étude, il s'avère que la tomodensitométrie des rochers préopératoire ne prédit pas le résultat audiométrique de la chirurgie de l'otospongiose. Néanmoins, elle reste indispensable pour la confirmation diagnostique, la classification de la maladie et la détection des anomalies associées.


Subject(s)
Otosclerosis , Prognosis , Audiometry , Tomography, X-Ray Computed
4.
j.tunis.ORL chir. cerv.-fac ; 47(3): 35-40, 2022. tales, figures
Article in French | AIM | ID: biblio-1392586

ABSTRACT

Etudier les caractéristiques cliniques, radiologiques et thérapeutiques des goitres plongeants et établir un arbre décisionnel de prise en charge Méthodes: Nous rapportons une étude rétrospective portant sur 67 cas de goitre plongeant colligés sur une période de 27 ans entre 1990 et 2016. Résultats: L'âge moyen des patients était de 53 ± 15,1 ans et le sex-ratio de 0,24. La tuméfaction basicervicale antérieure était le motif de consultation le plus fréquent, rapportée dans 82% des cas associée à des signes de compression dans 31% des cas. Une paralysie récurrentielle unilatérale a été objectivée dans quatre cas. Une radiographie de thorax a montré une opacité médiastinale dans 75% des cas et une déviation trachéale dans 85% des cas. Un scanner cervico-thoracique pratiquée dans 73% des cas a confirmé le diagnostic en objectivant cinq prolongements dépassant la crosse de l'aorte. Le traitement chirurgical était mené par voie cervicale dans 99% des patients et une sternotomie a été réalisée devant l'échec d'extraction par cervicotomie. Une paralysie récurrentielle postopératoire a été observée dans un cas et l'hypoparathyroïdie définitive a été rapportée chez six malades avec un recul moyen de trois ans. Conclusion: Les goitres plongeants sont devenus rares en Tunisie du fait de la prise en charge plus précoce des nodules thyroïdiens. Le scanner cervico-thoracique représente le gold standard pour l'étude et la confirmation du diagnostic du goitre plongeant ainsi que pour l'attitude thérapeutique. L'indication chirurgicale est toujours impérative devant le risque vital qu'il pose.


Subject(s)
Humans , Therapeutics , Goiter, Substernal , Tomography, X-Ray Computed , Geographical Features , Sternotomy
5.
S. Afr. j. child health ; 16(3): 146-156, 2022. figures, tables
Article in English | AIM | ID: biblio-1397943

ABSTRACT

Background. Road traffic accidents (RTAs) are a leading cause of injury and death globally, particularly among children. Pedestrians are most often injured, especially in middle- and low-income countries. The epidemiology, patterns and severity of injuries in children involved in RTAs in our community are hard to obtain. Objectives. To evaluate the aetiological spectrum, injury characteristics and treatment outcomes of paediatric patients involved in RTAs,who presented to Chris Hani Baragwanath Academic Hospital (CHBAH), a tertiary hospital in Soweto, South Africa. Methods. Patients ≤10 years old, who were involved in RTAs and seen at CHBAH, were included in the study. Results. The study was conducted from 20 August 2017 to 31 March 2018, and included the data of 156 patients. Their ages ranged from 13 days to 10 years (65% were boys). Pedestrian vehicle accidents accounted for 78.8% of the injuries, with 60.8% of the children being unaccompanied by an adult. Motor vehicle accidents accounted for 19.2% of the injuries, with 92% of the children being unrestrained in the vehicle. Of the patients, 73.2% (n=112/153) underwent radiography and 44.4% required computed tomography (CT) scans, the majority being CT scans of the brain for suspected head injuries. Soft-tissue injuries accounted for 78.9% of cases, followed mainly by head (39.7%) and limb (16%) injuries. Only 12% of patients required surgical intervention, with 42% of the operations being for orthopaedic injuries. Conclusion. The abovementioned data demonstrate that there is a lack of use of child restraints for children travelling as passengers invehicles, and inadequate supervision of children on and around roads. This study supports other evidence, as it suggests that the paediatric population involved in RTAs is largely injured as pedestrians, and that males tend to be involved in more RTAs than females. The majority of injuries sustained involved the soft tissues, followed by head injuries


Subject(s)
Humans , Male , Female , Child, Preschool , Child , Wounds and Injuries , Accidents, Traffic , Tomography, X-Ray Computed , Epidemiology
6.
Ann. afr. méd. (En ligne) ; 15(4): 1-8, 2022. figures, tables
Article in French | AIM | ID: biblio-1398398

