Safe duration of silicon catheter replacement in urological patients

Objectives: This study compared the infection rates, degree of encrustation, symptoms, and complications in patients regarding the duration of urethral catheterisation (three weeks, six weeks, and eight weeks). Design: A cross-sectional study with stratified simple random sampling Setting: Urology Unit, Korle Bu Teaching Hospital Participants: One hundred and thirty-seven male patients with long-term urinary catheters Interventions: Participants were grouped into 3 weeks, 6 weeks, and 8 weeks duration of catheter replacementsPrimary outcomes measures: Symptoms due to the urinary catheters, urinalysis, urine and catheter tip cultures, sensitivity, and catheter encrustations were assessed. Results: Eighty-six patients had a primary diagnosis of benign prostatic hyperplasia (BPH), 35 had urethral strictures,13 had prostate cancer, two had BPH and urethral strictures, and one participant had bladder cancer. There was no difference in the symptoms the participants in the different groups experienced due to the urinary catheters (p > 0.05). The frequency of occurrence of complications (pyuria, p = 0.784; blocked catheter, p=0.097; urethral bleeding, p=0.148; epididymo-orchitis, p=0.769 and bladder spasms, p=1.000) showed no differences in the three groups. There was no statistical difference in the urinalysis for the three groups (p>0.05) and the degree of encrustations (3 weeks: 0.03 ± 0.06, 6 weeks: 0.11±0.27 and eight weeks: 0.12 ±0.27) with p=0.065. Conclusions: In this study, the duration of urinary catheterisation using silicone Foley's catheters did not influence the complication and symptom rates; hence silicon catheters can be placed in situ for up to 8 weeks before replacement instead of the traditional three-weekly change.

Prevalence, pattern and determinants of urine abnormalities among school pupils in a semi-urban community

Background:Dipstickurinalysis is a semi-quantitative examination of the urine, whichcan be utilized as a screening and diagnostic tool in children. It is rapid, sensitive, easy to perform and affordable for the resource-poor environment.Objectives:Todescribe the pattern of urinalysis findings using urinary dipsticks and the determinants of urine abnormality among pupils in primary schools in a semi-urban area.Methods:Apparently healthy 387 pupils were recruited from 10 public and 5 private primary schools in IkenneLocal Government Area of Ogun State, Nigeriausing multi-stage and proportionate sampling techniques. Data on demography, nutritional status and urinary examination were obtained using Interviewer-administered questionnaires, clinical examination and dipstick urinalysis respectively. Results:Dipstick urinalysis revealed the following; urine pH and specific gravity were normal in 98.2% and 100.0% of the pupils respectively. Protein, leukocyteesterase, nitrite, bilirubin, urobilinogen, blood and ketones were detected in 18.1%, 15.8%, 14.2%, 3.3%, 2.1%, 0.8%, and 0.5% respectively. Glucose and ascorbic acid were generally absent in the urinesamples. Female gender significantlycontributed to the pattern of urinalysis(leukocyteesterase and nitrites).Proteinuria was most frequent among the underweight (38/70;54.3%). Urine abnormalities were more prevalent among pupils in public schools compared with private schools though not statistically significant, and not influenced by gender.Conclusion:Asymptomatic proteinuria and urinary tract infection are not uncommon among children. Female gender and socio-economic status play a role in the incidence of the conditions

Comparaison de deux techniques de dépistage urinaire du 11-nor-9-carboxy-delta 9­tetrahydrocanabinol (THC-COOH): Immunochimie (EMIT) versus chromatographie en phase gazeuse couplée à la spectrométrie de masse (CPG-SM)

