Pyélolithotomie par chirurgie ouverte (PLCO) par lombotomie: indications et résultats au service d'urologie du CHU de Conakry / Pyelolithotomy: Indications and Results at the Urology Department of the Conakry University Hospital

Objectif. Le but de cette étude était d'évaluer les résultats de la pyélolithotomie par chirurgie ouverte au service d'Urologie de l'hôpital national Ignace Deen, CHU de Conakry. Méthodes. Il s'agissait d'une étude prospective et descriptive portant sur les patients opérés de lithiase pyélique du 1er janvier 2018 au 31 décembre 2020. Les variables étudiées étaient sociodémographique, clinique, paraclinique et thérapeutique. Résultats. Dans notre étude la lithiase pyélique a occupé la première place parmi les lithiases du haut appareil urinaire n=50 (56%) et le deuxième rang par rapport à l'ensemble des calculs urinaires n=28 (29,9%). La tranche d'âge la plus touchée était celle de 31 à 40 ans avec 32,1%. Le sexe ratio était de 18 hommes pour 10 femmes. La douleur lombaire était le principal motif de consultation. L'examen cytobactériologique des urines a mis en évidence une infection chez 24 patients soit 85,7%. L'UIV avait permis de poser le diagnostic dans 85,7% des cas. La taille moyenne des calculs était de 24,1 ± 6,7 mm de diamètre. La durée moyenne d'intervention était de 103±38mn. En peropératoirenous avons enregistré deux cas d'ouverture accidente du péritoine, un cas d'avulsion de l'uretère, et un cas de lésion du pelvis rénal. La principale complication post-opératoire, était l'infection du site opératoire dans 28,6% des cas Conclusion. La pyélolithotomie par chirurgie ouverte garde encore ses indications dans certains pays du tiers monde comme le nôtre. De nos jours elle est de plus en plus rare au profi t des techniques mini- invasives (LEC ; Endo- urologie)

Maternal-fetal prognosis of obstetric emergencies at the maternity ward of the Mamou regional hospital

Background: Pregnant women may be at risk of unpredictable obstetric complications such as: bleeding, dystocia, acute fetal suffering, pre-eclampsia and eclampsia. This maternal-fetal prognosis of obstetric emergencies is influenced by factors that are most often related to complications that alter the course or outcome of a pregnancy and require prompt care. The objectives of this study are to analyze the factors that influence the maternal-fetal prognosis of obstetric emergencies; determine their frequency, describe the clinical profiles of patients and evaluate the maternal-fetal prognosis.Methods: The study was conducted at the Mamou Regional Hospital. It was a 6-month quantitative, descriptive and analytical study, from July 1st to December 31st, 2016, including all parturient women whose term is greater than or equal to 28 weeks of amenorrhoea.Results: The study covered 377 obstetric emergencies out of a total of 1273 deliveries, or 29.61%. Factors influencing the prognosis were: young age, parity, unfavorable socio-economic conditions and difficult baseline conditions. The main obstetric emergencies recorded were acute fetal suffering, disproportion and narrowed pelvis. The dominant mode of delivery was caesarean section with a frequency of 89.65%. Maternal lethality is 3.44% and fetal lethality is 5.14%.Conclusions: Obstetric emergency is a frequent situation where better management would improve the prognosis of the mother and fetus.

Kyste valléculaire symptomatique de l'adulte. A propos d'un cas

Les kystes valléculaires encore appelés kystes épiglottiques ou kystes basi-linguaux sont des kystes canalaires qui traduisent l'obstruction et la rétention de mucus au niveau des canaux excréteurs, des glandes sous-muqueuses. Ils peuvent se manifester chez le nouveau-né par une détresse respiratoire aiguë, chez l'adulte ils sont le plus souvent asymptomatiques et sont découverts lors d'une laryngoscopie indirecte ou lors d'une intubation.L'objectif de ce travail était de rapporter un cas de kyste valléculaire symptomatique chez un adulte de 50 ans pris en charge au service d'ORL et de chirurgie cervico-faciale de Hôpital Général de Grand Yoff, Dakar, Sénégal. La nasofibroscopie a objectivé une formation kystique arrondie siégeant au niveau de la vallécule gauche. La tomodensitométrie cervico-faciale a mis en évidence une masse valléculaire gauche hypodense homogène plaquant l'épiglotte contre le plan glottique. Au plan thérapeutique, nous avions effectué une ponction première du kyste suivie de son exérèse complète par électrocoagulation de la base d'implantation. Les suites opératoires étaient simples

