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1.
Mali méd. (En ligne) ; 39(1)2024. tables
Article in French | AIM | ID: biblio-1554335

ABSTRACT

Introduction : La maladie thromboembolique veineuse (MTEV) regroupe : la thrombose veineuse profonde(TVP) et l'embolie pulmonaire(EP).Ce travail a été initié pour identifier les particularités féminines si elles existent. Matériels et Méthode : il s'agissait d'étude rétrospective, descriptive réalisée dans le service de cardiologie du CHU de Kati sur une période allant du 01 janvier 2014 au 31 décembre 2021. Ont été inclues les patientes hospitalisées durant la dite période pour maladie thromboemboliqueveineuse. Les variables étudiées étaient les données sociales démographiques, les facteurs de risque, les paramètres cliniques et paracliniques, les aspects thérapeutiques et évolutifs. Résultats : Au total nous avons enregistré 68 cas de MTEV dont 40 (58,8%) femmes. Il s'agissait 12 (30%) cas de TVP, 25 (62,5%) d'EP et leur association dans 3 (7,5%) cas. La majorité (82,5%) des patientes était des femmes au foyer.Le post partum représentait 10% des cas. La probabilité clinique, selonle score de Wells était élevée chez 93% des TVP, intermédiaire pour les cas d'embolie pulmonaire avec 50%. L'angioscanner révélait que l'embolie pulmonaire était bilatérale dans 80% des cas. L'héparine et l'AVK ont été les plus utilisés. La mortalité était de 7,5%. Conclusion : les femmes sont plus victime des maladies thromboemboliques veineuses que les hommes. Le post partum est une situationparticulière chez la femme. Les récidives ne sont pas rares


Introduction: Venous thromboembolic disease (MTEV) includes: deep venous thrombosis (DVT) and pulmonary embolism (PE).This work was initiated to identify the female particularities if they exist.Materials and Method: This was a retrospective, descriptive study conductedin the cardiology department of the Kati university hospital over a period from January 01, 2014 to December 31, 2021.Patients hospitalized during the period for venousthromboembolic disease were included.The variables studied were demographic social data, risk factors, clinical and para-clinical parameters, therapeutic and evolutionary aspects. Results: In total we recorded 68 cases of MTEV of which 40 (58.8%) women. There were 12 (30%) cases of deep vein thrombosis, 25 (62.5%) cases of pulmonary embolism and their association in 3 (7.5%) cases.The majority (82.5%) of patients were housewives.Thepostpartum accounted for 10% of cases.The clinical probability according to the Wells score was high in 93% of deep vein thrombosis, intermediate for cases of pulmonary embolism with 50%.Angio-CT showed that pulmonary embolism was bilateral in 80% of cases. Heparin and anti-vitamin K were the most commonly used. Mortality was 7.5%. Conclusion: women are more victims of venous thromboembolic diseases than men. Postpartum is a special situation for women. Recurrences are not uncommon

2.
Rev. int. sci. méd. (Abidj.) ; 5(2): 203-207, 2023. tables
Article in French | AIM | ID: biblio-1517217

ABSTRACT

Introduction. Le VIH/SIDA est à l'origine d'un grand nombre de manifestations biologiques à titre de troubles hématologiques graves pouvant atteindre toutes les lignées sanguines. L'objectif de cette étude était de mettre en évidence les anomalies de l'hémogramme chez les PVVIH à Nzérékoré afi n de contribuer à une meilleure prise en charge. Méthodes. Il s'agissait d'une étude prospective de type descriptif à visée analytique d'une durée de 6 mois allant du 25 février au 25 août 2021 sur les PVVIH dans le service de médecine générale de l'Hôpital régional de Nzérékoré. Résultats. Durant notre étude, la prévalence hospitalière du VIH au service de médecine générale de l'hôpital régional de Nzérékoré était de 20,34%. L'âge moyen était de 36,98 ans, le sexe féminin prédominait avec un sex-ratio de 0,74 ; majoritairement mariés (53,33%) et ménagères (41,66%). Les anomalies hématologiques les plus représentées étaient l'anémie (95%) et la lymphopénie (77,5) dont la majorité était au stade III et IV. Conclusion. Le VIH/SIDA reste un problème de santé publique. Son évolution est liée à des anomalies aussi cliniques que biologique imposant un suivi régulier et adéquat