Introduction: La consommation du cannabis est un fléau social dont les effets psychiques dominent sa toxicité. Une analyse toxicologique fiable avec une technique performante s'avère indispensable pourun diagnostic rapide et correct de la toxicomanie en particulier chez les jeunes.Objectif: Comparer les performances de l'immuno-analyse (EMIT) et la chromatographie en phase gazeuse couplée à la spectrométrie de masse (CPG-SM); utilisées pour le dépistage urinaire du11-nor-9-carboxy-delta 9-tetrahydrocanabinol (THC-COOH).Matériel & Méthodes: 42échantillons urinaires provenant des consultants du centre de psychiatrie ont été soumis à un dépistage du THC-COOH par EMIT et CPG-SM.Résultats: L'analyse des urines par EMIT a révélé 12 cas positifs (29%) et 30 négatifs (71%), par contre celle par CPG-SM a donné 13 cas positifs (31%) et 29 négatifs (69%). L'étude comparative entre les deux techniques a montré 5 faux positifs (11,91%) et 6 faux négatifs (14,28%).Discussion: 7 cas positifs (16,67%) et 24 négatifs (57,14%) par les deux techniques analytiques, 6 cas négatifs par EMIT et positifs par CPG-SM (14,28%) et 5 cas positifs par EMIT et négatifs par CPG-SM (11,91%).La sensibilité à 53% s'explique par le cut-off de l'EMIT à 50 ng/mL. EMIT présente une spécificitéde17% liée aux réactions croisées.Conclusion: L'importance des réactions croisées avec EMIT illustre la nécessité d'une démarche de confirmation d'un résultat positif au THC-COOH par CPG-SM car elle est plus spécifique et plus sensible. Les performances des techniques utilisées dans les laboratoires de toxicologie doivent être parfaitement maîtrisées en vue d'une interprétation correcte

Evaluation du premier jet d'urine dans la detection de Neisseria gonorrhoeae chez des patients paucisymptomatiques a Abdidjan (Cote d'Ivoire)

Il existe differentes methodes de diagnostic sur differents types de prelevement pour mettre en evidence Neisseria gonorrhoeae. Le prelevement de premier jet d'urine presente l'avantage d'etre non invasif; facilement reproductible et est deja utilise dans la detection de N. gonorrhoeae par des techniques moleculaires. L'objectif de cette etude etait d'evaluer le premier jet d'urine dans la detection de N. gonorrhoeae par les methodes classiques de bacteriologie chez des patients paucisymptomatiques. Elle a porte sur les prelevements de premier jet d'urine et de secretions uretrales de 87 patients de sexemasculin recus pour le diagnostic etiologique d'un syndrome d'infections sexuellement transmissibles. Un examen direct du frottis colore par la technique de Gram et des cultures sur le milieu de Thayer et Martin modifie et sur gelose au sang cuit enrichie en polyvitamines ont ete realises sur chacun des echantillons. La frequence des uretrites etait de 58;0. La gonococcie representait 7;5des cas. Le premier jet d'urines avait une sensibilite de 85;7et une specificite de 97;5dans la mise en evidence des diplocoques Gram negatif a l'examen direct. Par contre; il etait moins sensible que le prelevement de secretions uretrales dans la mise en evidence des uretrites microscopiques (sensibilite de 44;4et specificite de 100) et de la flore uretrale d'accompagnement (sensibilite de 59et specificite de 96;9). Les bonnes performances du premier jet d'urines dans la mise en evidence microscopique des diplocoques Gram negatif pourraient justifier son utilisation dans la detection deNeisseria gonorrhoeae dans un laboratoire de niveau 1. Il pourrait egalement etre utilise dans les etudes epidemiologiques et dans les enquetes de depistage a grande echelle

Contribution a l'etude des infections urinaires de l'adulte noir africain en milieu hospitalier a Abidjan

Nous avons realise une etude retrospective de 250 cas d'infections urinaires recenses sur une periode de 5 ans (1998 a 2003) en milieu hospitalier a Abidjan; dans le but de determiner le profil epidemiologique; clinique; biologique ; evolutif et therapeutique de l'adulte noir africain Ce sont des malades hospitalises en Option : Medecine interne ayant beneficie d'un ECBU realise au laboratoire central. Les donnees relatives a chaque patient ont ete collectees a l'aide d'une observation planifiee puis saisies et traitees sur le logiciel EPI-INFO version 6.04. L'analyse des resultats de ce travail nous ~mene aux observations suivantes: -une frequence hospitaliere de 3;42pour cent; -une surmorbidite feminine (84;4pour cent); -une symptomatologie urinaire a type de pyurie (34;8pour cent); pollakiurie (19;4pour cent) et brulure mictionnelle (14;4pour cent); -une bacteriurie asymptomatique (76;8pour cent); une cystite (8pour cent); une pyelonephrite (6pour cent); une prostatite (4;8pour cent) et un syndrome uretral (3;2pour cent) etaient les differentes formes cliniques passees en revue; -une etiologie representee par E.Coli (28pour cent); Klebsiella pneumonia (21;6pour cent) et Candida albicans (20pour cent); -une antibiotherapie basee preferentiellement sur les quinolones et les cephalosporines a cause de leur grande sensibilite