Corps étrangers laryngo-trachéo-bronchiques : à propos de 130 cas

Objectifs : Les objectifs de notre étude étaient de décrire les aspects épidémiologiques, diagnostiques et thérapeutiques des corps étrangers des voies respiratoires inférieures à la clinique d'ORL et de chirurgie cervico-faciale du centre Hospitalier National et Universitaire de Fann. Patients et méthodes : Il s'agit d'une étude rétrospective, couvrant la période du 1er janvier 2011 au 31 décembre 2013. Nous avons colligé, durant cette période, 130 dossiers de patients âgés de moins de 18 ans qui étaient reçus pour inhalation de corps étrangers. Les endoscopies blanches étaient exclues. Les paramètres étudiés étaient : l'âge, le sexe, la présence ou non d'un syndrome de pénétration, les signes fonctionnels, le délai de consultation, le traitement effectué, la localisation endoscopique, la nature du corps étranger, les données de l'imagerie, l'indication de la trachéotomie et les complications. L'analyse des données était effectuée avec le logiciel Sphinx Lexica V 4.5 2003. Résultats : L'âge moyen de nos patients était de 3,84 ans avec des extrêmes allant de 4 mois à 17 ans. Une prédominance féminine était notée avec un sex-ratio de 0,91. Les patients évacués d'autres pays représen- taient 6,9% des cas. Le délai moyen de consultation était de 8,05 jours. Le syndrome de pénétration était retrouvé dans 78,5% des cas. La radiographie standard mettait en évidence un corps étranger radio-opaque dans 33,1% des cas. La localisation laryngée était la plus fréquente, elle représentait 26,7% des cas. La graine d'arachide était le corps étranger le plus fréquemment retrouvé soit 39,2%. Onze patients étaient trachéotomisés. Quatre cas de décès ont été rapportés soit 3% des cas.Conclusion : L'inhalation d'un corps étranger est un problème de santé publique. L'augmentation de l'incidence de cet accident et la transition épidémiologique impose une meilleure prévention

Tolérance et observance aux ARVs chez les personnes vivant avec le VIH suivis au service des maladies infectieuses de l'hôpital national Donka de Conakry, Guinée

Introduction : L'initiative Guinéenne d'accès aux ARV promulguée en 2003, a apporté un véritable élan de prise de conscience sur la nécessité que toutes les Personnes Vivant avec le VIH (PVVIH) du pays accèdent à un traitement. Les objectifs de ce travail étaient de déterminer la fréquence des effets indésirables (EI) survenus chez les PVVIH en fonction des régimes thérapeutiques, d'évaluer le niveau d'observance ainsi que d'identifier les facteurs associés à l'inobservance aux ARV.Matériels et méthodes : Il s'agissait d'une étude transversale qui s'est déroulée du 1er juillet au 30 septembre 2014 dans le service des maladies infectieuses de l'hôpital National Donka de Conakry. Pour une file active de 2341 PVVIH, 2118 étaient sous ARV (90,47%). Seuls 1325 (56,6%) répondaient à nos critères d'inclusion.Résultats : La moyenne d'âge était de 37,8 ± 11,1 ans et 67,3% était des femmes. L'AZT+3TC+NVP (59,9%) suivi de TDF+3TC+EFV (28,2%) étaient les principaux schémas thérapeutiques prescrits. La durée du traitement était inférieure à un an chez 30,7%, comprise entre 1 et 5 ans chez 62,4%. Les effets indésirables du traitement ont été retrouvés chez 13,4% des patients. L'anémie, le rash cutané, la fièvre étaient les principaux effets indésirables retrouvés chez les patients sous AZT+3TC+NVP. Ceux soumis à l'AZT+3TC+EFV présentaient essentiellement une anémie. L'inobservance globale au traitement a été rapportée chez 15,8% des patients. Les principaux facteurs associés à cette inobservance étaient la durée du traitement (p = 0,009) et l'altération de l'état général (p = 0,000001). Conclusion : Le maintien voire l'amélioration de ces résultats nécessite une surveillance régulière des effets indésirables ainsi que de l'observance