Introduction. HIV/AIDS is the cause of a large number of biological manifestations as serious hematological disorders that can affect all blood lines. The objective of this study was to highlight blood count abnormalities in PLWHA in Nzérékoré in order to contribute to better management. Methods. This was a prospective descriptive study with an analytical aim, lasting 6 months from February 25 to August 25, 2021, on PLHIV in the general medicine department of the Nzérékoré regional hospital.. Results. During our study, the hospital prevalence of HIV in the general medicine department of the regional hospital of Nzérékoré was 20.34%. The average age was 36.98 years, the female sex predominated with a sex ratio of 0.74; the majority were married (53.33%) and housewives (41.66%). The most common hematological abnormalities were anemia (95%) and lymphopenia (77.5), the majority of which were stage III and IV. Conclusion. HIV/AIDS remains a public health problem. Its evolution is linked to both clinical and biological abnormalities requiring regular and adequate follow-up.


Subject(s)
Male , Female
3.
Health sci. dis ; 24(1): 82-87, 2023. figures, tables
Article in French | AIM | ID: biblio-1411399

ABSTRACT

Introduction. Les hémopathies malignes sont des proliférations anormales et anarchiques de cellules hématopoïétiques à point de départ médullaire ou périphérique. Notre étude qui avait pour objectif de faire le bilan de la prise en charge des hémopathies malignes au Centre national d'oncologie médical et de radiothérapie Alassane Ouattara. Méthodes. Il s'agissait d'une étude rétrospective descriptive d'une durée de 2 ans 3 mois allant du 1er janvier 2018 au 31 Mars 2020 portant sur 80 dossiers de malades porteurs d'hémopathies malignes et prise en charge dans le centre. Résultats. Notre étude a permis de recenser 2,2% d'hémopathies malignes sur les 3650 cas de pathologies cancéreuses recensées au CNRAO, soit une incidence 26,66 cas/an avec un sex-ratio 1,2. Les syndromes lymphoprolifératifs (SLP) sont les plus fréquents (96,25 %), sous trois principales formes: lymphomes malins non hodgkiniens (LMNH) non Burkitt (51,25%), leucémie myéloïde chronique (20%) et le myélome multiple (16,25%). Les LMNH représentent 51,25% des HM recensées avec 41,46 % de lymphomes de haut grade de malignité. La chimiothérapie était de mise chez tous nos patients. Ainsi sur 41 cas de LMNH, seulement 12 (29,27%) ont bénéficié du protocole R-CHOP. On notait 46,34% de réponse complète. Dans notre étude, le LH représentait 8,75% il était traité à 71,43% avec le protocole ABVD avec une réponse complète chez 6 patients. 37,5% des patients porteurs de leucémie myéloïde chronique ont reçu le Rituximab; ils ont été traités par les protocoles COP (31,25%), CHOP (31,25%), RCVP (12,5%) et R-CHOP (25%). La réponse thérapeutique était complète à 68,75%. Le protocole utilisé dans le traitement du myélome multiple a été le VMCD-REV à 76,92% avec pour réponse thérapeutique complète chez 6 patients, 3 réponses partielles et 4 en cours de traitement. Conclusion. Les SLP qui sont les plus fréquents des HM avec trois principales formes: LMNH non Burkitt, leucémie myéloïde chronique et myélome multiple. Nous avons cependant des difficultés quant à la mise en route de la chimiothérapie.


Introduction. Hematologic neoplasms are abnormal and anarchic proliferations of hematopoietic cells with a medullary or peripheral starting point. Our study aimed to report the management of hematological malignancies at the Centre National d'Oncologie Médicale et de Radiothérapie Alassane Ouattara (CNRAO). Methods. This was a descriptive retrospective study lasting 2 years 3 months from January 1st, 2018 to March 31st, 2020 concerning 80 patients with hematologic neoplasms who were managed in the CNRAO. Results. Hematologic neoplasms represented 2.2% of cancers (80/3650) at CNRAO, giving an annual incidence of 26.66 cases. The sex ratio was 1.2. Lymphoproliferative syndromes were the most common subgroups (96.25%). These were mainly non-Burkitt non Hodgkin lymphoma (51.25%), high grade lymphomas (41.46%), chronic lymphocytic lymphoma (20%) and multiple myeloma (16.25%). Chemotherapy was administered to all patients. Among 41 cases of non-Hodgkin lymphoma, 12 (29.27%) benefited from the R-CHOP protocol and full response was observed in 46.34% of them. We found 7 patients with Hodgkin lymphoma (8.75%) and the ABVD protocol was used for 6 cases (71.43%). Six out of these seven patients were in complete response. Among the 16 patients with chronic lymphocytic leukemia, 6 (37.5%) received Rituximab. The distribution of the patients with chronic lymphocytic leukemia was as follows: COP 31.25%, CHOP 31.25%, RCVP 12.5% and R-CHOP 25% and 68.75% had full response. The most common treatment protocol for multiple myeloma was VMCD-REV (76.92%). Six patients had complete response, 3 had partial response and 4 were in the course of treatment. Conclusion. In our practice, hematologic neoplasms are mainly lymphoproliferative syndromes and the most common varieties are non-Burkitt non Hodgkin lymphoma, high grade lymphomas, chronic lymphocytic lymphoma and multiple myeloma. We have difficulties in getting chemotherapy started.