ABSTRACT

Contexte et objectif. Le pancréas étant un organe profond, son exploration clinique est parfois limitée et peu performante. Le diagnostic de ces pathologies repose principalement sur le dosage des enzymes pancréatiques (la lipasémie notamment) et l'imagerie médicale. L'objectif de la présente étude était de décrire le profil scanographique des tumeurs pancréatiques. Méthodes. Il s'agissait d'une série des cas documentaires menée dans 3 Services de radiologie à Kinshasa de janvier 2016 à juin 2021, ayant retenu 86 comptes rendus de tomodensitométrie (TDM) abdominale des patients avec pathologie pancréatique. Toutes les images archivées ont été relues par spécialistes en imagerie. Résultats. 66 cas de tumeurs pancréatiques ont été colligés. Le sexe masculin était prépondérant (sex-ratio H/F=1,6) avec un âge moyen de 55,7 ± 14,7 ans (16 à 92 ans). Le syndrome de cholestase (50 %) et la douleur abdominale (épigastrique) étaient les indications les plus retrouvées. Les contours étaient lobulés dans plus de la moitié des cas (56,1 %). Le canal de Wirsung était dilaté dans la plupart des tumeurs. Les tumeurs étaient résécables dans 26 % des cas. Conclusion. La TDM abdominale contribue au diagnostic des pathologies pancréatiques. Elles affectent le plus souvent des sujets âgés du sexe masculin et sont dominées par les tumeurs qui sont généralement diagnostiquées au stade non-résécable


Context and objective. The pancreas being a deep organ, its clinical exploration is sometimes limited and inefficient. The diagnosis of pancreatic pathologies is mainly based on the dosage of pancreatic enzymes (lipasemia in particular) and medical imaging. The objective of the present study was to describe the scanographic profile of pancreatic tumors in 3 radiology departments in Kinshasa. Methods. It was a retrospective serial case study conducted in 3 radiology departments in Kinshasa from January 2016 to June 2021, having retained 86 reports of abdominal computed tomography (CT) scan of patients with pancreatic pathology. Results. 66 cases of pancreatic tumors were involved. Male patients were predominant (sex-ratio M/F=1.6) and the mean age of 55.7 ± 14.7 years (range: 16 to 92 years). Cholestasis syndrome (50 %) and abdominal (epigastric) pain were the most common indications. In tumors, the contours were lobulated (56.1 %). The Wirsung duct was dilated in most tumors. The tumors were resectable in 26 % of cases. Conclusion. The abdominal CT-scan contributes to the diagnosis of pancreatic pathologies. These pathologies mostly affect male elderly subjects, are predominantly tumoral and generally diagnosed in late unresectable stage.


Subject(s)
Humans , Male , Female , Pancreatic Neoplasms , Tomography, X-Ray Computed , Disease Progression , Diagnosis , Neoplasm Metastasis
7.
J. afr. imag. méd ; 13(1): 36-45, 2021. Tables, figures
Article in English | AIM | ID: biblio-1342869

ABSTRACT

Objectif: Evaluer les doses délivrées aux patients adultes lors des examens TDM en vue de l'établissement des niveaux de référence diagnostiques tomodensitométriques au Togo.Matériel et méthodes: Etude transversale réalisée du 6 Mars au 30 Juillet 2018 dans 5 structures sanitaires disposant d'une unité tomodensitométrique au Togo ayant inclus les TDM cranio-encéphaliques, abdomino-pelviennes, thoraciques, thoraco-abdomino-pelviennes, rachidiennes cervicales et lombaires des patients d'au moins 15 ans.Résultats: Les 1155 TDM adultes inclus étaient dominées par les TDM cranio-encéphaliques et abdomino-pelviens avec respectivement 34,2% et 15,15%. La sex-ratio était de 1,42. Les appareils de marque GE dans 80%, étaient de 6 et 16 barrettes et 60% installés 2010. L'IDSvol de la TDM cérébrale était le plus élevé par rapport à l'IDSvol des autres types d'examen. La dispersion des PDL par acquisition et pour un examen complet inter et intra structure sanitaire était significative. Les NRD (75e percentile du PDL) par acquisition était de 1199,14mGy.cm (cérébral non traumatique), 1596,45mGy.cm (cérébral-traumatique), 635,63mGy.cm (cervical), 401,98mGy.cm (thorax), 594,42mGy.cm (abdomino-pelvien), 675,73mGy.cm (thoraco-abdomino-pelvien) et 681,35mGy.cm (lombaire). Les doses efficaces moyennes associées auxdifférents types d'examens étaient comprises entre 2-3mSv pour l'exposition de la tête et le cou et de 24mSv pour la TDM abdomino-pelvienne.


Objective: To evaluate the doses delivered to adult patients during CT scans in order to establish CT-scans diagnostic reference levels (DRL) in Togo.Material and methods: Cross-sectional study carried out from 6 March to 30 July 2018 in 5 health facilities with a CT-scans unit in Togo that included cranio-encephalic, abdominal-pelvic, thoracic, thoraco-abdominal-pelvic, cervical and lumbar spines CT-scans in patients at least 15 years of age. Results: The 1155 adult CT-scans included were dominated by cranio-encephalic and abdominal-pelvic CTs with 34.2% and 15.15% respectively. The sex-ratio was 1.42. GE brand devices in 80%, were 6 and 16 bars and 60% installed 2010. The brain CT IDSvol was the highest compared to the CTDIvol of other types of exams. The dispersion of the DLP by acquisition and for a complete inter and intra-structure examination was significant. DRLs (75th percentile of DLP) per acquisition were 1199.14mGy.cm (non-traumatic cerebral), 1596.45mGy.cm (traumatic cerebral), 635.63mGy.cm (cervical), 401.98mGy.cm (thorax),594.42mGy.cm (abdominal-pelvic), 675.73mGy.cm (thoracic-abdominal-pelvic) and 681.35mGy.cm (lumbar). The average effective doses associated with the different types of exams ranged from 2-3mSv for head and neck exposure and 24mSv for abdominal-pelvic CT. Conclusion : The high dispersion of dose delivered during CT-scan in Togo requires a process of homogenization of procedures and optimization from DRLs thus determined.(abdominal-pelvic), 675.73mGy.cm (thoracic-abdominal-pelvic) and 681.35mGy.cm (lumbar). The average effective doses associated with the different types of exams ranged from 2-3mSv for head and neck exposure and 24mSv for abdominal-pelvic CT.Conclusion: The high dispersion of dose delivered during CT-scan in Togo requires a process of homogenization of procedures and optimization from DRLs thus determined.