Design and challenges of a randomized controlled trial for reducing risk factors of metabolic syndrome in Mexican women through water intake / Diseño y retos de un ensayo clínico aleatorizado para reducir el riesgo de síndrome metabólico en mujeres mexicanas mediante consumo de agua

Objective. To describe the design, methods, and challenges encountered during a randomized clinical trial aimed to promote water intake for reducing risks of metabolic syndrome in Mexican women. Materials and methods. In a randomized clinical trial in Cuernavaca, Mexico, overweight and obese (body mass index [BMI] ≥ 25 < 39) women, 18 - < 45 years old with an intake of sugar-sweetened beverages ≥ 250 kilocalories per day (kcal/day) were randomly allocated to the water and education provision group (n = 120) or the education provision only group (n = 120). Results. We screened 1 756 women. The main difficulties encountered were identifying participants with the recruitment criteria, delivering water to participants, and the time demanded from the study participants. Conclusions. The trial's main challenges were difficulties surrounding recruitment, delivery of the intervention, and the time demanded from the study participants. Modifications were effectively implemented without jeopardizing the original protocol.

Objetivo. Describir el diseño, métodos y dificultades logísticas enfrentadas durante un ensayo clínico aleatorizado con el objetivo de promover el aumento en el consumo de agua para reducir el riesgo metabólico en mujeres obesas. Material y métodos. Ensayo clínico aleatorizado, desarrollado en Cuernavaca, México. Mujeres con IMC ≥ 25 y < 39, entre 18 y < 45 años, con consumo de bebidas azucaradas ≥ 250 kcal/día, se asignaron aleatoriamente a a) grupo de agua y educación nutricional (n = 120), o b) educación nutricional únicamente (n = 120). Resultados. Se realizaron pruebas de tamizaje a 1 756 mujeres. Las principales dificultades para el desarrollo del estudio fueron identificar participantes que cumplieran criterios del estudio, entrega de agua y tiempo invertido por las participantes en actividades del proyecto. Conclusiones. Los retos del proyecto estuvieron relacionados con el reclutamiento, entrega de la intervención y demanda de tiempo a las participantes. Se implementaron modificaciones sin afectar la validez del estudio.

A Systematic Review and Meta-Analysis of the Incidence of Paravalvular Leak Incidence Post Procedure, Six Months and One-Year Following TAVI.

Aims: Paravalvular regurgitation (PVR) post transcatheter aortic valve implantation (TAVI) is associated with poor survival however considerable variability exists between incidences of PVR in current literature. The primary aim of this study was to establish the incidence of PVR post-procedure, at 6-months and 1-year following TAVI. The secondary aims of this study were to review the impact of moderate to severe PVR on mortality and examine strategies employed to reduce PVR. Methods: PubMed searches included articles detailing paravalvular leak rates post TAVI published between 2002 and 2013. A systematic review and meta-analysis of current literature to identify PVR incidence at three time points was performed using the random effects model of DerSimonian and Laird. A total of 19 studies were identified. For post procedure to 30 days, six months and one year; 7,652, 3,340 and 3,673 patients were included in the analysis of incidence of PVR. Results: The pooled analysis of PVR incidence was 8.21, 10.2 and 10.98% in each group respectively. Moderate-severe PVR is associated with an increased risk of mortality in all studies reviewed. Management strategies include balloon valvuloplasty, transcatheter aortic valve implantation-in-transcatheter aortic valve (TAVI-in-TAV), valve repositioning and the use of occlusion devices. Conclusion: Moderate-severe PVR occurs in approximately one in ten patients directly following TAVI and does not appear to change significantly in the first year. A number of feasible strategies can be employed to treat PVR. Consideration should be given to the development of early-intervention management algorithms for this patient cohort in order to improve survival post TAVI.