Subject(s)
Humans , Male , Female , Hematologic Neoplasms , Disease Management , Lymphoma , Lymphoma, Non-Hodgkin , Hematologic Diseases
4.
Article in French | AIM | ID: biblio-1264304

ABSTRACT

La leucémie à tricholeucocytes est une hémopathie lymphoïde B rare. Le diagnostic repose sur l'identification morphologique des cellules tumorales sanguines et/ou médullaires puis la mise en evidence de certains marqueurs à l'immunophénotypage. Le diagnostic reste difficile en Afrique subsaharienne du fait du plateau technique limité. En Afrique noire, très peu d'études ont été réalisées. Nous rapportons un cas documenté de leucémie à tricholeucocytes chez un jeune homme de 25 ans dans notre service


Subject(s)
Immunophenotyping , Leukemia, Hairy Cell , Leukemia, Lymphoid
5.
Article in French | AIM | ID: biblio-1264313

ABSTRACT

Introduction : L'objectif de l'étude était de déterminer la prévalence de l'anémie post-opératoire au service de chirurgie générale de l'hôpital national Ignace. Méthodologie : Il s'agissait d'une étude transversale de type descriptif d'une durée de six mois allant 1er Mai au 30 Octobre 2016. Elle a été réalisée au service de chirurgie générale de l'hôpital national IGNACE DEEN. Résultats : Sur un total de 451 patients opérés, 100 patients ont développé une anémie post-opératoire soit une prévalence de 22 %. Le sex-ratio était de 1,08. L'âge moyen des patients était de 39 ans avec des extrêmes de 13 et de 66 ans. Le taux moyen d'hémoglobine en post-opératoire était 10g/dl, avec des extrêmes de 7g/dl et de 11g/dl. La durée moyenne des interventions était 1h36min avec des extrêmes de 28min et de 2h25min. La pathologie initiale dominante était la péritonite soit 18% des cas. Conclusion : L'amélioration des conditions de travail du bloc opératoire avec la diminution importante de l'hémorragie serait nécessaire pour minimiser la prévalence de cette anémie


Subject(s)
Anemia , Anesthesia Department, Hospital , Guinea
6.
Mali méd. (En ligne) ; 33(2): 9-12, 2018. ilus
Article in French | AIM | ID: biblio-1265725

ABSTRACT

Introduction : Les lésions vésicale et urétérale constituent les complications urologiques les plus fréquentes survenant au décours d'une chirurgie pelvienne soit respectivement 1 à 4% et 0,5 à 3% [6,7]. Ces lésions sont rarement reconnues en peropératoire et posent un problème important auquel sont confrontés les urologues, les gynécologues, les chirurgiens généralistes. Objectif : Etudier les facteurs favorisants les complications urologiques consécutives à la chirurgie pelvienne au CHU du Point-G. Patientes et Méthode : Il s'agissait d'une étude rétrospective réalisée au CHU du Point-G entre 2006 et 2015. Elle a concerné 23 patientes présentant toute une lésion urologique au décours d'une chirurgie pelvienne. Ces patientes ont subi un examen clinique et para cliniques (Urographie intra veineuse ; le test au bleu de méthylène) dans le but de confirmer la lésion urologique et d'en déterminer la prise en charge. Résultats : l'âge moyen de nos patientes était de 32,00 ans avec des extrêmes allant de 18 à 40 ans. La fuite d'urine était retrouvée chez 82,6% (19/23). Les interventions pourvoyeuses de lésions urologique étaient : la césarienne 52, 2% (12/23), l'hystérectomie 30, 4% (7/23), une association césarienne et hystérectomie 17,4 % (4/23). Le test au bleu de méthylène a été réalisé chez 19 patientes, il a été positif dans 12 cas soit 52,2 % et l'UIV chez 7 patientes. Les lésions rencontrées étaient : la fistule vésico-vaginale retro trigonale 10 cas, la fistule vésico-vaginale sous trigonale 2 cas, la fistule urétéro-vaginale 7 cas, et la ligature urétérale bilatérale 4 cas. La fistulorraphie a été effectuée dans 52,2 % suivie de la réimplantation urétéro-vésicale directe. Les suites opératoires étaient satisfaisantes dans 100% des cas avec l'obtention d'une bonne étanchéité vésicale. La durée moyenne d'hospitalisation était de 12 jours (+/- 4 jours). Conclusion : La chirurgie pelvienne est pourvoyeuse de lésions urologiques. La césarienne et l'hystérectomie sont des facteurs favorisants. Les fistules vésico-vaginales ou des lésions urétérales sont fréquentes