Subject(s)
Humans , Male , Female , Diagnostic Imaging , Tomography, X-Ray Computed , Craniocerebral Trauma , Togo
8.
Journal de la société de Biologie Clinique ; (38): 45-48, 2021. figures, tables
Article in French | AIM | ID: biblio-1362992

ABSTRACT

Objectif : Evaluer l'apport de l'échographie thoracique (ET) dans le diagnostic des pleuropneumopathies de l'adulte au Centre Hospitalier Universitaire Départemental du Borgou et de l'Alibori (CHUD-B/A). Patients et Méthodes : Il s'est agi d'une étude transversale descriptive analytique réalisée sur la période allant du 15 Mars au 15 Aout 2019. Un examen pleuropulmonaire (EPP), une radiographie thoracique (RT) et une ET ont été réalisés aux patients adultes reçus dans le service d'imagerie médicale et présentant des symptômes fonctionnels respiratoires. Les indicateurs de performance diagnostique de l'ET ont été calculés en prenant la RT comme examen de référence. Résultats : Sur les 83 patients inclus, l'EPP, la RT et l'ET étaient pathologiques chez respectivement 52 (62,65%), 67 (80,72%) et 72 (86,75%) patients. L'ET était pathologique chez 10 (62,50%) des 16 patients ayant eu une RT normale. La RT était pathologique chez 5 (45,45%) des 11 patients qui avaient une ET normale. En prenant la RT comme référence, l'ET avait globalement une sensibilité de 92,54%, une spécificité de 37,50%, une valeur prédictive positive de 86,11% et une valeur prédictive négative de 54,55%. Conclusion : L'ET est performante dans le diagnostic des pleuropneumopathies de l'adulte. Elle peut être utilisée comme examen de première intention, en alternative à la RT ou complétée la RT dans l'exploration des pathologies pleuropulmonaires à Parakou


Objective: To evaluate the contribution of chest ultrasonography in the diagnosis of pneumonia in adults at the teaching hospital of Borgou and Alibori (CHUD-B/A). Method: This was a descriptive and analytical cross-sectional study carried out from 15 March to 15 August 2019. Clinical examination of lungs, chest X-ray and chest ultrasonography were performed on adult patients received in the medical imaging department and presenting with functional respiratory symptoms. Diagnostic performance indicators for chest ultrasonography were calculated by using chest X-ray as the reference test. Results: Of the 83 patients included, clinical examination of lungs, chest X-ray and chest ultrasonography were pathological in 52 (62.65%), 67 (80.72%) and 72 (86.75%) patients respectively. Chest ultrasonography was pathological in 10 (62.50%) of the 16 patients with normal chest X-ray. Chest X-ray was pathological in 5 (45.45%) of the 11 patients with normal chest ultrasonography. With chest X-ray as a reference, the overall sensitivity of chest ultrasonography was 92.54%, specificity 37.50%, positive predictive value 86.11% and negative predictive value 54.55%. Conclusion: Chest ultrasonography is an effective tool in the diagnosis of pneumonia in adults. It can be used as a first-line examination, as an alternative to chest X-ray or as a complement to chest X-ray in the exploration of pneumonia in Parakou


Subject(s)
Humans , Male , Female , Adult , Middle Aged , Aged , Aged, 80 and over , Pneumonia , Radiography, Thoracic , Tomography, X-Ray Computed , Diagnosis
9.
Pan Afr. med. j ; 35(2)2020.
Article in English | AIM | ID: biblio-1268664

ABSTRACT

Introduction: the aim of this work is to evaluate the contribution of thoracic computed tomography (CT) in the diagnosis of COVID-19 in Guinea.Methods: this was a retrospective study with data recorded over a 2 Month period. Records of patients who tested positive on chest CT without contrast injection on admission were included in this study. Not included are those who did or did not perform a chest CT scan after confirmation of the diagnosis by RT-PCR. The data were collected under the direction of the National Health Security Agency (ANSS) and analysed using STATA/SE version 11.2 software.Results: all patients tested performed a chest CT scan without contrast injection while awaiting the RT-PCR test result. Eighty percent (80%) of patients had lesions characteristic of COVID-19 viral pneumonia on chest CT. The reverse transcriptase PCR (RT-PCR) test was later positive in 33 patients (94.28%) and negative in 2 (5.71%).Conclusion: it is noted from this study that chest computed tomography is a critical tool in the rapid diagnosis of COVID-19 infection. Its systematization in all patients suspected in our dispute, would facilitate diagnosis while waiting for confirmation by RT-PCR and would limit the loss of cases