An Efficient Method to Prepare PCR Cloning Vectors

An improved procedure for preparing PCR cloning vectors was developed. This procedure includes the incorporation of adapters to create XcmI restriction enzyme sites in pBluescript II SK(+) vectors, digestion with XcmI followed by further digestion of the small fragment produced by XcmI digestion with additional enzymes, and purification with PCR purification kits. Using this procedure, PCR cloning vectors with high ligation efficiencies and low blue or false-positive colonies were obtained.

Le noma chez les enfants infectes par le VIH au CHU de Conakry: 5 cas

Les objectifs de cette etude etaient de decrire les aspects cliniques et therapeutiques chez 5 enfants atteints d'un noma revelateur d'une immunodepression par infection au VIH. Les malades ages entre 4 et 6 ans; ont ete recrutes entre fevrier 1999 et mai 2004. Le noma etait dans tous les cas localise au niveau de la region commisuro-jugale ou jugale. Les manifestations bucco-cervicales du VIH rencontrees etaient: la candidose et les adenopathies cervicales. Un traitement medical a base d'antibiotique (Ampiclline - 100mg/kg/jour en 3 prise par voie IV; Metronidazole 40 mg/kg/jour en 3 injections en intraveineuse par jour) combine a une chirurgie conservatrice a permis de limiter la destruction massive des tissus de la face et d'obtenir une cicatrisation des plaies par seconde intention. Tous les patients sont decedes d'infection opportuniste en l'absence de possibilite de traitement anti-retroviral et compte tenu du stade evolue du SIDA

Consumo de bebidas para una vida saludable: recomendaciones para la población mexicana / Drink consumption for a healthy life: recommendations for the general population in Mexico

El Secretario de Salud convocó al Comité de Expertos para la elaboración de las “Recomendaciones sobre el consumo de bebidas para la población mexicana”; la finalidad fue desarrollar lineamientos basados en evidencia científica para los consumidores, los profesionales de la salud y el sector gubernamental. Las prevalencias de sobrepeso, obesidad y diabetes han aumentado con rapidez en México y las bebidas representan la quinta parte de la energía que consumen los mexicanos. La evidencia señala que las bebidas con aporte energético incrementan el riesgo de obesidad. Considerando los beneficios y riesgos para la salud y nutrición, así como el patrón de consumo de las bebidas en México, el Comité clasificó las bebidas en seis categorías de acuerdo con su contenido energético, valor nutricio y riesgos a la salud, en una escala que clasifica las bebidas de la más (nivel 1) a la menos (nivel 6) saludable. Nivel 1: agua potable; nivel 2: leche baja en grasa (1%) y sin grasa y bebidas de soya sin azúcar; nivel 3: café y té sin azúcar; nivel 4: bebidas no calóricas con edulcorantes artificiales; nivel 5: bebidas con alto valor calórico y beneficios a la salud limitados (jugos de fruta, leche entera, licuados de fruta con azúcar o miel, bebidas alcohólicas y bebidas deportivas); y nivel 6: bebidas con azúcar y bajo contenido de nutrimentos (refrescos y otras bebidas con altas cantidades de azúcares agregadas como jugos, aguas frescas, café y té). El Comité recomienda el consumo de agua en primer lugar, seguido de bebidas sin o con bajo aporte energético y leche descremada. Éstas deben tener prioridad sobre las de mayor aporte energético o endulzadas, incluso con edulcorantes artificiales. Se presentan cantidades recomendadas para cada categoría de bebidas y se ilustran patrones de consumo saludable para adultos de ambos sexos.

