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1.
Afr. j. urol. (Online) ; 17(2): 66-71, 2011.
Article in French | AIM | ID: biblio-1258112

ABSTRACT

Objectifs: Evaluer les resultats de d'uretrorraphie termino-terminale dans le traitement des stenoses de l'uretre bulbaire et membraneux a travers l'etude de la serie de notre service et une revue recente de la litteraturePatients et methodes: Il s'agit d'une etude retrospective basee sur la revue des dossiers medicaux des patients ayant beneficies d'une Uretrorraphie Termino-Terminale (UTT) dans notre formation entre Fevrier 2006 et Fevrier 2010. La moyenne d'age des patients etait de38; 3 ans. L'etiologie du retrecissement uretral etait infectieuse et traumatique respectivement dans 40et 60des cas. Chez 68d'entre eux; le retrecissement uretral etait localise au niveau bulbaire et chez 32au niveau membraneux. Tous les patients avaient une stenoseunique inferieure a 2 cm a l'uretro-cystographie retrograde et mictionnelle.Resultats: La duree moyenne de suivi etait de 28 mois. Le taux de succes de l'uretrorraphie termino-terminale dans notre etude etait de 88. 12des patients avaient presente une recidive de la stenose. Tow patients (8) ayant une stenose bulbaire avaient rapporte des troubles ejaculatoires. Aucun de nos patients (0) n'avait presente ni dysfonction erectile ni incontinence suite a cette intervention.Conclusion: L'uretroplastie anastomotique termino-terminale permet des taux eleves de repermeabilisation uretrale apres une premiere procedure. Le taux de recidive de la stenose reste faible comparativement aux autres techniques chirurgicales. Les troubles ejaculatoires peuvent etre prevenus par une dissection minutieuse et une restitution anatomique des muscles bulbo-caverneux


Subject(s)
Urethral Stricture/etiology , Urethral Stricture/therapy
2.
Afr. j. urol. (Online) ; 16(4): 124-127, 2010.
Article in English | AIM | ID: biblio-1258096

ABSTRACT

Objective: The clinico-pathologic features of urethral stricture in patients with HIV/AIDS are not yet clearly described in the literature. HIV/AIDS has changed the natural course and clinical features of most infectious diseases. We describe some of the features of post-inflammatory strictures associated with HIV Infection and assess the treatment challenges and outcomes of other causes of urethral stricture. Patients and Methods: Consecutive men with urethral stricture who presented to the University Hospital of Gondar; North-West Ethiopia were enrolled. The HIV status; cause of the stricture; type of treatment and outcome were recorded. Results: There were 25 post-traumatic and 15 post-gonococcal urethral strictures. All posttraumatic and 5 of the post-gonococcal urethral stricture patients were HIV negative. All 10 HIV positive patients had longer and denser urethral strictures than expected. The time between gonococcal infection and urethral stricture development was 3-5 years in HIV positive patients. The treatment of post-traumatic stricture included progressive perineal anastomotic urethroplasty and a good outcome was seen in more than 95. However; the surgical treatment of patients with HIV infection was a challenge. Conclusion: If post-inflammatory urethral stricture occurs in a young man where the time between known gonococcal infection and development of stricture is short (less than 5 years); HIV coinfection is most likely. The stricture in these patients will be longer and denser and not amenable to conventional endoscopic urethrotomy


Subject(s)
HIV Seropositivity , Hospitals , Patients , Universities , Urethral Stricture/etiology , Urethral Stricture/therapy
3.
Afr. j. urol. (Online) ; 14(2): 114-119, 2008. ilus
Article in French | AIM | ID: biblio-1258065

ABSTRACT

Evaluer les résultats d'une série homogène de sténoses urétrales traitées de façon univoque par urétrotomie interne endoscopique (UIE) et d'étudier les éléments à valeur prédictive du résultat.Patients et méthodes. Entre 1989 et 2007, 244 patients ont été hospitalisés pour sténose de l'urètre. Ils ont bénéficié d'une UIE sous contrôle de la vue. Résultats.Il y a eu 34,3% de bons résultats après la première UIE. Le recul moyen était de 3,5 ans. La mortalité était nulle et la morbidité était évaluée à 5%. Le résultat était d'autant meilleur que le geste concernait une sténose courte (inférieure à 2 cm), unique sur l'urètre proximal. La durée moyenne du cathétérisme post-opératoire a été de 2 jours; maintenir ce cathétérisme au delà n'a pas apporté d'amélioration significative. Les mauvais résultats (65,6%) ont été rapportés dans les cas de sténose étendue, siégeant sur l'urètre distal ou concernant des patients âgés. 62,5% ont été guéris après une deuxième urétrotomie, les autres cas ont nécessité des séances de dilatations urétrales d'entretien, voire un geste de plastie. Conclusion. L'UIE est une intervention simple, dépourvue de morbidité majeure et ne nécessitant qu'une hospitalisation courte. Avec un taux de succès stable de l'ordre de 75,4% à 3,5 ans, il nous paraît licite de proposer l'UIE en première intention pour toute sténose urétrale courte, unique, proximale et qu'elle survient chez un sujet jeune, sans antécédents urétraux


Subject(s)
Case Reports , Endoscopy , Morocco , Urethral Stricture/diagnosis , Urethral Stricture/etiology
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