Subject(s)
COVID-19 , Coronavirus Infections/diagnosis , Guinea , Tomography, X-Ray Computed
10.
S. Afr. j. surg. (Online) ; 57(1): 49-53, 2019. ilus
Article in English | AIM | ID: biblio-1271048

ABSTRACT

Background: Patients with multiple injuries are a challenge to evaluate and to exclude abdominal injury, especially those who are intubated and sedated. Ultrasound is a screening tool and peritoneal lavage is unreliable. The aim of the study was to determine the incidence of intra-abdominal injury and describe the subsequent management after CT "panscan" in patients sustaining blunt trauma with injuries both above the thoracic and below the pelvic diaphragm. Methods: In a retrospective analysis anonymised patient data were extracted from a prospective ethics approved database of patients admitted to the level I Trauma Unit at Inkosi Albert Luthuli Central Hospital for the period from April 2007 to March 2011. Blunt polytrauma patients, aged 2 years and older with injuries above the diaphragm and below the pelvic floor were included, provided they were investigated by a full-body trauma Computed Tomography contrast study. Descriptive statistics were employed for all variables of interest, with counts/frequencies and associated percentages being reported. Results: Of 284 patients with injuries above the thoracic and below the pelvic diaphragm, 87 (30.6%) had intra-abdominal injury and 197 (69.4%) had no intra-abdominal injuries. Of those 87 patients, 54 (62.1%) were treated non-operatively and 33 (37.9%) were treated surgically with regard to their abdominal injuries. Twenty (22.9%) patients died, 4 due to intra-abdominal injuries and 16 due to of extra-abdominal injuries. Nine (45%) of the twenty patients who died were treated operatively for intra-abdominal injuries and the remaining 11 (55%) were treated non-operatively.Conclusion: Around thirty percent of patients with injuries above the thoracic and below the pelvic diaphragm had concomitant intra-abdominal injuries. Of those with abdominal injury, just over half required laparotomy. For haemodynamically stable patients CT scanning identified those who require surgical intervention and those who may be managed non-operatively, therefore liberal CT-scanning is advisable for this patient group


Subject(s)
Abdominal Injuries , Diaphragm , Patients , Pelvic Floor , South Africa , Tomography, X-Ray Computed , Wounds, Nonpenetrating
11.
S. Afr. med. j. (Online) ; 109(9): 693-697, 2019. tab
Article in English | AIM | ID: biblio-1271251

ABSTRACT

Background. There is growing realisation that human error contributes significantly to morbidity and mortality in modern healthcare. A number of taxonomies and classification systems have been developed in an attempt to categorise errors and quantify their impact.Objectives. To record and identify adverse events and errors as they impacted on acute trauma patients undergoing a computed tomography (CT) scan, and then quantify the effect this had on the individual patients. It is hoped that these data will provide evidence to develop error prevention programmes designed to reduce the incidence of human error.Methods. The trauma database was interrogated for the period December 2012 - April 2017. All patients aged >18 years who underwent a CT scan for blunt trauma were included. All recorded morbidity for these patients was reviewed.Results. During the period under review, a total of 1 566 patients required a CT scan at our institution following blunt trauma. Of these, 192 (12.3%, 134 male and 58 female) experienced an error related to the process of undergoing a CT scan. Of 755 patients who underwent a CT scan with intravenous contrast, detailed results were available for 312, and of these 46 (14.7%) had an acute deterioration in renal function. According to Chang's taxonomy, physical harm occurred as follows: grade I n=6, grade II n=62, grade III n=45, grade IV n=11, grade V n=27, grade VI n=21, grade VII n=15, grade VIII n=3 and grade IX n=2. Adverse events were performing an unnecessary scan (n=24), omitting an indicated scan (n=23), performing the scan incorrectly (n=8), scanning the wrong body part (n=7), equipment failure (n=18), omitting treatment following the scan (n=6), incorrect interpretation of the scan (n=65), deterioration during the scan (n=6) and others (n=35). The setting for the error was the ward (n=19), the radiology suite (n=126), the emergency department (n=45) and the operating theatre (n=2). The staff responsible for the adverse events were medical (n=155), nursing (n=4) and radiology staff (n=15). There were 67 errors of commission and 125 errors of omission. The primary cause was a planning problem in 78 cases and an execution problem in 114.Conclusions. Errors and adverse events related to obtaining a CT scan following blunt polytrauma are not uncommon and may impact significantly on the patient. Communication is essential to eliminate errors related to performing the wrong type of scan. The commonest errors relate to misinterpretation of the scan


Subject(s)
Classification , Humans , South Africa , Tomography, X-Ray Computed
12.
Sahel medical journal (Print) ; 22(2): 71-76, 2019. ilus
Article in English | AIM | ID: biblio-1271706