The Expert Committee in charge of developing the Beverage Consumption Recommendations for the Mexican Population was convened by the Ministry of Health with the aim of drafting evidence-based guidelines for consumers, health professionals, and government officials. The prevalence of overweight, obesity and diabetes have dramatically increased in Mexico; beverages contribute a fifth of all calories consumed by Mexicans. Extensive research has documented that caloric beverages increase the risk of obesity. Taking into consideration multiple factors, including health benefits, risks, and nutritional implications associated with beverage consumption, as well as consumption patterns in Mexico, the committee classified beverages in six categories. Classifications were made based on caloric content, nutritional value, and health risks associated with the consumption of each type of beverage. Ranges included healthier (level 1) to least healthy (level 6) options as follows: Level 1: water; Level 2: skim or low fat (1%) milk and sugar free soy beverages; Level 3: coffee and tea without sugar; Level 4: non-caloric beverages with artificial sweeteners; Level 5: beverages with high caloric content and limited health benefits (fruit juices, whole milk, and fruit smoothies with sugar or honey; alcoholic and sports drinks), and Level 6: beverages high in sugar and with low nutritional value (soft drinks and other beverages with significant amounts of added sugar like juices, flavored waters, coffee and tea). The committee recommends the consumption of water as a first choice, followed by no or low-calorie drinks, and skim milk. These beverages should be favored over beverages with high caloric value or sweetened beverages, including those containing artificial sweeteners. Portion size recommendations are included for each beverage category together with healthy consumption patterns for men and women.

Consumo de bebidas para una vida saludable: recomendaciones para la población mexicana / Beverage consumption for a healthy life: recommendations for the Mexican population

El Secretario de Salud convocó al Comité de Expertos para la elaboración de las ''Recomendaciones sobre el consumo de bebidas para la población mexicana''; la finalidad fue desarrollar lineamientos basados en evidencia científica para los consumidores, los profesionales de la salud y el sector gubernamental. Las prevalencias de sobrepeso, obesidad y diabetes han aumentado con rapidez en México y las bebidas representan la quinta parte de la energía que consumen los mexicanos. La evidencia señala que las bebidas con aporte energético incrementan el riesgo de obesidad. Considerando los beneficios y riesgos para la salud y nutrición, así como el patrón de consumo de las bebidas en México, el Comité clasificó las bebidas en seis categorías de acuerdo con su contenido energético, valor nutricio y riesgos a la salud en una escala que clasifica las bebidas de lamas (nivel 1) a la menos (nivel 6) saludable. Nivel 1: agua potable; nivel 2: leche baja en grasa (1%) y sin grasa y bebidas de soya sin azúcar; nivel 3: café y té sin azúcar; nivel 4: bebidas no calóricas con edulcorantes artificiales; nivel 5: bebidas con alto valor calórico y beneficios a la salud limitados (jugos de fruta, leche entera, licuados de fruta con azúcar o miel, bebidas alcohólicas y bebidas deportivas); y nivel 6: bebidas con azúcar y bajo contenido de nutrimentos (refrescos y otras bebidas con altas cantidades de azúcares agregadas como jugos, aguas frescas, café y té). El Comité recomienda el consumo de agua en primer lugar, seguido de bebidas sin o con bajo aporte energético y leche descremada. Éstas deben tener prioridad sobre las de mayor aporte energético o endulzadas, incluso con edulcorantes artificiales. Se presentan cantidades recomendadas para cada categoría de bebidas y se ilustran patrones de consumo saludable para adultos de ambos sexos.