Subject(s)
Mali , Pelvis , Urogenital Surgical Procedures , Vesicovaginal Fistula/surgery
8.
Mali méd. (En ligne) ; 30(3): 42-45, 2015.
Article in French | AIM | ID: biblio-1265694

ABSTRACT

Le but de cette etude etait d'identifier les facteurs influencant les resultats cliniques de la chirurgie de la fistule uro- genitale obstetricale. Il s'agissait d'une etude transversale; qui a porte sur les facteurs influencant les resultats dans la prise en charge de fistule uro-genitale; allant du janvier 2011 au janvier 2012 au service d'urologie du CHU du Point-G. Cette etude a concerne 115 patientes souffrantes de fistule uro-genitale. La cure de la fistule uro-genitale a represente 17 % des activites du bloc. La fermeture de la fistule a ete obtenue dans 68;7% des cas. Ce resultat a ete influence par certains facteurs; dont les facteurs lies a l'etat du tissu peri-fistuleux (bonne trophicite du tissu; ou fibrose peri-fistuleux). Les fistules operees avant tout remaniement tissulaire peri-fistuleux ont ete fermees dans 71;42 % des cas. Les facteurs lies a la patiente et aux soins : celles operees pour la premiere fois ont un taux de reussite de 68;42 %; seulement 47;62 % de succes chez les patientes qui se sont presentees apres cinq ans. Les facteurs lies au siege anatomo-clinique : les fistules de la cloison vesico-vaginale et cervico-uretro-vaginale ont occupe un taux de succes de 76;92 %. Les facteurs lies aux soins regroupent : l'experience du chirurgien; les chirurgiens du service d'urologie contrairement aux autres chirurgiens ont 76;19 % de reussite contre 25%. La voie d'abord de la fistule etait en rapport avec le siege anatomo-clinique; ainsi les fistules trigonales et uretero-vaginales abordees par la voie haute ont ete reussies dans 85 %. En plus de ces facteurs le suivi post-operatoire; les instruments; les fils de suture; la table operatoire; l'eclairage de la salle ont amelioree aussi les resultats


Subject(s)
Academic Medical Centers , Postoperative Period , Treatment Outcome , Vesicovaginal Fistula
9.
Mali méd. (En ligne) ; 25(3): 41-48, 2010.
Article in French | AIM | ID: biblio-1265633