ABSTRACT

Background: Cranial computed tomography (CT) is an invaluable tool useful in promptly differentiating hemorrhagic from ischemicstroke. However, due to the cost of CT, there has been a reliance on the World Health Organization (WHO) clinical diagnosis of stroke in some low­resource settings. Objective: The aim of the present study is to determine the pattern of acute stroke as seen on CTand to determine the accuracy of the clinical diagnosis using the WHO method. Materials and Methods: This was a cross­sectional descriptive study conducted from September 2014 to June 2015. We included 150 consecutive patients aged 18 years and above with acute stroke. Initial physician diagnosis using the WHO method was obtained, followed by a radiological evaluation using CT. The Statistical Package for the Social Sciences version 20.0 with results represented in simple proportions and percentages. Statistical level of significance was set at P ≤ 0.05. Results: The mean age (standard deviation) was 57.97 (14.2) years with females making up 50.7% (76/150). Ischemic stroke was found to be the more common type of acute stroke (69.3%) (104/150) with the parietal lobe being the site most commonly affected by both strokes types. The positive predictive and negative predictive values of the WHO clinical diagnosis for ischemic and hemorrhagic strokes were 79.13% and 68.97% and 68.97% and 79.13%, respectively. Conclusions: A low accuracy in the WHO clinical diagnosis of stroke was observed. Ischemic stroke is the more common stroke and parietal lobe the most commonly affected site


Subject(s)
Hospitals, Teaching , Nigeria , Stroke/diagnosis , Tomography, X-Ray Computed
13.
Article in French | AIM | ID: biblio-1264247

ABSTRACT

Introduction : La localisation orbito-palpéral du neurofibrome plexiforme dans la maladie de Von Recklinghausen est rare. Nous en rapportons 8 cas. Patients et Méthode : Il s'agissait d'une étude rétrospective descriptive portant sur les dossiers de patients chez qui un diagnostic clinique et paraclinique de neurofibrome plexiforme palpébro-orbitaire était posé et pris en charge dans les services de Dermatologie-Vénérologie, d'Ophtalmologie et de Neurochirurgie du Centre Hospitalier Universitaire Yalgado Ouédraogo de 2005 à 2018. Résultats : Caracté-ristiques épidémiologiques : huit dossiers étaient colligés. Cinq patients étaient de sexe féminin et 3 de sexe masculin. Leur âge moyen était de 15,8 ans. Caractéristiques cliniques : Les atteintes cutanées de la maladie de Von Recklinghausen étaient des taches café au lait, des neurofibromes dermiques, le neurofibrome plexiforme orbito-palpébral unilatéral. L'examenophtalmologique retrouvait une gêne oculaire chez tous les patients, un ptosis, et une exophtalmie chez 2 patients. Un patient présentait un glaucome congénital. Trois patients présen-taient des nodules de Lisch, et un, une périsclérite. Une kérato-uvéite était retrouvée chez deux autres patients. Caractéristiques paracliniques : La tomodensitométrie montrait une atteinte osseuse (sphénoïdal et ou eth-moïdal, et ou du sinus maxillaire) chez tous les patients. L'IRM objectivait la tumeur plexiforme non encapsulé, infiltrant le tissu adipeux intra et extra conal, sans lésion du parenchyme cérébral. L'étude histologique confirmait le diagnostic de névrome plexiforme. Caractéristiques thérapeutiques et évolutives : La prise en charge était multidisciplinaire avec une exérèse chirurgicale à but fonctionnel et esthétique. L'évolution était favorable à court terme chez tous les patients. Une récidive chez un patient a nécessité une reprise chirurgicale qui s'est soldée par une rétraction de la fente palpé-brale, un ptérigion, un symblépharon, une kérato-uvéite et une chéloïde de l'angle extern


Subject(s)
Burkina Faso , Neurofibromatosis 1/diagnosis , Patients , Tomography, X-Ray Computed
14.
Journal Africain de l'Imagerie Médicale ; 11(1): 261-266, 2019. ilus
Article in French | AIM | ID: biblio-1263871