The Expert Committee in charge of developing the Beverage Consumption Recommendations for the Mexican Population was convened by the Secretary of Health for the purpose of developing evidence-based guidelines for consumers, health professionals, and government officials. The prevalence of over-weight, obesity and diabetes have dramatically increased in México; beverages contribute a fifth of all calories consumed by Mexicans. Extensive research has found that caloric beverages increase the risk of obesity. Taking into consideration multiple factors, including the health benefits, risks, and nutritional implications associated with beverage consumption, as well as consumption patterns in México, the committee classified beverages into 6 levels. Classifications were made based on caloric content, nutritional value, and health risks associated with the consumption of each type of beverage and range from the healthier (level 1) to least healthy (level 6) options, as follows: Level 1: water; Level 2: skim or low fat (1%) milk and sugar free soy beverages; Level 3: coffee and tea without sugar; Level 4: non-caloric beverages with artificial sweeteners; Level 5: beverages with high caloric content and limited health benefits (fruit juices, whole milk, and fruit smoothies with sugar or honey; alcoholic and sports drinks), and Level 6: beverages high in sugar and with low nutritional value (soft drinks and other beverages with significant amounts of added sugar like juices, flavored waters, coffee and tea). The committee recommends the consumption of water as a first choice, followed by no or low-calorie drinks, and skim milk. These beverages should be favored over beverages with high caloric value or sweetened beverages, including those containing artificial sweeteners. Portion size recommendations are included for each beverage category and healthy consumption patterns for men and women are illustrated.

Consumo de bebidas para una vida saludable: recomendaciones para la población mexicana / Beverage consumption for a healthy life: recommendations for the Mexican population

El secretario de Salud convocó al Comité de Expertos para la elaboración de las "Recomendaciones sobre el consumo de bebidas para la población mexicana"; la finalidad fue desarrollar lineamientos basados en evidencia científica para los consumidores, los profesionales de la salud y el sector gubernamental. Las prevalencias de sobrepeso, obesidad y diabetes han aumentado con rapidez en México y las bebidas representan la quinta parte de la energía que consumen los mexicanos. La evidencia señala que las bebidas con aporte energético incrementan el riesgo de obesidad. Considerando los beneficios y riesgos para la salud y nutrición, así como el patrón de consumo de las bebidas en México, el Comité clasificó las bebidas en seis categorías de acuerdo con su contenido energético, valor nutricio y riesgos a la salud en una escala que clasifica las bebidas de la más (nivel 1) a la menos (nivel 6) saludable. Nivel 1: agua potable; nivel 2: leche baja en grasa (1 por ciento) y sin grasa y bebidas de soya sin azúcar; nivel 3: café y té sin azúcar; nivel 4: bebidas no calóricas con edulcorantes artificiales; nivel 5: bebidas con alto valor calórico y beneficios a la salud limitados (jugos de fruta, leche entera, licuados de fruta con azúcar o miel, bebidas alcohólicas y bebidas deportivas); y nivel 6: bebidas con azúcar y bajo contenido de nutrimentos (refrescos y otras bebidas con altas cantidades de azúcares agregadas como jugos, aguas frescas, café y té). El Comité recomienda el consumo de agua en primer lugar, seguido de bebidas sin o con bajo aporte energético y leche descremada. Éstas deben tener prioridad sobre las de mayor aporte energético o endulzadas, incluso con edulcorantes artificiales. Se presentan cantidades recomendadas para cada categoría de bebidas y se ilustran patrones de consumo saludable para adultos de ambos sexos.

The Expert Committee in charge of developing the Beverage Consumption Recommendations for the Mexican Population was convened by the Secretary of Health for the purpose of developing evidence-based guidelines for consumers, health professionals, and government officials. The prevalence of overweight, obesity and diabetes have dramatically increased in Mexico; beverages contribute a fifth of all calories consumed by Mexicans. Extensive research has found that caloric beverages increase the risk of obesity. Taking into consideration multiple factors, including the health benefits, risks, and nutritional implications associated with beverage consumption, as well as consumption patterns in Mexico, the committee classified beverages into six levels. Classifications were made based on caloric content, nutritional value, and health risks associated with the consumption of each type of beverage and range from the healthier (level 1) to least healthy (level 6) options, as follows: Level 1: water; Level 2: skim or low fat (1 percent) milk and sugar free soy beverages; Level 3: coffee and tea without sugar; Level 4: non-caloric beverages with artificial sweeteners; Level 5: beverages with high caloric content and limited health benefits (fruit juices, whole milk, and fruit smoothies with sugar or honey; alcoholic and sports drinks), and Level 6: beverages high in sugar and with low nutritional value (soft drinks and other beverages with significant amounts of added sugar like juices, flavored waters, coffee and tea). The committee recommends the consumption of water as a first choice, followed by no or low-calorie drinks, and skim milk. These beverages should be favored over beverages with high caloric value or sweetened beverages, including those containing artificial sweeteners. Portion size recommendations are included for each beverage category and healthy consumption patterns for men and women are illustrated.