ABSTRACT

Cette etude avait pour but d'evaluer l'impact du traitement intermittent preventif (TPi) et les effets adverses associes chez la femme enceinte vivant en zone hyperendemique de Selingue sur l'issue de grossesse. La pharmacovigilance a pour objet; la surveillance du risque d'effet indesirable resultant del'utilisation des medicaments et produits a traitements a la S-P aux femmes enceintes a des intervalles definis apres environ 18-20 semaines de grossesse. L'enquete sur le comportement et les attitudes pratiques (CAP) nous a permis d'interviewer 210 femmes enceintes vues en consultation prenatale au niveau des centres de sante du district sanitaire de Selingue. La quasi-totalite de nos femmes (99) affirme connaitre le paludisme et 84;8connaitre les signescliniques du paludisme (tableau 1). L'automedication etait pratiquee par 40des femmes enceintes. Une faible proportion des femmes affirment posseder des moustiquaires (8;6) tandis que 14;3affirment utiliser des moustiquaires impregnees d'insecticides. Le taux d'anemie severe etait de 30;5(Hb 7 g/dl) apres la premiere dose et de 13;3apres la seconde dose de S-P. Parallelement; le taux d'anemie moderee (Hb 7-9g /dl) a diminue de 54;8apres la premiere dose a 26;2apres la seconde dose. Ce taux d'anemie etait plus eleve chez les multigestes (32;1) comparees aux primigestes (21;7). Nous n'avons observe aucun cas d'echec therapeutique a la S-P ni d'infection placentaire dans notre etude. Le taux de prematurite etait de 3tandis que le taux du petit poids a la naissance etait de 17;6. Les effets secondaires etaient essentiellement des nausees et embarras gastrique (1;9a la 1e dose S-P et 1apres la 2e dose de S-P). Nous n'avons note aucun cas d'effets secondaires severes ni de malformations a la naissance des nouveau-nes. En conclusion; le TPi a la S-P a ete bien tolere par les femmes enceintes vivant a Selingue et presente tres peu de reactions secondaires mineures. La S-P est actuellement le seul antipaludique a dose unique qui possede un effet prolonge et qui a des proprietes ideales (cout faible; assez de donnees disponibles sur sa tolerance et sa facilite d'utilisation) pour une meilleure utilisation au cours de la grossesse.) affirme connaitre le paludisme et 84;8connaitre les signescliniques du paludisme (tableau 1). L'automedication etait pratiquee par 40des femmes enceintes. Une faible proportion des femmes affirment posseder des moustiquaires (8;6) tandis que 14;3affirment utiliser des moustiquaires impregnees d'insecticides. Le taux d'anemie severe etait de 30;5(Hb 7 g/dl) apres la premiere dose et de 13;3apres la seconde dose de S-P. Parallelement; le taux d'anemie moderee (Hb 7-9g /dl) a diminue de 54;8apres la premiere dose a 26;2apres la seconde dose. Ce taux d'anemie etait plus eleve chez les multigestes (32;1) comparees aux primigestes (21;7). Nous n'avons observe aucun cas d'echec therapeutique a la S-P ni d'infection placentaire dans notre etude. Le taux de prematurite etait de 3tandis que le taux du petit poids a la naissance etait de 17;6. Les effets secondaires etaient essentiellement des nausees et embarras gastrique (1;9a la 1e dose S-P et 1apres la 2e dose de S-P). Nous n'avons note aucun cas d'effets secondaires severes ni de malformations a la naissance des nouveau-nes. En conclusion; le TPi a la S-P a ete bien tolere par les femmes enceintes vivant a Selingue et presente tres peu de reactions secondaires mineures. La S-P est actuellement le seul antipaludique a dose unique qui possede un effet prolonge et qui a des proprietes ideales (cout faible; assez de donnees disponibles sur sa tolerance et sa facilite d'utilisation) pour une meilleure utilisation au cours de la grossesse


Subject(s)
Drug Therapy, Combination , Pharmacovigilance , Pregnant Women , Pyrimethamine , Sulfadoxine
11.
Benin medical ; : 27-30, 2005.
Article in French | AIM | ID: biblio-1259620

ABSTRACT

Les objectifs de l'étude étaient de préciser les conditions d'utilisation et la fiabilité des résultats des lecteurs de glycémie utilisés par le personnel soignant au Centre Hospitalier et Universitaire (CHU) de Conakry. Chaque lecteur en utilisation (n=21) a été testé sur les mêmes prélèvements capillaires, en normoglycémie et en hyperglycémie par rapport à la valeur cible de référence : l'analyseur HemoCue B glucose®. Des données complémentaires ont été recueillies au près de chaque utilisateur qui a été ensuite soumis à une observation directe pendant qu'il effectuait une glycémie. Les appareils recensés étaient de la marque Life scan® (n=17) et Roche® (n=4). Le modèle le plus utilisé était le One Touch Basic® (n=7). En moyenne, les résultats rendus par les différents lecteurs de glycémies s'écartaient de la référence de 0,09 g/L (soit 9,7% de la valeur de référence) en normoglycémie et de 1,40g/l (soit 26%) en hyperglycémie. Les valeurs obtenues par 81% des lecteurs de glycémie étaient à plus de 15% de la valeur cible de référence. Aucun utilisateur n'employait les bandelettes de contrôle. Deux lecteurs étaient souillés de sang et aucun port de gants lors de la réalisation des glycémies n'a été observé. La formation des utilisateurs et un contrôle de qualité régulier des lecteurs de glycémies pourraient prévenir le risque induit de traitement inadapté ou de transmission nosocomiale d'infection


Subject(s)
Blood Glucose , Blood Glucose Self-Monitoring , Guinea , Hygiene , Quality Control
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