ABSTRACT

But : Evaluer les variations morphométriques du pancréas à la tomodensitométrie. Sujets et méthode : il s'agissait d'une étude rétrospective sur une période de sept mois. L'étude concernait 110 sujets dont 55 hommes et 55 femmes sans antécédents d'affection ou de chirurgie abdominale. Nous étudiions pour chaque sujet le nombre de coupes ou le pancréas était visualisé, la forme générale du pancréas, la forme du pancréas à l'origine de l'artère mésentérique supérieure, la forme de la queue, la visibilité de la lobulation graisseuse et du conduit pancréatique principale. Nous mesurions l'angle formé par l'axe du corps et celui de la queue, la distance entre le bord antérieur du pancréas à la peau de la paroi abdominale ventrale, la distance entre le bord postérieur du pancréas à la peau de la paroi abdominale dorsale et les dimensions des différentes parties du pancréas. Résultats : Le pancréas était visualisé sur 35,43 coupes pour chaque sujet. Il avait une forme générale en « arc » à concavité postérieure dans 58 % des cas. A la naissance de l'artère mésentérique supérieure nous retrouvions une forme en arc à concavité postérieure dans 24 % des cas. La queue avait une forme classique dans 92,59% des coupes. Le conduit pancréatique principal était visible chez 37 sujets. La lobulation graisseuse était visible chez 31 sujets. L'angle moyen formé par l'axe du corps et celui de la queue était de 138 degré. La distance moyenne du bord antérieur du pancréas à la peau était de 76,86 mm chez les femmes ; et de 79,11 mm chez les hommes. La distance moyenne du bord postérieur du pancréas à la peau était de 123,87 mm chez les femmes ; et de 122,08 mm chez les hommes. Le diamètre moyen de la tête était de 22,8 mm chez les femmes ; et de 22,25 mm chez les hommes. Le diamètre moyen du corps était de 15,65 mm chez les femmes ; et de 15,69 mm chez les hommes. Le diamètre moyen de la queue était de 12,53 mm chez les femmes ; et de 12,35 mm chez les hommes. Conclusion : Nous retrouvons une forme générale du pancréas en « arc » ou en « s couchée ». Les dimensions chez les femmes sont plus élevées que chez les hommes mais la différence n'est pas significative. Il n'existe pas de corrélation entre le diamètre des différentes parties du pancréas et l'âge. Il existe une corrélation entre la lobulation graisseuse et l'âge


Subject(s)
Adult , Pancreas/anatomy & histology , Pancreas/physiopathology , Senegal , Tomography, X-Ray Computed
15.
Journal Africain de l'Imagerie Médicale ; 11(1): 267-273, 2019. ilus
Article in French | AIM | ID: biblio-1263872

ABSTRACT

Objectifs : Evaluer la qualité des demandes d'examens radiologiques. Matériels et méthodes : Il s'est agi d'une étude transversale descriptive réalisée dans le service de radiologie du CHU Campus du 1er août au 15 août 2015. Résultats : Au cours de la période d'étude, nous avons colligé 144 demandes d'examens de tomodensitométrie (26,1%) et 408 demandes d'examens de radiographie (73,9%). Les demandeurs étaient des médecins spécialistes dans 25% des cas (102 examens) pour la radiographie et 19,4% des cas (28 examens) pour la tomodensitométrie. Les demandeurs d'examen de radiographie étaient des rhumatologues dans 8,8% des cas (36 examens) et aucun urologue n'avait demandé un examen de radiographie ; les demandeurs d'examen de tomodensitométrie étaient des neurologues dans 19,4% des cas (28 examens) et aucun gynécologue ni pédiatre n'avait demandé un examen de tomodensitométrie. Les demandes sans question et les demandes sans retour étaient les deux principaux types de demandes observés. L'âge et le sexe des patients n'avaient pas été précisés respectivement dans 4,4% (18 cas) et 2,9% (12 cas) des demandes d'examen de radiographie. Les résultats d'examens para-cliniques pouvant être utiles à l'interprétation et au compte-rendu radiologique manquaient sur 384 cas (94,1%) des demandes d'examens de radiographie et sur 140 cas (97,2 %) des demandes d'examens de tomodensitométrie. Sur les demandes d'examen de radiographie, le demandeur ne pouvait être identifié par son nom dans 78 cas (19,1%) et le motif de demande était précisé dans 402 cas (98,5 %) ; sur les demandes d'examen de tomodensitométrie, le demandeur ne pouvait être identifié par un numéro de téléphone dans 96 cas (66,7%). Conclusion : Les demandes d'examen radiologiques sont établies de manière incomplète. L'exercice radiologique suppose cependant une obligation de moyens, avec sérieux, prudence et réflexion


Subject(s)
Radiography , Radiology, Interventional , Togo , Tomography, X-Ray Computed
16.
Article in French | AIM | ID: biblio-1263876

ABSTRACT

Objectif : décrire les aspects morphologiques atypiques au cours du Mal de Pott.Patients et méthodes : Etude descriptive menée dans le service de Rhumatologie du CHU de Brazzaville du 1er janvier 2013 au 31 juin 2017 (4 ans et 6 mois). Ont été inclus les dossiers des patients âgés de plus de 18 ans, dont le diagnostic de Mal de Pott était retenu, en l'absence de biopsie disco-vertébrale, sur la base des arguments cliniques, paracliniques, thérapeutiques et évolutifs.Les dossiers comportant une radiographie standard du rachis et/ou une imagerie en coupe (TDM/IRM) ont été exploités. Ceux dont l'imagerie ne mettait pas en évidence l'aspect classique de spondylodisciteont été retenus. Les variables d'étude étaient le siège, le nombre de localisation, l'aspect de l'atteinte vertébrale ou discale. Cent dix dossiers ont été retenus.Résultats : Les hommes prédominaient (56,4%) avec un sex ratio de 1,3. L'âge moyen était de 46 ± 16ans (extrêmes : 20-80 ans).La radiographie standard du rachis était réalisée chez tous les patients, la TDM chez 28 patients (25,5%), l'IRM chez 23 patients (20,9%). Les formes atypiques étaient retrouvées dans 34 cas (30,9%), dominées par l'aspect de spondylite (21 cas).Les lésions siégeaient au rachis cervical dans 2 cas, au rachis dorsal dans 9 cas, au rachis lombaire dans 16 cas et au rachis dorsal et lombaire dans 7 cas. L'Atteinte était monofocale dans 2 cas, bifocale dans 20 cas, trifocale dans 9 cas et plus de trois vertèbres dans 3 cas.Conclusion : Les aspects morphologiques inhabituels sont dominés par la spondylite,le plus souvent pluri vertébrale, siégeant surtout au rachis lombaire et/ou dorsal