Les ruptures traumatiques de l'uretre posterieur : analyse de 87 cas au CHU de Conakry

Objectif : Rapporter notre experience dans la prise en charge des ruptures traumatiques de l'uretre posterieur. Patients et methodes : Quatre-vingt-sept patients presentant une rupture traumatique de l'uretre posterieur ont ete traites dans le service d'Urologie-Andrologie du CHU de Conakry de janvier 1988 a decembre 2004. Le contexte traumatique a ete un accident de la voie publique dans 68 (78;2) cas et un accident de travail dans 19 (21;8) cas. Seuls 32 (36;8) des patients ont ete recus dans les 72 heures qui ont suivi le traumatisme; les autres ont ete recus au stade de stenose uretrale constituee. Une fracture du bassin a ete notee chez 56 (64;4) patients. La symptomatologie clinique etait dominee par la retention d'urine dans 62 (71;3); l'uretrorragie dans 59 (67;8) et l'hematome perineal dans 23 (26;4) cas. Resultats : Le traitement a consiste en un realignement sur sonde uretrale en urgence; une reparation uretrale en urgence differee entre le 8e et le 10e jour et une uretroplastie tardive selon qu'il s'agissait d'une rupture recente ou ancienne de l'uretre. Les resultats therapeutiques ont ete bons dans 32 (36;8) et moyens dans 39 (44;8) cas. Une dysfonction erectile a ete notee chez 19 (21;8) patientsConclusion : Le traitement des ruptures de l'uretre posterieur demeure controverse; cependant pour nous; l'uretrorraphie termino-terminale en urgence differee reste la methode therapeutique de choix dans notre contexte devant l'impossibilite de pouvoir realiser un realignement endoscopique et en l'absence de lesions associees severes. Devant des lesions associees graves la refection uretrale passe au second plan cedant la priorite aux lesions engageant le pronostic vital

Preditores economicos e socioculturais para sobrepeso de mulheres brasileiras em áreas rurais e urbanas / Economic and cultural-educational predictors of overweight in urban and rural brazilian women

Casuística: amostra aleatória da populaçäo feminina (20-49 anos), com pelo menos um filho menor de cinco anos (2.439 mulheres, 1.907 de áreas urbanas e 532 de áreas rurais). Objetivo: avaliar o efeito independente de variáveis economicas e educacionais-culturais sobre o risco de sobrepeso. Métodos: a variávais explanatórias consideradas foram o número de bens no domicílio e categoria de ocupaçäo (preditores economicos) e anos de escolaridade e hábito de ler jornais e de ver programas informativoa-educativos na TV (educacionais-culturais). As variáveis-controle: idade, paridade e raça. Resultados: prevalências em torno de 35 porcento de sobrepeso foram encontradas nos dois meios. No meio rural, quanto maior o número de bens, maior o risco de sobrepeso. Para as mulheres urbanas (cerca de 80 porcento da populaçäo feminina do país), a proteçäo contra a obesidade näo advém mais da pobreza, mas da educaçäo e acesso a informaçöes.(au)

Da desnutricäo para a obesidade: a transiçäo nutricional no Brasil / From malnutrition to obesity: the nutritional transition in Brazil

Investiga aspectos da transiçäo nutricional tal como observada no Brasil nas últimas décadas, envolvendo crianças e adultos, homens e mulheres, ricos e pobres