Subject(s)
Adult , Congo , Magnetic Resonance Imaging, Interventional , Pott Puffy Tumor , Tomography, X-Ray Computed , Tuberculosis, Spinal
17.
Journal Africain de l'Imagerie Médicale ; 11(3): 348-353, 2019. ilus
Article in French | AIM | ID: biblio-1263877

ABSTRACT

Objectifs:dresser le profil étiologique à la tomodensitométrie desdouleurs lombaires chez 403 patients.Matériels et méthodes: il s'agissait d'une étude transversale à propos de 403 dossiers colligés sur une période de 15 mois au service d'Imagerie du Centre Hospitalier Régional de Saint-Louis du Sénégal. Tout patient adressé pour scanner lombaire a été inclus quel que soit son âge, son sexe ou son indication. Les patients dont le scanner était normal ont été exclus. Les examens étaient réalisés avec un scanner 16 coupes de type Siemens.Les paramètres étudiés étaient l'âge, le sexe, l'indication et les résultats de l'examen tomodensitométrique. Le recueil et l'analyse des données ont été effectuées à l'aide du tableau Excel 2010 et du logiciel SPSS 22. Le test exact de Fisher a été effectué et un seuil de signification &=5% a été fixé.Résultats: Lamoyenned'âge de la population d'étudeétaitde 45 ansavecdesextrêmesde 16 anset 89 ans et un genre ratio de 1,3. La tranched'âge de 31 ans ­ 40 ansétaitprédominante. Sur le plan clinique, 213 patients soit 52,9% étaient adressés au scanner pour douleurs lombaires non spécifiques contre 47,1% de cas pour sciatalgie. Parmi ces derniers les 21,3% présentaient une sciatalgie bilatérale, 14,4% avaient une sciatalgie droite tandis que 12,7% présentaient une symptomatologie à gauche.Une discopathie dégénérative était notée dans 92,3% des cas avec un conflit disco-radiculaire retrouvé chez 41,2% de ces patients.Une hernie discale était présente chez 93 patients (23%). Elle était latérale dans 46% des cas, médiane dans 45% et foraminale dans 9% des cas. Les atteintes arthrosiques étaient représentées par les spondylophytes (47,9%), l'érosion des plateaux vertébraux (9,2%) et le phénomène de vide discal (18,4%) La lyse isthmique était observée dans 9,4% des cas. Les troubles de la statique rachidienne étaient retrouvés chez 17% des patients et les anomalies transitionnelles chez 11,4% des patients avec sacralisation de L5 dans 7,2% et lombalisation de S1 dans 4,5%.Le canal lombaire étroit représentait 7%, les lésions traumatiques 5%, les lésions infectieuses 1,5% des cas, les lésions inflammatoires 2,7% et lésions d'allure tumorale 2,5%.Nous avions noté une dégénérescence graisseuse des muscles rachidiens chez 2,2% des patients.Conclusion: La majorité des patients adressés pour TDM lombaire est relativement jeune avec des étiologies dominées par les discopathies dégénératives. La TDM nous a permis de faire une analyse morphologique exhaustive et d'avoir une orientation étiologique de ces douleurs lombaires même si l'IRM reste l'examen de référence


Subject(s)
Low Back Pain/etiology , Senegal , Spine , Tomography, X-Ray Computed
18.
Journal Africain de l'Imagerie Médicale ; 11(3): 354-357, 2019. ilus
Article in French | AIM | ID: biblio-1263878

ABSTRACT

Objectifs : Etablir le profil épidémiologique des patients et répertorier les lésions retrouvées à la tomodensitométrie.Méthodes : Etude prospective descriptive sur une période de douze mois (de février 2015 à janvier 2016), portant sur des patients ayant bénéficiés d'une exploration tomodensitométrique pour traumatisme rachidien. Résultats : les traumatismes du rachis représentait 3,7% (n=100/2676) de l'ensemble des examens scanographiques effectués durant la période d'étude. Il y avait 83 % (n=83) d'hommes (sex-ratio de 4,88). La tranche d'âge 16 - 30 ans était la plus touchée avec 55% (n=55). Les accidents de la voie publique (AVP) représentaient 75% (n=75) des étiologies suivis de la chute de hauteur avec 16%(n=16). Les troubles neurologiques étaient le motif de réalisation de l'examen TDM dans 60%(n=60). Les atteintes rachidiennes étaient reparties comme suite : rachis cervical 43%(n=43), charnière cervico-dorsale 2%(n=2), rachis dorsal 22%(n=22), charnière dorso-lombaire 7%(n=7), rachis lombosacré 26%(n=26). Les lésions instables représentaient 76%(n=76) et les lésions stables 24%(n=24). Les fractures vertébrales représentaient 52%(n=52) suivies par les fractures luxations 46%(n=46).Conclusion : Le scanner est l'examen fondamental à réaliser dans le bilan initial des traumatismes rachidiens afin de préciser le caractère stable ou instable des lésions


Subject(s)
Mali , Spinal Injuries , Spinal Injuries/diagnosis , Tomography, X-Ray Computed
19.
West Afr. j. radiol ; 26(2): 94-99, 2019.
Article in English | AIM | ID: biblio-1273553

ABSTRACT

Background: Commercial motorcycling is a common means of transportation in Nigeria, and motorcycle road traffic accidents (MCRTAs) are commonly associated with multiple skull fractures. Cranial computed tomography (CT) scan is the standard imaging modality of patients with head injury. Aim: The aim of this study is to describe the pattern of skull fractures on cranial CT scan in patients with head injury following MCRTA. Patients and Methods: This was a descriptive cross-sectional study conducted at the University College Hospital, Ibadan, between June and October 2016. Noncontrast cranial CT scan was performed on 190 patients who presented with head injury following MCRTAs. Results: Over half (n = 59.8%) of the patients were within the ages of 20­39 years with a mean age of 33 ± 14.37 years. A total of 183 patients did not use crash helmet at the time of accident, out of which 168 (n = 88.4%) sustained skull fractures. Six different skull fracture patterns were identified on cranial CT scan of these patients. The most common fracture pattern seen was the combined calvarial, facial, and base of skull fractures representing 22.1% while the least fracture pattern was the base of skull fracture (n = 4.7%). Most of the patients with calvarial fractures were without helmet at the time of injury (n = 98.3%) compared to 1.7% of patients who wore helmet at the time of injury. This was statistically significant (P = 0.040). Conclusion: This study further underscores the usefulness of cranial CT scan in identifying and evaluating patients with skull fractures following MCRTA in our environment, thus guiding proper medical and surgical management of such patients in a low-resource setting


Subject(s)
Accidents, Traffic , Motorcycles , Nigeria , Skull Fractures , Tomography, X-Ray Computed , Transportation
20.
SA j. radiol ; 22(1): 1-5, 2018. ilus
Article in English | AIM | ID: biblio-1271344

ABSTRACT

Background: In keeping with radiology departments in tertiary referral hospitals in developing countries offering computed tomography (CT) head scan services, the radiology department at Groote Schuur Hospital (GSH) in the Western Cape of South Africa undertakes several such scans annually. Of these scans, many are undertaken for post-trauma patients with minor head injury (MHI). While there is agreement that MHI patients with Glasgow Coma Scale (GCS)scores of 13­14/15 may well benefit, there is doubt as to the clinical utility of routine CT head scanning in MHI patients with GCS scores of 15/15.Objectives: This retrospective descriptive study of patient records was undertaken to determine the frequency and clinical significance of any abnormalities found on CT head scans of 460 patients with MHI and GCS scores of 15/15, scanned at GSH between 2012 and 2014.Method: Ethical clearance was obtained and the records of 460 MHI patients with GCS scores of 15/15, loss of consciousness (LOC) and amnesia who underwent CT head scanning at GSH between 2012 and 2014 were then retrieved from the Philips picture archiving and communication system (PACS). Patient records, containing illegible referral forms or technically inadequate CT head scans, were excluded from the study. Patients' biographical, clinical and CT head scan data were entered into sequentially numbered data collection forms. These data were tabulated and summed as percentage distributions. Patients' CT head scan findings were reviewed and classified as either showing normal or abnormal features. Abnormalities detected on CT head scans were classified as being either clinically significant or clinically non-significant. Results: Referral forms and CT scan reports were obtained for 460 MHI patients from a sample of 497 patients, calculated by using the equation for estimating a single proportion from a large sample (precision 1.5%). The sample obtained yielded an acceptable response rate of 460/497 (92.6%). Of 460 (100%) scan reports, 320 (69.6%) showed no abnormality, while 140(30.4%) showed abnormality. Of the 140 abnormal scans, 107 (23.3%) showed clinically non-significant abnormality, while 33 (7.2%) revealed clinically significant abnormality. Twenty-two (4.8%) of these clinically significant scans showed brain contusion and 11(2.4%) showed skull fracture. No subdural or extradural haematoma, shift or herniation were reported and none of the 33 patients whose CT scans showed clinically significant abnormality underwent urgent neurosurgical intervention. Conclusion: Of the 460 CT head scans performed at GSH for MHI with LOC but normal GCS between 2012 and 2014, none required urgent neurosurgical intervention. This is in accordance with the 2012 Kimberley Hospital Rule (KHR), a management protocol which indicates that CT head scanning in patients with MHI and GCS scores of 15/15 can safely be delayed for 8 h. An audit of the records of patients excluded from this study coupled with an analysis of data from other Western Cape hospital CT head scan databases could help ensure that this scarce resource is used cost-beneficially for all head-injured patients in the Western Cape catchment area


Subject(s)
Craniocerebral Trauma , Glasgow Coma Scale , Patients , South Africa , Tomography, X-Ray Computed
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